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R : - un jeune homme (joue aussi le chien)
J : - une jeune femme
R : un jeune homme (joue aussi le chien)
J : une jeune femme
R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)
R : T’es juste chanceuse. Chanceuse de m’avoir rencontré. Chanceuse que je sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)
J : [Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire :] Non, t’es pas laid, ton visage est unique. [Ou] : t’as de beaux yeux. [Ou] : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)
J : [Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire :] Non, t’es pas laide, ton visage est unique. [Ou] : t’as de beaux yeux. [Ou] : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)
J: - une jeune femme
Q le cadet d’une famille
J : - une jeune femme
Q la cadette de Juliette
Q : Je suis laid.
Q : Je suis laide.
Q : Je suis hypnotisé par ma laideur.
Q : Je suis hypnotisée par ma laideur.
J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvais beau, qu’est-ce que ça changerait ?
Q : Même si tu…même si? Donc - Julie ? Julie? C’est qui ?
J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvais belle, qu’est-ce que ça changerait ?
Q : Même si tu…même si? Donc - Julie ? Julie? T’es qui ?
Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Tu mourras sans l’avoir connu l’amour.
Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Tu mourras sans avoir connu l’amour.
Q : Papa dort pas non plus. J’ai passé devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parlé.
J : Personne ne pourrait dormir de toute façon.
Q : Papa dort pas non plus. Je suis passée devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parler.
J : Personne pourrait dormir de toute façon.
Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
Q : Pas à un des pires mais -
Q : Pas à un des pires, mais -
Q : On n’a plus le droit de marcher dans la (les)rue(s) ?
Q : On a plus le droit de marcher dans la rue ?
R : Mais on n’a rien fait.
R : Mais on a rien fait.
R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)
R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)
J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli ne pas pouvoir sortir. C’est tellement tendu chez moi.
J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli pas pouvoir sortir. C’est tellement tendu chez moi.
R : J’ai vu ton frère/ta soeur aujourd’hui.
R : J’ai vu ton ta soeur aujourd’hui.
R : Il/elle est venu(e) me voir. Il/elle sait qui je suis. Il/elle a dit qu’il m’a vu durant l’émeute.
R : Elle est venue me voir. Elle sait qui je suis. Elle a dit qu’elle m’a vu durant l’émeute.
R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air dur. Je pense pas qu’il m’a cru. Il est fou. Si quelqu’un d’autre l’avait vu -
J : Oh mon Dieu. Et il nous a presque surpris hier soir dans ma chambre.
R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air dur. Je pense pas qu’elle m’a cru. Elle est folle. Si quelqu’un d’autre l’avait vu -
J : Oh mon Dieu. Et elle nous a presque surpris hier soir dans ma chambre.
J : [Demain dans la nuit ?] T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi la regarder. Une dernière fois.
J : [Demain dans la nuit ?] T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse-moi la regarder. Une dernière fois.
Q : (elle applaudie) C’est touchant.
Q : C’est touchant.
J : Tu m’as suivi?
J : Tu m’as suivie?
R : Qu’est-ce que t’as entendu ? Qu’est-ce que tu nous as entendu dire ?
R : Qu’est-ce que t’as entendu ? Qu’est-ce que tu nous as entendus dire ?
Q : Est-ce que ç’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi parmi les tiens. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, au-dessus des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et gâtée. Et traîtresse. Tu peux pas vraiment l’aimer.
Q : Est-ce que c’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoïste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi parmi les tiens. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, au-dessus des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et gâtée. Et traîtresse. Tu peux pas vraiment l’aimer.
J : Écoute-moi : tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. Tu vois notre père se détruire. Tu vois de la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’accroches à n’importe qui pourrait t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accroche c’est faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On…reparlera de ça demain matin. Ça va ? Merci.
J : Écoute-moi : tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. Tu vois notre père se détruire. Tu vois de la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’accroches à n’importe qui pourrait t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accroches c’est faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On…reparlera de ça demain matin. Ça va ? Merci.
(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboit de loin.)
J (à R) : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?
(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboie de loin.)
J (à R) : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?
Q : Et bien moi je te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Ravale ta langue. (Le chien liche la jambe de Q.) Arrête!
Q : Et bien moi je te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? [Ravale ta langue. (Le chien liche la jambe de Q.) Arrête!]
Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. [Tu nous hais tellement,] tu devrais sauter sur l’occasion. [Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche [de me frapper]. C’est quoi ?
Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. [Tu nous hais tellement,] tu devrais sauter sur l’occasion. [Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place.] Quelque chose t’empêche [de me frapper]. C’est quoi ?
J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire : non, t’es pas laid, ton visage est unique. Ou : t’as de beaux yeux. Ou : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)
J : [Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire :] Non, t’es pas laid, ton visage est unique. [Ou] : t’as de beaux yeux. [Ou] : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)
Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Nous mourrons sans l’avoir connu l’amour.
Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Tu mourras sans l’avoir connu l’amour.
J : Juste une minute… C’est qui ?
Q : C’est moi.
J : Juste une minute… [C’est qui ?
Q : C’est moi.]
J : Attends…Bon. Qu’est-ce qu’il y a ?
Q : Est-ce que je peux entrer ?
J : Quoi ? Excuse. Oui.
Q : J’ai fait un rêve vraiment étrange - Ta fenêtre.
J : Attends…
Bon. Qu’est-ce qu’il y a ?
[Q : Est-ce que je peux entrer ?
J : Quoi ? Excuse. Oui.]
Q : J’ai fait un rêve vraiment étrange … Ta fenêtre.
Q : Oui. Après d’aujourd’hui…ce qui s’est passé.
J : Quoi ?
[Q : Oui. Après d’aujourd’hui…ce qui s’est passé.
J : Quoi ?]
J : Je parlais de la chaleur.
Q : T’étais là. T’as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués. Sans raison.
[J : Je parlais de la chaleur.]
Q : T’étais là. T’as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués sans raison.
J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir, mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée de fou, je suis épuisée moi aussi et t’es là avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.
J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir. Tu viens ici en plein milieu de la nuit, après une journée de fou, je suis épuisée moi aussi et t’es là avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.
Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je t’ai jamais vu.
Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi [au point de te trouver dans la rue], considérant que je t’ai jamais vu.
Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche de me frapper. C’est quoi ?
Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. [Tu nous hais tellement,] tu devrais sauter sur l’occasion. [Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche [de me frapper]. C’est quoi ?
R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Il faut que ce soit demain dans la nuit. Mon ami -
J : Demain dans la nuit ? T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi la regarder. Une dernière fois.
R :[ Je peux nous faire sortir demain dans la nuit.] Il faut que ce soit demain dans la nuit. [Mon ami -]
J : [Demain dans la nuit ?] T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi la regarder. Une dernière fois.
Q : C’est touchant.
Q : (elle applaudie) C’est touchant.
Q : On n’a plus le droit de marcher dans la rue ?
Q : On n’a plus le droit de marcher dans la (les)rue(s) ?
Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Nous mourrons sans avoir connu l’amour.
Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Nous mourrons sans l’avoir connu l’amour.
Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
R : Au mieux ? Une démonstration.
R : Au mieux ? Une manifestation.
R : J’ai vu ton frère aujourd’hui.
R : J’ai vu ton frère/ta soeur aujourd’hui.
R : Il est venu me voir. Il sait qui je suis. Il a dit qu’il m’a vu durant l’émeute.
R : Il/elle est venu(e) me voir. Il/elle sait qui je suis. Il/elle a dit qu’il m’a vu durant l’émeute.
(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboit de loin.)
J à R : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?
(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboit de loin.)
J (à R) : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?
Un rêve
J : Alors ne te regarde pas.
J : Alors regarde-toi pas.
J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposé te dire : non, t’es pas laid, ton visage est unique. Ou : t’as de beaux yeux. Ou : La beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)
Q : Facile de rire pour toi, t’es pas laide.
J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire : non, t’es pas laid, ton visage est unique. Ou : t’as de beaux yeux. Ou : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)
Q : C’est facile de rire pour toi, t’es pas laide.
Q : Même si tu.. même si? Mais - Julie ? Julie? Qui es-tu ?
Chien : Je suis un chien.
Q : Les chiens ne parlent pas
Chien : Je suis un chien et je parle.
Q : Ben alors je ne te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Ravale ta langue. (Le chien lèche les jambes de Q.) Arrête!!!
Chien : Pas d’amour, jamais de la vie. Nous mourrons sans avoir connu l’amour.
Une maison
Q : Même si tu…même si? Donc - Julie ? Julie? C’est qui ?
Chien : Je suis un chien.
Q : Les chiens parlent pas.
Chien : Je suis un chien. Et je parle.
Q : Et bien moi je te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Ravale ta langue. (Le chien liche la jambe de Q.) Arrête!
Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Nous mourrons sans avoir connu l’amour.
J : Qu’est-ce qu’il y a ?
J : Qu’est-ce qui se passe ?
J : Alors qu’est-ce que tu veux ?
Q : Je peux pas dormir, je t’ai entendu te lever… J’ai entendu - Est-ce qu’on doit absolument continuer à se parler dans le cadre de porte ?
J : Attends… Ok. Qu’est-ce qu’il y a ?
Q : Est-ce que je peux venir ?
J : Bon, qu’est-ce que tu veux ?
Q : Je peux pas dormir, je t’ai entendu te lever… J’ai entendu - Est-ce qu’on doit absolument continuer à se parler à travers la porte ?
J : Attends…Bon. Qu’est-ce qu’il y a ?
Q : Est-ce que je peux entrer ?
J : Personne ne va venir à mon balcon.
Q : Papa ne dort pas non plus. J’ai passé devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parlé.
J : Personne va entrer par mon balcon.
Q : Papa dort pas non plus. J’ai passé devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parlé.
Q : Oui. Après les évènements d’aujourd’hui…
Q : Oui. Après d’aujourd’hui…ce qui s’est passé.
Q : Tu étais là, tu as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués. Pour aucune raison.
Q : T’étais là. T’as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués. Sans raison.
Q : Tu crois que - qu’ils avaient raison de -
J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y avait toujours une raison. Qu’elle soit bonne ou pas, il y a toujours une raison.
Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait . Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait du partir quand c’était possible, il y a quelques mois. I a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec toute cette tension. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
J : Je ne veux pas parler de ça, pas maintenant. Je voudrais aller me coucher.
Q : Tu crois que - qu’ils avaient une raison pour -
J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y a toujours une raison. Qu’elle soit bonne ou pas, c’est autre chose.
Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
J : J’ai pas envie de parler de ça. Pas maintenant. Je voudrais aller me coucher.
Q : Pas à un des pires mais-
Q : Pas à un des pires mais -
J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir, mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée de fou, je suis épuisée moi aussi et puis, il y a toi avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.
J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir, mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée de fou, je suis épuisée moi aussi et t’es là avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.
La rue
Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je ne t’ai jamais vu.
Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je t’ai jamais vu.
Q : Tu dis que tu ne sais pas qui je suis ? Je pense que tu le sais.
R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaitrais ? T’es qui? Personne. Salut.
Q : Tu dis que tu sais pas qui je suis ? Je pense que tu le sais.
R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaîtrais ? T’es qui? Personne. Salut.
R : C’est ce que j’ai entendu. Excuse moi -
Q : T’as entendu ? T’étais là.
R : Regarde-
R : C’est ce que j’ai entendu. Excuse-moi -
Q : Tu l’as entendu ? T’étais là.
R : Regarde -
R : La politique ne m’intéresse pas.
R : La politique m’intéresse pas.
Q : On a commencé, c’est ce que tu es en train de dire ?
Q : On a commencé, c’est ce que t’es en train de dire ?
Q : Et vous, vous n’avez rien à voir avec tout ça ?
R : Il n’y aurait jamais du avoir de rassemblement. En pleine rue.
Q : C’était notre droit. Tu ne peux pas nous dire quoi faire ou pas faire. Si tu nous connaissais, tu aurais su que c’était notre journée de fête. Et vous vous êtes invités.
Q : Et vous, vous avez rien à voir avec tout ça.
R : Il y aurait jamais dû avoir de rassemblement. En pleine rue.
Q : C’était notre droit. Tu peux pas nous dire quoi faire ou pas faire. Si tu nous connaissais, tu aurais su que c’était notre jour de fête. Et vous vous êtes invités.
R : On s’est juste défendu.
R : On s’est juste défendus.
R : Tu oses appeler ça une fête?
R : C’est drôle que t’appelles ça une fête.
R : De quoi tu parles ? “Je sais ce que tu faisais là-bas , je t’ai vu.” Ooh. As-tu au moins quelque chose à dire ?
Q : Une question. Pourquoi est-ce que tu ne m’attaques pas? Ou du moins que t’essaies pas. On est seuls. Je ne devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche de me frapper. C’est quoi ?
R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas une bête, n’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez-toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)
R : De quoi tu parles ? “Je sais ce que tu faisais là-bas , je t’ai vu.” Ooh. Est-ce que t’as au moins quelque chose à dire ?
Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche de me frapper. C’est quoi ?
R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)
Dans le cimetière
R : Bien, merci, et Toi?
J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli ne pas pouvoir venir. C’est tellement tendu chez moi.
R : Bien, merci, et toi?
J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli ne pas pouvoir sortir. C’est tellement tendu chez moi.
J : Non. S’il te plaît. Reste là. Qu’est-ce qu’il y a ?
J : Non. S’il te plaît. Fais juste…rester où t’es. Qu’est-ce qu’il y a ?
R : Il est venu me voir. Il sait qui je suis. Il m’a vu durant l’émeute.
R : Il est venu me voir. Il sait qui je suis. Il a dit qu’il m’a vu durant l’émeute.
J : Il nous a presque surpris hier dans ma chambre.
J : Oh mon Dieu. Et il nous a presque surpris hier soir dans ma chambre.
J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je…je peux pas faire ça.
J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je…je peux pas continuer.
R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Ce doit être demain dans la nuit. Mon ami -
R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Il faut que ce soit demain dans la nuit. Mon ami -
R : Je déteste cet endroit. Je serai content de jamais le revoir.
R : Je déteste cet endroit. Je vais être content de jamais le revoir.
R : On était juste plus subtils dans notre façon de le montrer.
J : C’est parce que vous avez eu cet argent en volant. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, du le cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer au cimetière.
R : On est juste plus subtils dans notre façon de le montrer.
J : C’est parce que c’est de l’argent sale. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, du cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer ici.
J : Comment ai-je pu tomber amoureuse d’un idiot comme toi ?
J : Comment j’ai pu tomber en amour avec un idiot comme toi ?
Q : Vraiment, c’est beau.
Q : Vraiment, c’est magnifique.
Q : Ou quoi ? Ou tu feras quoi ?
Q : Ou quoi ? Ou tu vas faire quoi ?
Q : Tu penses quoi ? Vos hormones, votre petite attraction sexuelle est plus importante que la vie des autres? Savez-vous ce qui va arriver quand tout le monde entendra cette histoire ? Ce que ça fera à votre famille ? Vous êtes des traitres.
J : Regarde autour : cette guerre-là n’a rien à voir avec les liens familiaux ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la haine. Et t’avales tout ça.
Q : Est-ce que ç’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, que tu es à part des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et corrompue. Tu peux pas l’aimer pour vrai.
Q : À quoi tu penses? Vos hormones, votre petite attraction sexuelle est plus importante que la vie des autres? Savez-vous ce qui va arriver quand tout le monde va entendre cette histoire, ce que ça va faire à vos familles ? Traîtres.
J : Regarde autour : cette guerre-là a rien à voir avec nos familles ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la haine. Et t’avales tout ça.
Q : Est-ce que ç’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi parmi les tiens. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, au-dessus des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et gâtée. Et traîtresse. Tu peux pas vraiment l’aimer.
J : Écoute-moi, tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. T’as vu notre père se détruire. T’as vu la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’es accroché à n’importe quoi pour t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accrochais c’était faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On en reparlera demain matin. D’accord ? Merci.
(R et J commence à sortir, soudainement :)
Q : Ici, Quelqu’un, ici!
J : Écoute-moi : tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. Tu vois notre père se détruire. Tu vois de la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’accroches à n’importe qui pourrait t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accroche c’est faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On…reparlera de ça demain matin. Ça va ? Merci.
(R et J sortent, soudainement :)
Q : Ici! Quelqu’un! Par ici!
Q : Je te laisserai pas partir. Ici ! À l’aide !
Q : Je te laisserai pas partir. Par ici ! Au secours !
Q : À l’aide ! Ici !
Q : À l’aide ! Par ici !
Q : À l’aide !
Q : Au secours !
Q : Est-ce que tu les entends ? Les chiens. Je les entends.
Q : Tu les entends ? Les chiens. Je les entends.
R : - un jeune homme ( also play the dog)
R : - un jeune homme (joue aussi le chien)
Q le cadet d’une famille, peut-être un garçon ou une fille
Q le cadet d’une famille
Q : Je suis laid (e)
J : Alors ne te regarde pas
Q : Je suis hypnotisé par ma laideur
J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposé te dire : non, t’es pas laid (e), ton visage est spécial. Ou : tu as de beaux yeux. Ou : La beauté est à l’intérieur, c’est ce que tu as a l’intérieur qui compte. (Rire)
Q : Facile de rire pour toi, T’es pas laide.
J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvait beau (belle) quel bien ça te ferait ?
Q : Même si tu.. même si? Mais Mais ? Qui es-tu ?
Dog : Je suis un chien.
Q : Je suis laid.
J : Alors ne te regarde pas.
Q : Je suis hypnotisé par ma laideur.
J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposé te dire : non, t’es pas laid, ton visage est unique. Ou : t’as de beaux yeux. Ou : La beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)
Q : Facile de rire pour toi, t’es pas laide.
J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvais beau, qu’est-ce que ça changerait ?
Q : Même si tu.. même si? Mais - Julie ? Julie? Qui es-tu ?
Chien : Je suis un chien.
Dog : Je suis un chien et je parle.
Q : Ben alors je ne te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Remet ta langue dans ta bouche. (All right) Dog lèche les jambes de Q. Arrête!!!
Dog : Pas d’Amour, pas dans ta planification de vie. Bien alors plonge dans une vie sans amour
Chien : Je suis un chien et je parle.
Q : Ben alors je ne te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Ravale ta langue. (Le chien lèche les jambes de Q.) Arrête!!!
Chien : Pas d’amour, jamais de la vie. Nous mourrons sans avoir connu l’amour.
Q : Sœur ? Sœur ?
J : Qui est là?
Q : C’est moi, est-ce que je peux ?
J : Juste une minute… Qui est là ?
Q : Julie ? Julie ?
J : C’est qui?
Q : C’est moi, est-ce que je peux -
J : Juste une minute… C’est qui ?
Q : Je peux pas dormir, j’ai entendu que t’étais réveillé… J’ai entendu… Est-ce qu’on doit absolument continuer à parler dans le cadrage de la porte ?
Q : Je peux pas dormir, je t’ai entendu te lever… J’ai entendu - Est-ce qu’on doit absolument continuer à se parler dans le cadre de porte ?
Q : J’ai fait un rêve étrange. Ta fenêtre.
Q : J’ai fait un rêve vraiment étrange - Ta fenêtre.
J : À environ une heure du matin, une brise (entre), je ne peux pas dormir avant.
J : J’attends que le vent se lève, je peux pas dormir.
J : Personne ne viendra à mon balcon.
Q : Papa ne dort pas encore. J’ai passé devant sa chambre, une allumière est allumé, je l’ai entendu parlé.
J : Je ne connais personne qui puisse dormir de toute façon.
J : Personne ne va venir à mon balcon.
Q : Papa ne dort pas non plus. J’ai passé devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parlé.
J : Personne ne pourrait dormir de toute façon.
Q : Après ce qui est arrové aujourd’hui ?
Q : Après ce qui est arrivé aujourd’hui.
Q : Tu crois que… c’étais justifié ?
J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y avait toujours une raison. Que ça soit justifié ou pas, il y a toujours une raison.
Q : Après que tout fut confirmé papa a pleuré. Il pleurait . Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait du partir lorsque c’était possible, il y a quelques mois. IL a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec toute cette tension. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
J : Je ne veux pas parler de ça, pas maintenant. Je voudrais me mettre au lit.
Q : Tu parlais à un d’eux?
Q : Tu crois que - qu’ils avaient raison de -
J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y avait toujours une raison. Qu’elle soit bonne ou pas, il y a toujours une raison.
Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait . Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait du partir quand c’était possible, il y a quelques mois. I a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec toute cette tension. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
J : Je ne veux pas parler de ça, pas maintenant. Je voudrais aller me coucher.
Q : Tu parlais avec l’un d’eux.
Q : Pas à un des criminels mais-
J : JE ne me souviens pas à qui je parlais mais. C’était trop (agité)
Q : Qu’est-ce qu’il te demandait ?
J : Ce qu’il me demandait ?
Q : Pas à un des pires mais-
J : Je me souviens pas à qui je parlais. Ça s’est passé tellement vite.
Q : Qu’est-ce qu’il te voulait ?
J : Ce qu’il me voulait ?
J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée folle, je suis épuisé moi aussi et puis, il y a toi avec tes questions et – va dans ta chambre. La brise est arrivé. Je veux aller dormir.
J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir, mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée de fou, je suis épuisée moi aussi et puis, il y a toi avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.
Q : Tu parles. T’étais à la célébration.
Q : J’espère. T’étais au rassemblement.
Q : JE t’ai vu.
R : Ce n’était pas moi.
Q : C’est drôle, puis comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je ne t’ai jamais vu.
R : Tu ne devrais pas être ici.
Q : Mes gens n’ont plus la permission de marcher dans la rue ?
Q : Je t’ai vu.
R : C’était pas moi.
Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je ne t’ai jamais vu.
R : Tu devrais pas être ici.
Q : On n’a plus le droit de marcher dans la rue ?
Q : Dans cette partie de la ville. C’est ma ville. Je marche ou je veux.
Q : Dans cette partie de la ville. C’est ma ville. Je marche où je veux.
Q : Tu dis que tu ne sais pas qui je suis ? Je crois que tu le sais.
R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaitrais ? Qui es-tu? Personne. Aurevoir.
Q : Ça a mal fini, notre célébration.
R : J’ai entendu. Excuse moi.
Q : T’as entendu ? Tu y étais.
Q : Tu dis que tu ne sais pas qui je suis ? Je pense que tu le sais.
R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaitrais ? T’es qui? Personne. Salut.
Q : Ça a mal fini, le rassemblement.
R : C’est ce que j’ai entendu. Excuse moi -
Q : T’as entendu ? T’étais là.
Q : Une traditionnelle bagarre de rue. Ça devait en venir à ça? Je t’ai vu, te bagarrer.
Q : Une bagarre de rue bien ordinaire. Ça devait en venir à ça. Je t’ai vu, te battre.
Q : Qu’est-ce qui a fait que ça a dégénéré, malgré les gens instruits que vous êtes. La violence.
R : La cause c’est vous.
Q : Qu’est-ce qui a fait que ça a dégénéré - vous êtes pourtant des gens “civilisés”.
R : C’est vous qui avez commencé.
Q : Nous avons commencé, c’est ce que tu es en train de dire ?
Q : On a commencé, c’est ce que tu es en train de dire ?
Q : Vous autres vous n’avez rien à voir avec tout ça ?
R : Il n’y aurait jamais du avoir ce rassemblement. Dans la rue.
Q : C’était notre droit. Tu ne peux pas nous dire quoi faire ou quoi ne pas faire. Si tu avais connu, tu aurais compris que c’était notre journée de célébration. Puis vous êtes venu tout brisé.
R : Nous n’avons rien commencé.
Q : Et vous, vous n’avez rien à voir avec tout ça ?
R : Il n’y aurait jamais du avoir de rassemblement. En pleine rue.
Q : C’était notre droit. Tu ne peux pas nous dire quoi faire ou pas faire. Si tu nous connaissais, tu aurais su que c’était notre journée de fête. Et vous vous êtes invités.
R : Mais on n’a rien fait.
R : Nous ne nous sommes que défendu.
Q : Vous êtes venu faire éclater notre célébration, tout détruire.
R : Tu oses appeler ça une célébration ?
Q : Comment tu appelerais ça ?
R : On s’est juste défendu.
Q : Vous êtes venus gâcher notre fête, tout détruire -
R : Tu oses appeler ça une fête?
Q : Comment t’appellerais ça ?
R : Un défi. Une provocation. Tu souris.
Q : Il y a que…Je ne te crois pas. Il y a quelque chose de faux dans ton attitude, dans ta façon de m’insulter. Parce que je sais ce que tu faisais réellement là-bas. Je sais.
R : De quoi tu parles ? Je sais ce que tu faisais là-bas , j’ai vu. Ooh. Y-aurait-il quelque chose que tu voulais dire ?
Q : Une question. Pourquoi est-ce que tu ne me frappes pas? Ou du moins que tu n’essaies pas. On es seul. Je ne devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un qu’il vienne me ramasser. Quelque chose t’empêche de me frapper. Qu’est-ce que c’est ?
R : Ce que tu es c’est chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas un animal, n’importe qui d’autre t’aurais frappé dans la rue. Rentre chez-toi. Retourne dans ta prison. R sort.
Q : Ah mon Dieu c’est vrai. J’avais raison. Ç’est impossible mais ça l’est.
- Dans le cimetière
R : Une provocation. Un défi. Tu souris.
Q : C’est que…Je te crois pas. Il y a quelque chose de faux dans ton attitude, dans ta façon de m’insulter. Parce que je sais ce que tu faisais vraiment là-bas. Je le sais.
R : De quoi tu parles ? “Je sais ce que tu faisais là-bas , je t’ai vu.” Ooh. As-tu au moins quelque chose à dire ?
Q : Une question. Pourquoi est-ce que tu ne m’attaques pas? Ou du moins que t’essaies pas. On est seuls. Je ne devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche de me frapper. C’est quoi ?
R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas une bête, n’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez-toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)
Q : Oh mon Dieu, c’est vrai. J’avais raison. Ça se peut pas, mais oui.
Dans le cimetière
R : Bien merci et comment vas-tu?
J : Ne fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. Je ne peux pratiquement pas partir. C’est trop intense chez-nous.
R : Bien, merci, et Toi?
J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli ne pas pouvoir venir. C’est tellement tendu chez moi.
J : Non. S’il te plaît. Reste… là. Qu’est-ce qu’il y a ?
R : J’ai vu ton frère (ta sœur) aujourd’hui.
J : Ah mon Dieu.
R : (Il est) Elle est venu me voir. Il (ou elle) sait qui je suis. (Il) Elle m’a vu à l’émeute.
J : C’était ou ?
R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air fanatique. JE ne pense pas qu’elle (il) l’a avalé. (Il) Elle est folle (fou). Si quelqu’un d’autre l’a vu.
J : Il (Elle) m’a presque attrapé hier dans ma chambre.
R : Regarde
J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je… ne peux pas faire ça.
J : Non. S’il te plaît. Reste là. Qu’est-ce qu’il y a ?
R : J’ai vu ton frère aujourd’hui.
J : Oh mon Dieu.
R : Il est venu me voir. Il sait qui je suis. Il m’a vu durant l’émeute.
J : Où tu l’as vu ?
R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air dur. Je pense pas qu’il m’a cru. Il est fou. Si quelqu’un d’autre l’avait vu -
J : Il nous a presque surpris hier dans ma chambre.
R : Regarde -
J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je…je peux pas faire ça.
R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Ce doit être demain dans la nuit. Mon ami—
J : Demain dans la nuit ? T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi le regarder. Une dernière fois.
R : Je déteste cet endroit. Content de ne jamais le revoir.
J : Tu n’as pas eu une enfance heureuse ?
R : Pas comme toi, enfant de riche corrompu.
R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Ce doit être demain dans la nuit. Mon ami -
J : Demain dans la nuit ? T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi la regarder. Une dernière fois.
R : Je déteste cet endroit. Je serai content de jamais le revoir.
J : T’as jamais été bien ici ?
R : Pas comme toi, petite fille de riche.
R : On étais juste plus subtil dans notre façon de le montrer,
J : C’est parce que vous avez eu cet argent en volant. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, depuis le cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer au cimetière.
R : Il n’y a personne ici pour nous attraper.
J : Je ne sais pas comment on a fait pour ne jamais se faire prendre tout ce temps.
R : On était juste plus subtils dans notre façon de le montrer.
J : C’est parce que vous avez eu cet argent en volant. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, du le cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer au cimetière.
R : Il y a personne ici pour nous voir.
J : Je sais pas comment on a fait pour jamais se faire prendre tout ce temps.
J : Comment ai-je pu tomber amoureuse avec un idiot comme toi ?
J : Comment ai-je pu tomber amoureuse d’un idiot comme toi ?
J : Ah mon Dieu.
J : Oh mon Dieu.
Q : Même dans l’adversité- les gens respectifs à la guerre, disons le, à la guerre. Mais l’amour conquiert tout.
R : Reste en arrière.
Q : Même dans l’adversité- nos deux clans en pleine guerre. Mais l’amour triomphe de tout.
R : Reste là.
Q : Tu crois, quoi ? Votre échine, votre petite attraction sexuelle est plus grande que la vie de vos gens. Savez-vous ce qui arrivera quand tout le monde entendra cette histoire ? Ce que ça fera à votre famille ? Vous êtes des traitres.
J : Regarde autour : Cette bataille n’a rien à voir avec les liens familiaux ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la méchanceté. Et tu gobbes tout ça.
Q : Est-ce que ça n’est pas beau ? Est-ce une façon aimante de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’homme parfait pour toi. Tu le veux lui parce que c’est mauvais, tu veux te sentir spécial, que tu es appart des autres. Et bien tu n’es pas spécial, tu n’es qu’avide. Et corrompu. Tu ne peux pas l’aimer réellement.
J : Baisse le ton.
Q : Laisse moi deviner : Il n’est pas comme les autres. Il est un des bons. Il ne veut que la paix.
Q : Tu penses quoi ? Vos hormones, votre petite attraction sexuelle est plus importante que la vie des autres? Savez-vous ce qui va arriver quand tout le monde entendra cette histoire ? Ce que ça fera à votre famille ? Vous êtes des traitres.
J : Regarde autour : cette guerre-là n’a rien à voir avec les liens familiaux ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la haine. Et t’avales tout ça.
Q : Est-ce que ç’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, que tu es à part des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et corrompue. Tu peux pas l’aimer pour vrai.
J : Parle moins fort.
Q : Laisse-moi deviner : il est pas comme les autres. Lui, c’est un des bons. Il se bat pour la paix.
Q : Tu ne peux pas aimer l’ennemi, tu ne peux pas.
Q : Tu peux pas aimer l’ennemi, tu peux pas.
J : Écoute-moi, tu ne comprends pas cela. Tout ce que tu fais c’est de répéter les mots de nos parents. Tu ne peux pas comprendre ce que l’on ressent l’un pour l’autre. Tu n’as jamais vraiment compris à quel sujet était cette bataille. Tu as vu notre père comme une épave. Tu as vu la violence. Tu ne sais pas pourquoi. Tu t’es accroché à n’importe quoi pour t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accrochais c’était mauvais. On ne veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse moi partir. S’il te plaît. Nous en reparlerons demain matin. D’accord ? Merci.
R et J commence à sortir, soudainement…
J : Écoute-moi, tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. T’as vu notre père se détruire. T’as vu la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’es accroché à n’importe quoi pour t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accrochais c’était faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On en reparlera demain matin. D’accord ? Merci.
(R et J commence à sortir, soudainement :)
Q : Je ne te laisserai pas partir. Ici ! À l’aide !
J : Tu vas me faire tomber dedans ?
Q : Je te laisserai pas partir. Ici ! À l’aide !
J : Tu vas me dénoncer ?
R attaque, Q gravement blessé, le chien aboit de loin
J à R : Qu’est-ce que tu as fait ? Tu n’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que tu as fait ?
Q : Est-ce que tu les entends ? Les chiens. Je les entends
(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboit de loin.)
J à R : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?
Q : Est-ce que tu les entends ? Les chiens. Je les entends.
R – un jeune homme; joue aussi le rôle du Chien; J – une jeune femme. Q – Frère ou soeur cadet(te)de J.
Q : Je suis laid.
J: Alors, ne te regarde pas.
Q : Je suis fascinée par ma laideur.
J: Tu es de pêche pour les compliments. Maintenant, je suis censé dire: non, tu n’es pas laid, votre visage a du caractère. Ou bien: vous avez de beaux yeux. Ou: la beauté n’est que superficielle, c’est ce que l’intérieur qui compte. rires
Q : Facile pour vous de rire. Tu n’es pas laid.
J: De toute façon c’est pathétique. Demandant à votre sœur pour les compliments. Même si je ne vous trouve belle, à quoi bon vous faire?
Q : Même si vous avez fait? Même si? So - SIS? SIS? Qui êtes-vous?
Chien: je suis un chien.
Q : Les chiens ne peuvent pas parler.
Chien: je suis un chien. Et je parle.
Q : Et bien je ne parle pas pour vous. Que voulez-vous? Mettre cette langue en arrière dans votre bouche. All right. Chien lèche jambes Q’s Stop that —
Chien: pas d’amour. Pas dans votre vie le temps. Nous irons à la tombe sans jamais savoir l’amour.
Q : SIS? SIS?
J: Qui est là?
Q : C’est moi, puis-je —
J: Juste une minute … Qui est-il?
Q : C’est moi.
J: Quel est le problème?
Q : Je n’arrive pas à dormir.
J: Eh bien, que voulez-vous?
Q : Je n’arrive pas à dormir, j’ai appris que vous … Je l’entendre - ce que nous devons continuer à parler à travers une porte?
J: Attendez … All right. Qu’est-ce que c’est?
Q : Puis-je entrer?
J: Quoi? Désolé. Oui.
Q : J’ai eu l’étrange rêve de votre fenêtre.
J: Oui.
Q : Le balcon, il est grand ouvert.
J: vers une heure du matin, une brise se lève. Je ne peux pas dormir avant cette date.
Q : Ce n’est pas sûr.
J: Nul ne vient à travers mon balcon.
Q : Papa dort pas non plus. Je suis passé devant leur chambre, il ya une lumière, je l’ai entendu parler.
J: Je ne sais pas comment quelqu’un peut quand même dormir.
Q : Oui. Après les événements d’aujourd’hui ….
J: Quoi?
Q : Après ce qui s’est passé aujourd’hui.
J: Je parlais de la chaleur.
Q : Vous étiez là. Vous avez vu ce qui s’est passé. Ils nous ont attaqués. Sans aucune raison.
J: Il ya toujours une raison.
Q : Vous pensez que c’est - elles étaient justifiées à —
J: Ce n’est pas ce que j’ai dit. Je l’ai dit il ya toujours une raison. Que ce soit justifié ou n’est pas autre chose.
Q : Après que tout était réglé papa pleurait. Il pleurait. Il a dit que nous sommes coincés ici. Il a dit que nous aurions laissé quand on le pouvait encore, months ago. Il a dit qu’il est presque impossible d’en sortir maintenant, avec tout aussi tendue. Personne ne pensait que ce serait obtenir ce mal.
J: Je ne veux pas parler de cela. Pas maintenant. Je voudrais aller au lit.
Q : Vous parliez à l’un d’entre eux.
J: Quoi?
Q : Pas un des voyous, mais —
J: Je ne me souviens pas qui je parlais. Tout était si intense.
Q : Qu’est-ce qu’ils vous le demande?
J: Demande moi?
Q : Je vous ai vu —
J: Je ne sais pas ce que vous voulez en venir, mais vous venez ici, au milieu de la nuit, après une journée de fou, je suis épuisé assez et puis il ya vous avec vos questions et … retournez à votre chambre. La brise est en hausse. Je veux trouver le sommeil.
Q : Bonne nuit alors.
J: Bonne nuit. Bonne nuit …
Q : Bonjour. Bonjour.
R: Je vous connais?
Q : Il parle. Vous étiez à notre célébration.
R: Vraiment?
Q : Je vous ai vu.
R: Ce n’était pas moi.
Q : C’est drôle, donc, comme je vous rappeler - au point de vous trouver dans les rues - Considérant I “ne vous a jamais vu”.
R: Vous ne devriez pas être ici.
Q : Mon peuple ne sont plus autorisés à marcher dans la rue?
R: Pas cette partie de la ville.
Q : Cette partie de la ville. Ceci est ma ville. Je marche où je veux.
R: Bonne chance à vous alors.
Q : Vous dites que vous ne savez pas qui je suis? Je crois que vous faites.
R: Pourquoi? Pourquoi devrais-je te connais? Qui êtes-vous? Personne. Au revoir.
Q : Il s’est mal terminée, notre célébration.
R: Alors, j’entends. Excusez-moi —
Q : Vous avez entendu? Vous étiez là.
R: Look —
Q : Une bagarre de rue commun. Il a été porté à cela. Je vous ai vu là, bagarreur.
R: La politique ne m’intéresse pas.
Q : Qu’est-ce qui a causé cette dégénérescence - même parmi les personnes instruites de votre espèce, la violence.
R: Quelle est la cause, c’est vous les gens.
Q : les gens nous.
R: Oui.
Q : Nous avons commencé, c’est ce que vous dites.
R: Mon Dieu, tu es rapide.
Q : Votre peuple n’avait rien à voir avec cela.
R: Vous ne devriez pas avoir eu cette réunion pour commencer. Dans les rues.
Q : Il était de notre droit. Vous ne pouvez pas nous dire quoi faire ou ne pas faire. Si tu savais rien de nous que tu dois savoir qu’il s’agissait d’une journée de célébration. Alors vous êtes venu s’écraser dans
R: Nous n’avons jamais démarré de rien.
Q : Ah.
R: Nous ne l’avions jamais nous sommes défendus.
Q : Vous êtes venu de rupture pour notre célébration, détruisant tout —
R: Odd l’appeler une célébration.
Q : Que feriez-vous l’appeler?
R: Dans le meilleur? Une démonstration.
Q, au pire?
R: A oser. Une provocation. Vous souriez.
Q : La chose est … je ne vous crois pas. Il ya quelque chose de faux dans votre attitude, de la façon que tu me insultant. Parce que je sais ce que vous faisiez vraiment là. Je sais.
R: De quoi tu parles? «Je sais ce que vous faisiez, j’ai vu” Ooh. Avez-vous effectivement quelque chose que vous voulez dire?
Q : Une question. Why don’t you hurt me? Ou essayez au moins. Nous sommes seuls. I “ne devrait pas être ici”. Tu hais mon peuple, tant que ça, vous devriez sauter sur l’occasion. Au moins, quelqu’un d’appels, m’ont ramassé. Quelque chose qui vous empêche de me faire mal. Qu’est-ce que c’est?
R: Que faites-vous de la chance. Heureusement que c’est moi que vous avez rencontré. Heureusement que je ne suis pas un animal. N’importe qui d’autre, vous auriez été battu dans la rue. Go home. Retournez à votre stylet. Issues de la R
Q : Oh mon Dieu, c’est vrai. Que j’ai raison. On ne peut pas mais il est.
J: Quoi? Qu’est-ce que c’est?
R: merci Fine et comment êtes-vous?
J: Ne pas. S’il vous plaît. C’est insensé. J’ai failli ne pas s’en aller, il est si tendue à ma maison.
R: Viens ici.
J: Non S’il vous plaît. Just … rester là-bas. Qu’est-ce que c’est?
R: J’ai vu votre (frère / soeur) aujourd’hui.
J: Oh mon Dieu.
R: est venu me voir. Sait qui je suis. Said (il / elle) m’a vu à l’émeute.
J: Où était-ce?
R: Dans la rue. Ma partie de la ville. J’ai essayé de sonner comme un zélote. Je ne pense pas (il / elle) l’a acheté. (Il / elle) ‘s fou. Si quelqu’un d’autre les avait vus —
J: Oh mon dieu. Et (il / elle) nous a pris presque dans ma chambre la nuit dernière.
R: Look —
J: Non Rester là-bas. S’il vous plaît. Juste … Je ne peux pas faire ça.
R: Nous pouvons partir demain.
J: Quoi?
R: Je peux nous sortir demain soir. Il doit être demain soir. My friend —
J: Demain soir? … Tu me dis que c’est ma dernière nuit dans cet endroit. Alors laissez-moi regarder. Une dernière fois.
R: Je déteste cet endroit. Soyez heureux de ne jamais voir de nouveau.
J: Tu n’as pas eu une enfance heureuse.
R: Ce n’est pas comme vous, gosse de riche gâté.
J: Votre famille est riche comme la mienne.
R: Nous ne sommes que plus subtile sur la façon dont nous le montrer.
J: C’est parce que votre peuple a tout leur argent en volant. Ils s’embrassent, je n’ai jamais vu notre ville à partir d’ici, du cimetière. Vous avez demandé à me rencontrer dans un cimetière.
R: Nul ici pour nous rattraper.
J: Je ne sais pas comment nous avons évité d’être pris tout ce temps.
R: J’ai toujours trouvé des cimetières romantiques.
J: Comment ai-je tomber en amour avec un tel imbécile?
Q : C’est touchant.
J: Oh mon dieu.
Q : Vraiment, c’est beau.
J: Avez-vous me suivez?
Q : Même dans l’adversité - leurs peuples respectifs en guerre, disons que c’est: à la guerre. Mais l’amour triomphe toujours.
R: rester à distance.
Q : Ou quoi? Ou vous allez faire quoi?
R: Qu’avez-vous entendu? Qu’avez-vous nous entendre dire?
Q : Vous pensez quoi? Vos reins, votre attirance sexuelle Petty est plus grand que la vie de votre peuple? Savez-vous ce qui se passera quand tout le monde entend parler de cela, ce qu’il fera à votre famille? Vous traître.
J: Regardez autour de vous: ce combat n’a rien à voir avec le sang des lignes ou à l’honneur ou même l’histoire, ce n’est que folie. Et vous l’avaler.
Q : Est-ce gentil? Est-ce une manière aimante pour parler à un membre de la famille? Salope égoïste. Il ya un million d’hommes parfaits pour vous, parmi les vôtres. Vous venez de le veux parce que c’est mal, vous voulez vous sentir spécial, que vous êtes au-dessus le reste d’entre nous. Eh bien, vous n’êtes pas spéciale, vous êtes juste avide. Et gâté. Et un traître. Vous ne pouvez pas vraiment l’amour de lui.
J: parlez à voix basse.
Q : Laissez-moi deviner: il n’est pas comme les autres. Il est l’un des bons. Il ne veut que la paix.
R: Vous savez que c’est vrai.
Q : Vous ne pouvez pas aimer l’ennemi, vous ne pouvez pas.
R: Nous allons maintenant.
J: Ecoute-moi: vous ne comprenez pas cela. Tout ce que vous faites est de répéter les paroles de nos parents. Vous ne pouvez pas comprendre ce que nous éprouvons pour l’autre. Vous n’avez même pas vraiment comprendre ce que tout le combat est d’environ. Vous voyez notre père une épave, vous voyez de la violence. Tu ne sais pas pourquoi. Vous s’accrocher à quoi que ce soit pour vous aider à comprendre. Même si ce que vous s’agripper a tort. Nous ne voulons pas autre chose que d’être laissé en paix. That’s all. Vous comprenez? Let me go. S’il vous plaît. Nous allons … en parler le matin. Ça va? Merci. R & J commenceront à sortir, tout à coup:
Q : Ici! Quelqu’un! Par ici!
J: Que fais-tu?
Q : Je ne suis pas vous laisser aller. Par ici! Aider!
J: Vous allez me tourner en?
Q : Help! Par ici!
J: Je suis ta sœur.
Q : Help!
Attaques R, Q grièvement blessé; les chiens aboient dans le lointain
J: à la R Qu’avez-vous fait? Vous n’aviez pas à le faire. Qu’avez-vous fait?
Q : Avez-vous les entendez? Les chiens. Je les entends.
RJQ
R : - un jeune homme ( also play the dog) J: - une jeune femme
Q le cadet d’une famille, peut-être un garçon ou une fille
Un rêve
Q : Je suis laid (e)
J : Alors ne te regarde pas
Q : Je suis hypnotisé par ma laideur
J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposé te dire : non, t’es pas laid (e), ton visage est spécial. Ou : tu as de beaux yeux. Ou : La beauté est à l’intérieur, c’est ce que tu as a l’intérieur qui compte. (Rire)
Q : Facile de rire pour toi, T’es pas laide.
J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvait beau (belle) quel bien ça te ferait ?
Q : Même si tu.. même si? Mais Mais ? Qui es-tu ?
Dog : Je suis un chien.
Q : Les chiens ne parlent pas
Dog : Je suis un chien et je parle.
Q : Ben alors je ne te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Remet ta langue dans ta bouche. (All right) Dog lèche les jambes de Q. Arrête!!!
Dog : Pas d’Amour, pas dans ta planification de vie. Bien alors plonge dans une vie sans amour
Une maison
Q : Sœur ? Sœur ?
J : Qui est là?
Q : C’est moi, est-ce que je peux ?
J : Juste une minute… Qui est là ?
Q : C’est moi.
J : Qu’est-ce qu’il y a ?
Q : Je peux pas dormir.
J : Alors qu’est-ce que tu veux ?
Q : Je peux pas dormir, j’ai entendu que t’étais réveillé… J’ai entendu… Est-ce qu’on doit absolument continuer à parler dans le cadrage de la porte ?
J : Attends… Ok. Qu’est-ce qu’il y a ?
Q : Est-ce que je peux venir ?
J : Quoi ? Excuse. Oui.
Q : J’ai fait un rêve étrange. Ta fenêtre.
J : Oui.
Q : Ton balcon, c’est grand ouvert.
J : À environ une heure du matin, une brise (entre), je ne peux pas dormir avant.
Q : C’est pas sécuritaire.
J : Personne ne viendra à mon balcon.
Q : Papa ne dort pas encore. J’ai passé devant sa chambre, une allumière est allumé, je l’ai entendu parlé.
J : Je ne connais personne qui puisse dormir de toute façon.
Q : Oui. Après les évènements d’aujourd’hui…
J : Quoi ?
Q : Après ce qui est arrové aujourd’hui ?
J : Je parlais de la chaleur.
Q : Tu étais là, tu as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués. Pour aucune raison.
J : Il y a toujours une raison.
Q : Tu crois que… c’étais justifié ?
J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y avait toujours une raison. Que ça soit justifié ou pas, il y a toujours une raison.
Q : Après que tout fut confirmé papa a pleuré. Il pleurait . Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait du partir lorsque c’était possible, il y a quelques mois. IL a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec toute cette tension. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.
J : Je ne veux pas parler de ça, pas maintenant. Je voudrais me mettre au lit.
Q : Tu parlais à un d’eux?
J : Quoi ?
Q : Pas à un des criminels mais-
J : JE ne me souviens pas à qui je parlais mais. C’était trop (agité)
Q : Qu’est-ce qu’il te demandait ?
J : Ce qu’il me demandait ?
Q : Je t’ai vu –
J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée folle, je suis épuisé moi aussi et puis, il y a toi avec tes questions et – va dans ta chambre. La brise est arrivé. Je veux aller dormir.
Q : Bonne nuit alors.
J : Bonne nuit. Bonne nuit…
La rue
Q : Allo. Allo.
R : Je te connais ?
Q : Tu parles. T’étais à la célébration.
R : Vraiment ?
Q : JE t’ai vu.
R : Ce n’était pas moi.
Q : C’est drôle, puis comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je ne t’ai jamais vu.
R : Tu ne devrais pas être ici.
Q : Mes gens n’ont plus la permission de marcher dans la rue ?
R : Pas dans cette partie de la ville.
Q : Dans cette partie de la ville. C’est ma ville. Je marche ou je veux.
R : Bonne chance à toi alors.
Q : Tu dis que tu ne sais pas qui je suis ? Je crois que tu le sais.
R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaitrais ? Qui es-tu? Personne. Aurevoir.
Q : Ça a mal fini, notre célébration.
R : J’ai entendu. Excuse moi.
Q : T’as entendu ? Tu y étais.
R : Regarde-
Q : Une traditionnelle bagarre de rue. Ça devait en venir à ça? Je t’ai vu, te bagarrer.
R : La politique ne m’intéresse pas.
Q : Qu’est-ce qui a fait que ça a dégénéré, malgré les gens instruits que vous êtes. La violence.
R : La cause c’est vous.
Q : Nous.
R : Oui.
Q : Nous avons commencé, c’est ce que tu es en train de dire ?
R : Mon Dieu, t’es rapide.
Q : Vous autres vous n’avez rien à voir avec tout ça ?
R : Il n’y aurait jamais du avoir ce rassemblement. Dans la rue.
Q : C’était notre droit. Tu ne peux pas nous dire quoi faire ou quoi ne pas faire. Si tu avais connu, tu aurais compris que c’était notre journée de célébration. Puis vous êtes venu tout brisé.
R : Nous n’avons rien commencé.
Q : Ah.
R : Nous ne nous sommes que défendu.
Q : Vous êtes venu faire éclater notre célébration, tout détruire.
R : Tu oses appeler ça une célébration ?
Q : Comment tu appelerais ça ?
R : Au mieux ? Une démonstration.
Q : Au pire ?
R : Un défi. Une provocation. Tu souris.
Q : Il y a que…Je ne te crois pas. Il y a quelque chose de faux dans ton attitude, dans ta façon de m’insulter. Parce que je sais ce que tu faisais réellement là-bas. Je sais.
R : De quoi tu parles ? Je sais ce que tu faisais là-bas , j’ai vu. Ooh. Y-aurait-il quelque chose que tu voulais dire ?
Q : Une question. Pourquoi est-ce que tu ne me frappes pas? Ou du moins que tu n’essaies pas. On es seul. Je ne devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un qu’il vienne me ramasser. Quelque chose t’empêche de me frapper. Qu’est-ce que c’est ?
R : Ce que tu es c’est chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas un animal, n’importe qui d’autre t’aurais frappé dans la rue. Rentre chez-toi. Retourne dans ta prison. R sort.
Q : Ah mon Dieu c’est vrai. J’avais raison. Ç’est impossible mais ça l’est.
- Dans le cimetière
J : Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
R : Bien merci et comment vas-tu?
J : Ne fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. Je ne peux pratiquement pas partir. C’est trop intense chez-nous.
R : Viens ici.
J : Non. S’il te plaît. Reste… là. Qu’est-ce qu’il y a ?
R : J’ai vu ton frère (ta sœur) aujourd’hui.
J : Ah mon Dieu.
R : (Il est) Elle est venu me voir. Il (ou elle) sait qui je suis. (Il) Elle m’a vu à l’émeute.
J : C’était ou ?
R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air fanatique. JE ne pense pas qu’elle (il) l’a avalé. (Il) Elle est folle (fou). Si quelqu’un d’autre l’a vu.
J : Il (Elle) m’a presque attrapé hier dans ma chambre.
R : Regarde
J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je… ne peux pas faire ça.
R : On peut partir demain.
J : Quoi ?
R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Ce doit être demain dans la nuit. Mon ami—
J : Demain dans la nuit ? T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi le regarder. Une dernière fois.
R : Je déteste cet endroit. Content de ne jamais le revoir.
J : Tu n’as pas eu une enfance heureuse ?
R : Pas comme toi, enfant de riche corrompu.
J : Ta famille est aussi riche que la mienne.
R : On étais juste plus subtil dans notre façon de le montrer,
J : C’est parce que vous avez eu cet argent en volant. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, depuis le cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer au cimetière.
R : Il n’y a personne ici pour nous attraper.
J : Je ne sais pas comment on a fait pour ne jamais se faire prendre tout ce temps.
R : J’ai toujours trouvé les cimetières romantiques.
J : Comment ai-je pu tomber amoureuse avec un idiot comme toi ?
Q : C’est touchant.
J : Ah mon Dieu.
Q : Vraiment, c’est beau.
J : Tu m’as suivi?
Q : Même dans l’adversité- les gens respectifs à la guerre, disons le, à la guerre. Mais l’amour conquiert tout.
R : Reste en arrière.
Q : Ou quoi ? Ou tu feras quoi ?
R : Qu’est-ce que t’as entendu ? Qu’est-ce que tu nous as entendu dire ?
Q : Tu crois, quoi ? Votre échine, votre petite attraction sexuelle est plus grande que la vie de vos gens. Savez-vous ce qui arrivera quand tout le monde entendra cette histoire ? Ce que ça fera à votre famille ? Vous êtes des traitres.
J : Regarde autour : Cette bataille n’a rien à voir avec les liens familiaux ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la méchanceté. Et tu gobbes tout ça.
Q : Est-ce que ça n’est pas beau ? Est-ce une façon aimante de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’homme parfait pour toi. Tu le veux lui parce que c’est mauvais, tu veux te sentir spécial, que tu es appart des autres. Et bien tu n’es pas spécial, tu n’es qu’avide. Et corrompu. Tu ne peux pas l’aimer réellement.
J : Baisse le ton.
Q : Laisse moi deviner : Il n’est pas comme les autres. Il est un des bons. Il ne veut que la paix.
R : Tu sais que c’est vrai.
Q : Tu ne peux pas aimer l’ennemi, tu ne peux pas.
R : On s’en va maintenant.
J : Écoute-moi, tu ne comprends pas cela. Tout ce que tu fais c’est de répéter les mots de nos parents. Tu ne peux pas comprendre ce que l’on ressent l’un pour l’autre. Tu n’as jamais vraiment compris à quel sujet était cette bataille. Tu as vu notre père comme une épave. Tu as vu la violence. Tu ne sais pas pourquoi. Tu t’es accroché à n’importe quoi pour t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accrochais c’était mauvais. On ne veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse moi partir. S’il te plaît. Nous en reparlerons demain matin. D’accord ? Merci.
R et J commence à sortir, soudainement…
Q : Ici, Quelqu’un, ici!
J : Qu’est-ce que tu fais ?
Q : Je ne te laisserai pas partir. Ici ! À l’aide !
J : Tu vas me faire tomber dedans ?
Q : À l’aide ! Ici !
J : Je suis ta sœur.
Q : À l’aide !
R attaque, Q gravement blessé, le chien aboit de loin
J à R : Qu’est-ce que tu as fait ? Tu n’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que tu as fait ?
Q : Est-ce que tu les entends ? Les chiens. Je les entends
Q Je suis laid.
Q : Je suis laid.
Q Je suis fascinée par ma laideur.
Q : Je suis fascinée par ma laideur.
Q Facile pour vous de rire. Tu n’es pas laid.
Q : Facile pour vous de rire. Tu n’es pas laid.
Q Même si vous avez fait? Même si? So - SIS? SIS? Qui êtes-vous?
Q : Même si vous avez fait? Même si? So - SIS? SIS? Qui êtes-vous?
Q Les chiens ne peuvent pas parler.
Q : Les chiens ne peuvent pas parler.
Q Et bien je ne parle pas pour vous. Que voulez-vous? Mettre cette langue en arrière dans votre bouche. All right. Chien lèche jambes Q’s Stop that —
Q : Et bien je ne parle pas pour vous. Que voulez-vous? Mettre cette langue en arrière dans votre bouche. All right. Chien lèche jambes Q’s Stop that —
Q SIS? SIS?
Q : SIS? SIS?
Q C’est moi, puis-je —
Q : C’est moi, puis-je —
Q C’est moi.
Q : C’est moi.
Q Je n’arrive pas à dormir.
Q : Je n’arrive pas à dormir.
Q Je n’arrive pas à dormir, j’ai appris que vous … Je l’entendre - ce que nous devons continuer à parler à travers une porte?
Q : Je n’arrive pas à dormir, j’ai appris que vous … Je l’entendre - ce que nous devons continuer à parler à travers une porte?
Q Puis-je entrer?
Q : Puis-je entrer?
Q J’ai eu l’étrange rêve de votre fenêtre.
Q : J’ai eu l’étrange rêve de votre fenêtre.
Q Le balcon, il est grand ouvert.
Q : Le balcon, il est grand ouvert.
Q Ce n’est pas sûr.
Q : Ce n’est pas sûr.
Q Papa dort pas non plus. Je suis passé devant leur chambre, il ya une lumière, je l’ai entendu parler.
Q : Papa dort pas non plus. Je suis passé devant leur chambre, il ya une lumière, je l’ai entendu parler.
Q Oui. Après les événements d’aujourd’hui ….
Q : Oui. Après les événements d’aujourd’hui ….
Q Après ce qui s’est passé aujourd’hui.
Q : Après ce qui s’est passé aujourd’hui.
Q Vous étiez là. Vous avez vu ce qui s’est passé. Ils nous ont attaqués. Sans aucune raison.
Q : Vous étiez là. Vous avez vu ce qui s’est passé. Ils nous ont attaqués. Sans aucune raison.
Q Vous pensez que c’est - elles étaient justifiées à —
Q : Vous pensez que c’est - elles étaient justifiées à —
Q Après que tout était réglé papa pleurait. Il pleurait. Il a dit que nous sommes coincés ici. Il a dit que nous aurions laissé quand on le pouvait encore, months ago. Il a dit qu’il est presque impossible d’en sortir maintenant, avec tout aussi tendue. Personne ne pensait que ce serait obtenir ce mal.
Q : Après que tout était réglé papa pleurait. Il pleurait. Il a dit que nous sommes coincés ici. Il a dit que nous aurions laissé quand on le pouvait encore, months ago. Il a dit qu’il est presque impossible d’en sortir maintenant, avec tout aussi tendue. Personne ne pensait que ce serait obtenir ce mal.
Q Vous parliez à l’un d’entre eux.
Q : Vous parliez à l’un d’entre eux.
Q Pas un des voyous, mais —
Q : Pas un des voyous, mais —
Q Qu’est-ce qu’ils vous le demande?
Q : Qu’est-ce qu’ils vous le demande?
Q Je vous ai vu —
Q : Je vous ai vu —
Q Bonne nuit alors.
Q : Bonne nuit alors.
Q Bonjour. Bonjour.
Q : Bonjour. Bonjour.
Q Il parle. Vous étiez à notre célébration.
Q : Il parle. Vous étiez à notre célébration.
Q Je vous ai vu.
Q : Je vous ai vu.
Q C’est drôle, donc, comme je vous rappeler - au point de vous trouver dans les rues - Considérant I “ne vous a jamais vu”.
Q : C’est drôle, donc, comme je vous rappeler - au point de vous trouver dans les rues - Considérant I “ne vous a jamais vu”.
Q Mon peuple ne sont plus autorisés à marcher dans la rue?
Q : Mon peuple ne sont plus autorisés à marcher dans la rue?
Q Cette partie de la ville. Ceci est ma ville. Je marche où je veux.
Q : Cette partie de la ville. Ceci est ma ville. Je marche où je veux.
Q Vous dites que vous ne savez pas qui je suis? Je crois que vous faites.
Q : Vous dites que vous ne savez pas qui je suis? Je crois que vous faites.
Q Il s’est mal terminée, notre célébration.
Q : Il s’est mal terminée, notre célébration.
Q Vous avez entendu? Vous étiez là.
Q : Vous avez entendu? Vous étiez là.
Q Une bagarre de rue commun. Il a été porté à cela. Je vous ai vu là, bagarreur.
Q : Une bagarre de rue commun. Il a été porté à cela. Je vous ai vu là, bagarreur.
Q Qu’est-ce qui a causé cette dégénérescence - même parmi les personnes instruites de votre espèce, la violence.
Q : Qu’est-ce qui a causé cette dégénérescence - même parmi les personnes instruites de votre espèce, la violence.
Q les gens nous.
Q : les gens nous.
Q Nous avons commencé, c’est ce que vous dites.
Q : Nous avons commencé, c’est ce que vous dites.
Q Votre peuple n’avait rien à voir avec cela.
Q : Votre peuple n’avait rien à voir avec cela.
Q Il était de notre droit. Vous ne pouvez pas nous dire quoi faire ou ne pas faire. Si tu savais rien de nous que tu dois savoir qu’il s’agissait d’une journée de célébration. Alors vous êtes venu s’écraser dans
Q : Il était de notre droit. Vous ne pouvez pas nous dire quoi faire ou ne pas faire. Si tu savais rien de nous que tu dois savoir qu’il s’agissait d’une journée de célébration. Alors vous êtes venu s’écraser dans
Q Ah.
Q : Ah.
Q Vous êtes venu de rupture pour notre célébration, détruisant tout —
Q : Vous êtes venu de rupture pour notre célébration, détruisant tout —
Q Que feriez-vous l’appeler?
Q : Que feriez-vous l’appeler?
Q La chose est … je ne vous crois pas. Il ya quelque chose de faux dans votre attitude, de la façon que tu me insultant. Parce que je sais ce que vous faisiez vraiment là. Je sais.
Q : La chose est … je ne vous crois pas. Il ya quelque chose de faux dans votre attitude, de la façon que tu me insultant. Parce que je sais ce que vous faisiez vraiment là. Je sais.
Q Une question. Why don’t you hurt me? Ou essayez au moins. Nous sommes seuls. I “ne devrait pas être ici”. Tu hais mon peuple, tant que ça, vous devriez sauter sur l’occasion. Au moins, quelqu’un d’appels, m’ont ramassé. Quelque chose qui vous empêche de me faire mal. Qu’est-ce que c’est?
Q : Une question. Why don’t you hurt me? Ou essayez au moins. Nous sommes seuls. I “ne devrait pas être ici”. Tu hais mon peuple, tant que ça, vous devriez sauter sur l’occasion. Au moins, quelqu’un d’appels, m’ont ramassé. Quelque chose qui vous empêche de me faire mal. Qu’est-ce que c’est?
Q Oh mon Dieu, c’est vrai. Que j’ai raison. On ne peut pas mais il est.
Q : Oh mon Dieu, c’est vrai. Que j’ai raison. On ne peut pas mais il est.
Q C’est touchant.
Q : C’est touchant.
Q Vraiment, c’est beau.
Q : Vraiment, c’est beau.
Q Même dans l’adversité - leurs peuples respectifs en guerre, disons que c’est: à la guerre. Mais l’amour triomphe toujours.
Q : Même dans l’adversité - leurs peuples respectifs en guerre, disons que c’est: à la guerre. Mais l’amour triomphe toujours.
Q Ou quoi? Ou vous allez faire quoi?
Q : Ou quoi? Ou vous allez faire quoi?
Q Vous pensez quoi? Vos reins, votre attirance sexuelle Petty est plus grand que la vie de votre peuple? Savez-vous ce qui se passera quand tout le monde entend parler de cela, ce qu’il fera à votre famille? Vous traître.
Q : Vous pensez quoi? Vos reins, votre attirance sexuelle Petty est plus grand que la vie de votre peuple? Savez-vous ce qui se passera quand tout le monde entend parler de cela, ce qu’il fera à votre famille? Vous traître.
Q Est-ce gentil? Est-ce une manière aimante pour parler à un membre de la famille? Salope égoïste. Il ya un million d’hommes parfaits pour vous, parmi les vôtres. Vous venez de le veux parce que c’est mal, vous voulez vous sentir spécial, que vous êtes au-dessus le reste d’entre nous. Eh bien, vous n’êtes pas spéciale, vous êtes juste avide. Et gâté. Et un traître. Vous ne pouvez pas vraiment l’amour de lui.
Q : Est-ce gentil? Est-ce une manière aimante pour parler à un membre de la famille? Salope égoïste. Il ya un million d’hommes parfaits pour vous, parmi les vôtres. Vous venez de le veux parce que c’est mal, vous voulez vous sentir spécial, que vous êtes au-dessus le reste d’entre nous. Eh bien, vous n’êtes pas spéciale, vous êtes juste avide. Et gâté. Et un traître. Vous ne pouvez pas vraiment l’amour de lui.
Q Laissez-moi deviner: il n’est pas comme les autres. Il est l’un des bons. Il ne veut que la paix.
Q : Laissez-moi deviner: il n’est pas comme les autres. Il est l’un des bons. Il ne veut que la paix.
Q Vous ne pouvez pas aimer l’ennemi, vous ne pouvez pas.
Q : Vous ne pouvez pas aimer l’ennemi, vous ne pouvez pas.
Q Ici! Quelqu’un! Par ici!
Q : Ici! Quelqu’un! Par ici!
Q Je ne suis pas vous laisser aller. Par ici! Aider!
Q : Je ne suis pas vous laisser aller. Par ici! Aider!
Q Help! Par ici!
Q : Help! Par ici!
Q Help!
Q : Help!
Q Avez-vous les entendez? Les chiens. Je les entends.
Q : Avez-vous les entendez? Les chiens. Je les entends.
R – un jeune homme; joue aussi le rôle du Chien; J – une jeune femme. Q – Frère ou soeur cadet(te)de J.
Q Je suis laid.
J: Alors, ne te regarde pas.
Q Je suis fascinée par ma laideur.
J: Tu es de pêche pour les compliments. Maintenant, je suis censé dire: non, tu n’es pas laid, votre visage a du caractère. Ou bien: vous avez de beaux yeux. Ou: la beauté n’est que superficielle, c’est ce que l’intérieur qui compte. rires
Q Facile pour vous de rire. Tu n’es pas laid.
J: De toute façon c’est pathétique. Demandant à votre sœur pour les compliments. Même si je ne vous trouve belle, à quoi bon vous faire?
Q Même si vous avez fait? Même si? So - SIS? SIS? Qui êtes-vous?
Chien: je suis un chien.
Q Les chiens ne peuvent pas parler.
Chien: je suis un chien. Et je parle.
Q Et bien je ne parle pas pour vous. Que voulez-vous? Mettre cette langue en arrière dans votre bouche. All right. Chien lèche jambes Q’s Stop that —
Chien: pas d’amour. Pas dans votre vie le temps. Nous irons à la tombe sans jamais savoir l’amour.
Q SIS? SIS?
J: Qui est là?
Q C’est moi, puis-je —
J: Juste une minute … Qui est-il?
Q C’est moi.
J: Quel est le problème?
Q Je n’arrive pas à dormir.
J: Eh bien, que voulez-vous?
Q Je n’arrive pas à dormir, j’ai appris que vous … Je l’entendre - ce que nous devons continuer à parler à travers une porte?
J: Attendez … All right. Qu’est-ce que c’est?
Q Puis-je entrer?
J: Quoi? Désolé. Oui.
Q J’ai eu l’étrange rêve de votre fenêtre.
J: Oui.
Q Le balcon, il est grand ouvert.
J: vers une heure du matin, une brise se lève. Je ne peux pas dormir avant cette date.
Q Ce n’est pas sûr.
J: Nul ne vient à travers mon balcon.
Q Papa dort pas non plus. Je suis passé devant leur chambre, il ya une lumière, je l’ai entendu parler.
J: Je ne sais pas comment quelqu’un peut quand même dormir.
Q Oui. Après les événements d’aujourd’hui ….
J: Quoi?
Q Après ce qui s’est passé aujourd’hui.
J: Je parlais de la chaleur.
Q Vous étiez là. Vous avez vu ce qui s’est passé. Ils nous ont attaqués. Sans aucune raison.
J: Il ya toujours une raison.
Q Vous pensez que c’est - elles étaient justifiées à —
J: Ce n’est pas ce que j’ai dit. Je l’ai dit il ya toujours une raison. Que ce soit justifié ou n’est pas autre chose.
Q Après que tout était réglé papa pleurait. Il pleurait. Il a dit que nous sommes coincés ici. Il a dit que nous aurions laissé quand on le pouvait encore, months ago. Il a dit qu’il est presque impossible d’en sortir maintenant, avec tout aussi tendue. Personne ne pensait que ce serait obtenir ce mal.
J: Je ne veux pas parler de cela. Pas maintenant. Je voudrais aller au lit.
Q Vous parliez à l’un d’entre eux.
J: Quoi?
Q Pas un des voyous, mais —
J: Je ne me souviens pas qui je parlais. Tout était si intense.
Q Qu’est-ce qu’ils vous le demande?
J: Demande moi?
Q Je vous ai vu —
J: Je ne sais pas ce que vous voulez en venir, mais vous venez ici, au milieu de la nuit, après une journée de fou, je suis épuisé assez et puis il ya vous avec vos questions et … retournez à votre chambre. La brise est en hausse. Je veux trouver le sommeil.
Q Bonne nuit alors.
J: Bonne nuit. Bonne nuit …
Q Bonjour. Bonjour.
R: Je vous connais?
Q Il parle. Vous étiez à notre célébration.
R: Vraiment?
Q Je vous ai vu.
R: Ce n’était pas moi.
Q C’est drôle, donc, comme je vous rappeler - au point de vous trouver dans les rues - Considérant I “ne vous a jamais vu”.
R: Vous ne devriez pas être ici.
Q Mon peuple ne sont plus autorisés à marcher dans la rue?
R: Pas cette partie de la ville.
Q Cette partie de la ville. Ceci est ma ville. Je marche où je veux.
R: Bonne chance à vous alors.
Q Vous dites que vous ne savez pas qui je suis? Je crois que vous faites.
R: Pourquoi? Pourquoi devrais-je te connais? Qui êtes-vous? Personne. Au revoir.
Q Il s’est mal terminée, notre célébration.
R: Alors, j’entends. Excusez-moi —
Q Vous avez entendu? Vous étiez là.
R: Look —
Q Une bagarre de rue commun. Il a été porté à cela. Je vous ai vu là, bagarreur.
R: La politique ne m’intéresse pas.
Q Qu’est-ce qui a causé cette dégénérescence - même parmi les personnes instruites de votre espèce, la violence.
R: Quelle est la cause, c’est vous les gens.
Q les gens nous.
R: Oui.
Q Nous avons commencé, c’est ce que vous dites.
R: Mon Dieu, tu es rapide.
Q Votre peuple n’avait rien à voir avec cela.
R: Vous ne devriez pas avoir eu cette réunion pour commencer. Dans les rues.
Q Il était de notre droit. Vous ne pouvez pas nous dire quoi faire ou ne pas faire. Si tu savais rien de nous que tu dois savoir qu’il s’agissait d’une journée de célébration. Alors vous êtes venu s’écraser dans
R: Nous n’avons jamais démarré de rien.
Q Ah.
R: Nous ne l’avions jamais nous sommes défendus.
Q Vous êtes venu de rupture pour notre célébration, détruisant tout —
R: Odd l’appeler une célébration.
Q Que feriez-vous l’appeler?
R: Dans le meilleur? Une démonstration.
Q, au pire?
R: A oser. Une provocation. Vous souriez.
Q La chose est … je ne vous crois pas. Il ya quelque chose de faux dans votre attitude, de la façon que tu me insultant. Parce que je sais ce que vous faisiez vraiment là. Je sais.
R: De quoi tu parles? «Je sais ce que vous faisiez, j’ai vu” Ooh. Avez-vous effectivement quelque chose que vous voulez dire?
Q Une question. Why don’t you hurt me? Ou essayez au moins. Nous sommes seuls. I “ne devrait pas être ici”. Tu hais mon peuple, tant que ça, vous devriez sauter sur l’occasion. Au moins, quelqu’un d’appels, m’ont ramassé. Quelque chose qui vous empêche de me faire mal. Qu’est-ce que c’est?
R: Que faites-vous de la chance. Heureusement que c’est moi que vous avez rencontré. Heureusement que je ne suis pas un animal. N’importe qui d’autre, vous auriez été battu dans la rue. Go home. Retournez à votre stylet. Issues de la R
Q Oh mon Dieu, c’est vrai. Que j’ai raison. On ne peut pas mais il est.
J: Quoi? Qu’est-ce que c’est?
R: merci Fine et comment êtes-vous?
J: Ne pas. S’il vous plaît. C’est insensé. J’ai failli ne pas s’en aller, il est si tendue à ma maison.
R: Viens ici.
J: Non S’il vous plaît. Just … rester là-bas. Qu’est-ce que c’est?
R: J’ai vu votre (frère / soeur) aujourd’hui.
J: Oh mon Dieu.
R: est venu me voir. Sait qui je suis. Said (il / elle) m’a vu à l’émeute.
J: Où était-ce?
R: Dans la rue. Ma partie de la ville. J’ai essayé de sonner comme un zélote. Je ne pense pas (il / elle) l’a acheté. (Il / elle) ‘s fou. Si quelqu’un d’autre les avait vus —
J: Oh mon dieu. Et (il / elle) nous a pris presque dans ma chambre la nuit dernière.
R: Look —
J: Non Rester là-bas. S’il vous plaît. Juste … Je ne peux pas faire ça.
R: Nous pouvons partir demain.
J: Quoi?
R: Je peux nous sortir demain soir. Il doit être demain soir. My friend —
J: Demain soir? … Tu me dis que c’est ma dernière nuit dans cet endroit. Alors laissez-moi regarder. Une dernière fois.
R: Je déteste cet endroit. Soyez heureux de ne jamais voir de nouveau.
J: Tu n’as pas eu une enfance heureuse.
R: Ce n’est pas comme vous, gosse de riche gâté.
J: Votre famille est riche comme la mienne.
R: Nous ne sommes que plus subtile sur la façon dont nous le montrer.
J: C’est parce que votre peuple a tout leur argent en volant. Ils s’embrassent, je n’ai jamais vu notre ville à partir d’ici, du cimetière. Vous avez demandé à me rencontrer dans un cimetière.
R: Nul ici pour nous rattraper.
J: Je ne sais pas comment nous avons évité d’être pris tout ce temps.
R: J’ai toujours trouvé des cimetières romantiques.
J: Comment ai-je tomber en amour avec un tel imbécile?
Q C’est touchant.
J: Oh mon dieu.
Q Vraiment, c’est beau.
J: Avez-vous me suivez?
Q Même dans l’adversité - leurs peuples respectifs en guerre, disons que c’est: à la guerre. Mais l’amour triomphe toujours.
R: rester à distance.
Q Ou quoi? Ou vous allez faire quoi?
R: Qu’avez-vous entendu? Qu’avez-vous nous entendre dire?
Q Vous pensez quoi? Vos reins, votre attirance sexuelle Petty est plus grand que la vie de votre peuple? Savez-vous ce qui se passera quand tout le monde entend parler de cela, ce qu’il fera à votre famille? Vous traître.
J: Regardez autour de vous: ce combat n’a rien à voir avec le sang des lignes ou à l’honneur ou même l’histoire, ce n’est que folie. Et vous l’avaler.
Q Est-ce gentil? Est-ce une manière aimante pour parler à un membre de la famille? Salope égoïste. Il ya un million d’hommes parfaits pour vous, parmi les vôtres. Vous venez de le veux parce que c’est mal, vous voulez vous sentir spécial, que vous êtes au-dessus le reste d’entre nous. Eh bien, vous n’êtes pas spéciale, vous êtes juste avide. Et gâté. Et un traître. Vous ne pouvez pas vraiment l’amour de lui.
J: parlez à voix basse.
Q Laissez-moi deviner: il n’est pas comme les autres. Il est l’un des bons. Il ne veut que la paix.
R: Vous savez que c’est vrai.
Q Vous ne pouvez pas aimer l’ennemi, vous ne pouvez pas.
R: Nous allons maintenant.
J: Ecoute-moi: vous ne comprenez pas cela. Tout ce que vous faites est de répéter les paroles de nos parents. Vous ne pouvez pas comprendre ce que nous éprouvons pour l’autre. Vous n’avez même pas vraiment comprendre ce que tout le combat est d’environ. Vous voyez notre père une épave, vous voyez de la violence. Tu ne sais pas pourquoi. Vous s’accrocher à quoi que ce soit pour vous aider à comprendre. Même si ce que vous s’agripper a tort. Nous ne voulons pas autre chose que d’être laissé en paix. That’s all. Vous comprenez? Let me go. S’il vous plaît. Nous allons … en parler le matin. Ça va? Merci. R & J commenceront à sortir, tout à coup:
Q Ici! Quelqu’un! Par ici!
J: Que fais-tu?
Q Je ne suis pas vous laisser aller. Par ici! Aider!
J: Vous allez me tourner en?
Q Help! Par ici!
J: Je suis ta sœur.
Q Help!
Attaques R, Q grièvement blessé; les chiens aboient dans le lointain
J: à la R Qu’avez-vous fait? Vous n’aviez pas à le faire. Qu’avez-vous fait?
Q Avez-vous les entendez? Les chiens. Je les entends.