Historique de NeufPieces.RjQ

Cacher les modifications mineures - Affichage du code

11 septembre 2011 à 06h37 par SZ -
19 décembre 2009 à 12h46 par Sophie -
Lignes 4-7 modifiées:

R : - un jeune homme (joue aussi le chien)

J : - une jeune femme

en:

R : un jeune homme (joue aussi le chien)

J : une jeune femme

Ligne 209 modifiée:

R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)

en:

R : T’es juste chanceuse. Chanceuse de m’avoir rencontré. Chanceuse que je sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)

19 décembre 2009 à 12h10 par Sophie -
Ligne 20 modifiée:

J : [Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire :] Non, t’es pas laid, ton visage est unique. [Ou] : t’as de beaux yeux. [Ou] : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)

en:

J : [Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire :] Non, t’es pas laide, ton visage est unique. [Ou] : t’as de beaux yeux. [Ou] : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)

19 décembre 2009 à 12h03 par Sophie - Correction finale
Lignes 6-10 modifiées:

J: - une jeune femme

Q le cadet d’une famille

en:

J : - une jeune femme

Q la cadette de Juliette

Lignes 14-15 modifiées:

Q : Je suis laid.

en:

Q : Je suis laide.

Lignes 18-19 modifiées:

Q : Je suis hypnotisé par ma laideur.

en:

Q : Je suis hypnotisée par ma laideur.

Lignes 24-27 modifiées:

J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvais beau, qu’est-ce que ça changerait ?

Q : Même si tu…même si? Donc - Julie ? Julie? C’est qui ?

en:

J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvais belle, qu’est-ce que ça changerait ?

Q : Même si tu…même si? Donc - Julie ? Julie? T’es qui ?

Lignes 36-38 modifiées:

Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Tu mourras sans l’avoir connu l’amour.

en:

Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Tu mourras sans avoir connu l’amour.

Lignes 79-82 modifiées:

Q : Papa dort pas non plus. J’ai passé devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parlé.

J : Personne ne pourrait dormir de toute façon.

en:

Q : Papa dort pas non plus. Je suis passée devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parler.

J : Personne pourrait dormir de toute façon.

Lignes 99-100 modifiées:

Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

en:

Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

Lignes 107-108 modifiées:

Q : Pas à un des pires mais -

en:

Q : Pas à un des pires, mais -

Lignes 124-126 modifiées:

*La rue

en:
  • La rue
Lignes 143-144 modifiées:

Q : On n’a plus le droit de marcher dans la (les)rue(s) ?

en:

Q : On a plus le droit de marcher dans la rue ?

Lignes 185-186 modifiées:

R : Mais on n’a rien fait.

en:

R : Mais on a rien fait.

Lignes 209-210 modifiées:

R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)

en:

R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)

Lignes 221-222 modifiées:

J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli ne pas pouvoir sortir. C’est tellement tendu chez moi.

en:

J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli pas pouvoir sortir. C’est tellement tendu chez moi.

Lignes 227-228 modifiées:

R : J’ai vu ton frère/ta soeur aujourd’hui.

en:

R : J’ai vu ton ta soeur aujourd’hui.

Lignes 231-232 modifiées:

R : Il/elle est venu(e) me voir. Il/elle sait qui je suis. Il/elle a dit qu’il m’a vu durant l’émeute.

en:

R : Elle est venue me voir. Elle sait qui je suis. Elle a dit qu’elle m’a vu durant l’émeute.

Lignes 235-238 modifiées:

R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air dur. Je pense pas qu’il m’a cru. Il est fou. Si quelqu’un d’autre l’avait vu -

J : Oh mon Dieu. Et il nous a presque surpris hier soir dans ma chambre.

en:

R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air dur. Je pense pas qu’elle m’a cru. Elle est folle. Si quelqu’un d’autre l’avait vu -

J : Oh mon Dieu. Et elle nous a presque surpris hier soir dans ma chambre.

Lignes 249-250 modifiées:

J : [Demain dans la nuit ?] T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi la regarder. Une dernière fois.

en:

J : [Demain dans la nuit ?] T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse-moi la regarder. Une dernière fois.

Lignes 271-272 modifiées:

Q : (elle applaudie) C’est touchant.

en:

Q : C’est touchant.

Lignes 277-278 modifiées:

J : Tu m’as suivi?

en:

J : Tu m’as suivie?

Lignes 285-286 modifiées:

R : Qu’est-ce que t’as entendu ? Qu’est-ce que tu nous as entendu dire ?

en:

R : Qu’est-ce que t’as entendu ? Qu’est-ce que tu nous as entendus dire ?

Lignes 291-292 modifiées:

Q : Est-ce que ç’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi parmi les tiens. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, au-dessus des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et gâtée. Et traîtresse. Tu peux pas vraiment l’aimer.

en:

Q : Est-ce que c’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoïste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi parmi les tiens. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, au-dessus des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et gâtée. Et traîtresse. Tu peux pas vraiment l’aimer.

Lignes 303-304 modifiées:

J : Écoute-moi : tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. Tu vois notre père se détruire. Tu vois de la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’accroches à n’importe qui pourrait t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accroche c’est faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On…reparlera de ça demain matin. Ça va ? Merci.

en:

J : Écoute-moi : tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. Tu vois notre père se détruire. Tu vois de la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’accroches à n’importe qui pourrait t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accroches c’est faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On…reparlera de ça demain matin. Ça va ? Merci.

Lignes 321-324 modifiées:

(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboit de loin.)

J (à R) : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?

en:

(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboie de loin.)

J (à R) : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?

Ligne 326 ajoutée:
16 décembre 2009 à 19h14 par Lisa-Marie -
Lignes 34-35 modifiées:

Q : Et bien moi je te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Ravale ta langue. (Le chien liche la jambe de Q.) Arrête!

en:

Q : Et bien moi je te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? [Ravale ta langue. (Le chien liche la jambe de Q.) Arrête!]

Ligne 207 modifiée:

Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. [Tu nous hais tellement,] tu devrais sauter sur l’occasion. [Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche [de me frapper]. C’est quoi ?

en:

Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. [Tu nous hais tellement,] tu devrais sauter sur l’occasion. [Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place.] Quelque chose t’empêche [de me frapper]. C’est quoi ?

08 décembre 2009 à 08h55 par SZ -
Lignes 20-21 modifiées:

J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire : non, t’es pas laid, ton visage est unique. Ou : t’as de beaux yeux. Ou : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)

en:

J : [Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire :] Non, t’es pas laid, ton visage est unique. [Ou] : t’as de beaux yeux. [Ou] : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)

Lignes 36-38 modifiées:

Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Nous mourrons sans l’avoir connu l’amour.

en:

Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Tu mourras sans l’avoir connu l’amour.

Lignes 48-51 modifiées:

J : Juste une minute… C’est qui ?

Q : C’est moi.

en:

J : Juste une minute… [C’est qui ?

Q : C’est moi.]

Lignes 60-67 modifiées:

J : Attends…Bon. Qu’est-ce qu’il y a ?

Q : Est-ce que je peux entrer ?

J : Quoi ? Excuse. Oui.

Q : J’ai fait un rêve vraiment étrange - Ta fenêtre.

en:

J : Attends…
Bon. Qu’est-ce qu’il y a ?

[Q : Est-ce que je peux entrer ?

J : Quoi ? Excuse. Oui.]

Q : J’ai fait un rêve vraiment étrange … Ta fenêtre.

Lignes 83-86 modifiées:

Q : Oui. Après d’aujourd’hui…ce qui s’est passé.

J : Quoi ?

en:

[Q : Oui. Après d’aujourd’hui…ce qui s’est passé.

J : Quoi ?]

Lignes 89-92 modifiées:

J : Je parlais de la chaleur.

Q : T’étais là. T’as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués. Sans raison.

en:

[J : Je parlais de la chaleur.]

Q : T’étais là. T’as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués sans raison.

Lignes 117-118 modifiées:

J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir, mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée de fou, je suis épuisée moi aussi et t’es là avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.

en:

J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir. Tu viens ici en plein milieu de la nuit, après une journée de fou, je suis épuisée moi aussi et t’es là avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.

Lignes 124-126 modifiées:
  • La rue
en:

*La rue

Lignes 139-140 modifiées:

Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je t’ai jamais vu.

en:

Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi [au point de te trouver dans la rue], considérant que je t’ai jamais vu.

Lignes 207-208 modifiées:

Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche de me frapper. C’est quoi ?

en:

Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. [Tu nous hais tellement,] tu devrais sauter sur l’occasion. [Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche [de me frapper]. C’est quoi ?

Lignes 247-250 modifiées:

R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Il faut que ce soit demain dans la nuit. Mon ami -

J : Demain dans la nuit ? T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi la regarder. Une dernière fois.

en:

R :[ Je peux nous faire sortir demain dans la nuit.] Il faut que ce soit demain dans la nuit. [Mon ami -]

J : [Demain dans la nuit ?] T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi la regarder. Une dernière fois.

Ligne 271 modifiée:

Q : C’est touchant.

en:

Q : (elle applaudie) C’est touchant.

02 décembre 2009 à 09h37 par Sophie -
Ligne 142 modifiée:

Q : On n’a plus le droit de marcher dans la rue ?

en:

Q : On n’a plus le droit de marcher dans la (les)rue(s) ?

30 novembre 2009 à 08h42 par SZ -
Lignes 36-38 modifiées:

Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Nous mourrons sans avoir connu l’amour.

en:

Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Nous mourrons sans l’avoir connu l’amour.

Lignes 98-99 modifiées:

Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

en:

Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

Lignes 196-197 modifiées:

R : Au mieux ? Une démonstration.

en:

R : Au mieux ? Une manifestation.

Lignes 226-227 modifiées:

R : J’ai vu ton frère aujourd’hui.

en:

R : J’ai vu ton frère/ta soeur aujourd’hui.

Lignes 230-231 modifiées:

R : Il est venu me voir. Il sait qui je suis. Il a dit qu’il m’a vu durant l’émeute.

en:

R : Il/elle est venu(e) me voir. Il/elle sait qui je suis. Il/elle a dit qu’il m’a vu durant l’émeute.

Lignes 320-322 modifiées:

(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboit de loin.)

J à R : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?

en:

(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboit de loin.)

J (à R) : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?

17 novembre 2009 à 16h18 par Sophie -
Ligne 3 ajoutée:
Ligne 5 ajoutée:
Ligne 7 ajoutée:
Lignes 11-14 modifiées:

Un rêve

en:
  • Un rêve
Lignes 16-17 modifiées:

J : Alors ne te regarde pas.

en:

J : Alors regarde-toi pas.

Lignes 20-23 modifiées:

J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposé te dire : non, t’es pas laid, ton visage est unique. Ou : t’as de beaux yeux. Ou : La beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)

Q : Facile de rire pour toi, t’es pas laide.

en:

J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposée te dire : non, t’es pas laid, ton visage est unique. Ou : t’as de beaux yeux. Ou : la beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)

Q : C’est facile de rire pour toi, t’es pas laide.

Lignes 26-39 modifiées:

Q : Même si tu.. même si? Mais - Julie ? Julie? Qui es-tu ?

Chien : Je suis un chien.

Q : Les chiens ne parlent pas

Chien : Je suis un chien et je parle.

Q : Ben alors je ne te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Ravale ta langue. (Le chien lèche les jambes de Q.) Arrête!!!

Chien : Pas d’amour, jamais de la vie. Nous mourrons sans avoir connu l’amour.

Une maison

en:

Q : Même si tu…même si? Donc - Julie ? Julie? C’est qui ?

Chien : Je suis un chien.

Q : Les chiens parlent pas.

Chien : Je suis un chien. Et je parle.

Q : Et bien moi je te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Ravale ta langue. (Le chien liche la jambe de Q.) Arrête!

Chien : Pas d’amour. Jamais de la vie. Nous mourrons sans avoir connu l’amour.

  • Une maison
Lignes 52-53 modifiées:

J : Qu’est-ce qu’il y a ?

en:

J : Qu’est-ce qui se passe ?

Lignes 56-63 modifiées:

J : Alors qu’est-ce que tu veux ?

Q : Je peux pas dormir, je t’ai entendu te lever… J’ai entendu - Est-ce qu’on doit absolument continuer à se parler dans le cadre de porte ?

J : Attends… Ok. Qu’est-ce qu’il y a ?

Q : Est-ce que je peux venir ?

en:

J : Bon, qu’est-ce que tu veux ?

Q : Je peux pas dormir, je t’ai entendu te lever… J’ai entendu - Est-ce qu’on doit absolument continuer à se parler à travers la porte ?

J : Attends…Bon. Qu’est-ce qu’il y a ?

Q : Est-ce que je peux entrer ?

Lignes 76-79 modifiées:

J : Personne ne va venir à mon balcon.

Q : Papa ne dort pas non plus. J’ai passé devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parlé.

en:

J : Personne va entrer par mon balcon.

Q : Papa dort pas non plus. J’ai passé devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parlé.

Lignes 82-83 modifiées:

Q : Oui. Après les évènements d’aujourd’hui…

en:

Q : Oui. Après d’aujourd’hui…ce qui s’est passé.

Lignes 90-91 modifiées:

Q : Tu étais là, tu as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués. Pour aucune raison.

en:

Q : T’étais là. T’as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués. Sans raison.

Lignes 94-101 modifiées:

Q : Tu crois que - qu’ils avaient raison de -

J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y avait toujours une raison. Qu’elle soit bonne ou pas, il y a toujours une raison.

Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait . Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait du partir quand c’était possible, il y a quelques mois. I a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec toute cette tension. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

J : Je ne veux pas parler de ça, pas maintenant. Je voudrais aller me coucher.

en:

Q : Tu crois que - qu’ils avaient une raison pour -

J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y a toujours une raison. Qu’elle soit bonne ou pas, c’est autre chose.

Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait. Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait dû partir quand il en était encore temps, il y a des mois. Il a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec tout ce qui se passe. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

J : J’ai pas envie de parler de ça. Pas maintenant. Je voudrais aller me coucher.

Lignes 106-107 modifiées:

Q : Pas à un des pires mais-

en:

Q : Pas à un des pires mais -

Lignes 116-117 modifiées:

J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir, mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée de fou, je suis épuisée moi aussi et puis, il y a toi avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.

en:

J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir, mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée de fou, je suis épuisée moi aussi et t’es là avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.

Lignes 122-123 modifiées:

La rue

en:
  • La rue
Lignes 138-139 modifiées:

Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je ne t’ai jamais vu.

en:

Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je t’ai jamais vu.

Lignes 150-153 modifiées:

Q : Tu dis que tu ne sais pas qui je suis ? Je pense que tu le sais.

R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaitrais ? T’es qui? Personne. Salut.

en:

Q : Tu dis que tu sais pas qui je suis ? Je pense que tu le sais.

R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaîtrais ? T’es qui? Personne. Salut.

Lignes 156-161 modifiées:

R : C’est ce que j’ai entendu. Excuse moi -

Q : T’as entendu ? T’étais là.

R : Regarde-

en:

R : C’est ce que j’ai entendu. Excuse-moi -

Q : Tu l’as entendu ? T’étais là.

R : Regarde -

Lignes 164-165 modifiées:

R : La politique ne m’intéresse pas.

en:

R : La politique m’intéresse pas.

Lignes 174-175 modifiées:

Q : On a commencé, c’est ce que tu es en train de dire ?

en:

Q : On a commencé, c’est ce que t’es en train de dire ?

Lignes 178-183 modifiées:

Q : Et vous, vous n’avez rien à voir avec tout ça ?

R : Il n’y aurait jamais du avoir de rassemblement. En pleine rue.

Q : C’était notre droit. Tu ne peux pas nous dire quoi faire ou pas faire. Si tu nous connaissais, tu aurais su que c’était notre journée de fête. Et vous vous êtes invités.

en:

Q : Et vous, vous avez rien à voir avec tout ça.

R : Il y aurait jamais dû avoir de rassemblement. En pleine rue.

Q : C’était notre droit. Tu peux pas nous dire quoi faire ou pas faire. Si tu nous connaissais, tu aurais su que c’était notre jour de fête. Et vous vous êtes invités.

Lignes 188-189 modifiées:

R : On s’est juste défendu.

en:

R : On s’est juste défendus.

Lignes 192-193 modifiées:

R : Tu oses appeler ça une fête?

en:

R : C’est drôle que t’appelles ça une fête.

Lignes 204-209 modifiées:

R : De quoi tu parles ? “Je sais ce que tu faisais là-bas , je t’ai vu.” Ooh. As-tu au moins quelque chose à dire ?

Q : Une question. Pourquoi est-ce que tu ne m’attaques pas? Ou du moins que t’essaies pas. On est seuls. Je ne devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche de me frapper. C’est quoi ?

R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas une bête, n’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez-toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)

en:

R : De quoi tu parles ? “Je sais ce que tu faisais là-bas , je t’ai vu.” Ooh. Est-ce que t’as au moins quelque chose à dire ?

Q : Une question. Pourquoi tu m’attaques pas? Essaie, au moins. On est seuls. Je devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche de me frapper. C’est quoi ?

R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas une bête. N’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)

Lignes 212-213 modifiées:

Dans le cimetière

en:
  • Dans le cimetière
Lignes 218-221 modifiées:

R : Bien, merci, et Toi?

J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli ne pas pouvoir venir. C’est tellement tendu chez moi.

en:

R : Bien, merci, et toi?

J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli ne pas pouvoir sortir. C’est tellement tendu chez moi.

Lignes 224-225 modifiées:

J : Non. S’il te plaît. Reste là. Qu’est-ce qu’il y a ?

en:

J : Non. S’il te plaît. Fais juste…rester où t’es. Qu’est-ce qu’il y a ?

Lignes 230-231 modifiées:

R : Il est venu me voir. Il sait qui je suis. Il m’a vu durant l’émeute.

en:

R : Il est venu me voir. Il sait qui je suis. Il a dit qu’il m’a vu durant l’émeute.

Lignes 236-237 modifiées:

J : Il nous a presque surpris hier dans ma chambre.

en:

J : Oh mon Dieu. Et il nous a presque surpris hier soir dans ma chambre.

Lignes 240-241 modifiées:

J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je…je peux pas faire ça.

en:

J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je…je peux pas continuer.

Lignes 246-247 modifiées:

R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Ce doit être demain dans la nuit. Mon ami -

en:

R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Il faut que ce soit demain dans la nuit. Mon ami -

Lignes 250-251 modifiées:

R : Je déteste cet endroit. Je serai content de jamais le revoir.

en:

R : Je déteste cet endroit. Je vais être content de jamais le revoir.

Lignes 258-261 modifiées:

R : On était juste plus subtils dans notre façon de le montrer.

J : C’est parce que vous avez eu cet argent en volant. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, du le cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer au cimetière.

en:

R : On est juste plus subtils dans notre façon de le montrer.

J : C’est parce que c’est de l’argent sale. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, du cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer ici.

Lignes 268-269 modifiées:

J : Comment ai-je pu tomber amoureuse d’un idiot comme toi ?

en:

J : Comment j’ai pu tomber en amour avec un idiot comme toi ?

Lignes 274-275 modifiées:

Q : Vraiment, c’est beau.

en:

Q : Vraiment, c’est magnifique.

Lignes 282-283 modifiées:

Q : Ou quoi ? Ou tu feras quoi ?

en:

Q : Ou quoi ? Ou tu vas faire quoi ?

Lignes 286-291 modifiées:

Q : Tu penses quoi ? Vos hormones, votre petite attraction sexuelle est plus importante que la vie des autres? Savez-vous ce qui va arriver quand tout le monde entendra cette histoire ? Ce que ça fera à votre famille ? Vous êtes des traitres.

J : Regarde autour : cette guerre-là n’a rien à voir avec les liens familiaux ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la haine. Et t’avales tout ça.

Q : Est-ce que ç’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, que tu es à part des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et corrompue. Tu peux pas l’aimer pour vrai.

en:

Q : À quoi tu penses? Vos hormones, votre petite attraction sexuelle est plus importante que la vie des autres? Savez-vous ce qui va arriver quand tout le monde va entendre cette histoire, ce que ça va faire à vos familles ? Traîtres.

J : Regarde autour : cette guerre-là a rien à voir avec nos familles ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la haine. Et t’avales tout ça.

Q : Est-ce que ç’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi parmi les tiens. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, au-dessus des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et gâtée. Et traîtresse. Tu peux pas vraiment l’aimer.

Lignes 302-307 modifiées:

J : Écoute-moi, tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. T’as vu notre père se détruire. T’as vu la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’es accroché à n’importe quoi pour t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accrochais c’était faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On en reparlera demain matin. D’accord ? Merci.

(R et J commence à sortir, soudainement :)

Q : Ici, Quelqu’un, ici!

en:

J : Écoute-moi : tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. Tu vois notre père se détruire. Tu vois de la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’accroches à n’importe qui pourrait t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accroche c’est faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On…reparlera de ça demain matin. Ça va ? Merci.

(R et J sortent, soudainement :)

Q : Ici! Quelqu’un! Par ici!

Lignes 310-311 modifiées:

Q : Je te laisserai pas partir. Ici ! À l’aide !

en:

Q : Je te laisserai pas partir. Par ici ! Au secours !

Lignes 314-315 modifiées:

Q : À l’aide ! Ici !

en:

Q : À l’aide ! Par ici !

Lignes 318-319 modifiées:

Q : À l’aide !

en:

Q : Au secours !

Ligne 324 modifiée:

Q : Est-ce que tu les entends ? Les chiens. Je les entends.

en:

Q : Tu les entends ? Les chiens. Je les entends.

17 novembre 2009 à 15h46 par Sophie -
Ligne 3 modifiée:

R : - un jeune homme ( also play the dog)

en:

R : - un jeune homme (joue aussi le chien)

Lignes 5-8 modifiées:

Q le cadet d’une famille, peut-être un garçon ou une fille

en:

Q le cadet d’une famille

Lignes 12-27 modifiées:

Q : Je suis laid (e)

J : Alors ne te regarde pas

Q : Je suis hypnotisé par ma laideur

J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposé te dire : non, t’es pas laid (e), ton visage est spécial. Ou : tu as de beaux yeux. Ou : La beauté est à l’intérieur, c’est ce que tu as a l’intérieur qui compte. (Rire)

Q : Facile de rire pour toi, T’es pas laide.

J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvait beau (belle) quel bien ça te ferait ?

Q : Même si tu.. même si? Mais Mais ? Qui es-tu ?

Dog : Je suis un chien.

en:

Q : Je suis laid.

J : Alors ne te regarde pas.

Q : Je suis hypnotisé par ma laideur.

J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposé te dire : non, t’es pas laid, ton visage est unique. Ou : t’as de beaux yeux. Ou : La beauté est à l’intérieur, c’est ce qui est à l’intérieur qui compte. (Rire)

Q : Facile de rire pour toi, t’es pas laide.

J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvais beau, qu’est-ce que ça changerait ?

Q : Même si tu.. même si? Mais - Julie ? Julie? Qui es-tu ?

Chien : Je suis un chien.

Lignes 30-35 modifiées:

Dog : Je suis un chien et je parle.

Q : Ben alors je ne te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Remet ta langue dans ta bouche. (All right) Dog lèche les jambes de Q. Arrête!!!

Dog : Pas d’Amour, pas dans ta planification de vie. Bien alors plonge dans une vie sans amour

en:

Chien : Je suis un chien et je parle.

Q : Ben alors je ne te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Ravale ta langue. (Le chien lèche les jambes de Q.) Arrête!!!

Chien : Pas d’amour, jamais de la vie. Nous mourrons sans avoir connu l’amour.

Lignes 38-45 modifiées:

Q : Sœur ? Sœur ?

J : Qui est là?

Q : C’est moi, est-ce que je peux ?

J : Juste une minute… Qui est là ?

en:

Q : Julie ? Julie ?

J : C’est qui?

Q : C’est moi, est-ce que je peux -

J : Juste une minute… C’est qui ?

Lignes 54-55 modifiées:

Q : Je peux pas dormir, j’ai entendu que t’étais réveillé… J’ai entendu… Est-ce qu’on doit absolument continuer à parler dans le cadrage de la porte ?

en:

Q : Je peux pas dormir, je t’ai entendu te lever… J’ai entendu - Est-ce qu’on doit absolument continuer à se parler dans le cadre de porte ?

Lignes 62-63 modifiées:

Q : J’ai fait un rêve étrange. Ta fenêtre.

en:

Q : J’ai fait un rêve vraiment étrange - Ta fenêtre.

Lignes 68-69 modifiées:

J : À environ une heure du matin, une brise (entre), je ne peux pas dormir avant.

en:

J : J’attends que le vent se lève, je peux pas dormir.

Lignes 72-77 modifiées:

J : Personne ne viendra à mon balcon.

Q : Papa ne dort pas encore. J’ai passé devant sa chambre, une allumière est allumé, je l’ai entendu parlé.

J : Je ne connais personne qui puisse dormir de toute façon.

en:

J : Personne ne va venir à mon balcon.

Q : Papa ne dort pas non plus. J’ai passé devant sa chambre, la lumière était allumée, je l’ai entendu parlé.

J : Personne ne pourrait dormir de toute façon.

Lignes 82-83 modifiées:

Q : Après ce qui est arrové aujourd’hui ?

en:

Q : Après ce qui est arrivé aujourd’hui.

Lignes 90-99 modifiées:

Q : Tu crois que… c’étais justifié ?

J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y avait toujours une raison. Que ça soit justifié ou pas, il y a toujours une raison.

Q : Après que tout fut confirmé papa a pleuré. Il pleurait . Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait du partir lorsque c’était possible, il y a quelques mois. IL a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec toute cette tension. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

J : Je ne veux pas parler de ça, pas maintenant. Je voudrais me mettre au lit.

Q : Tu parlais à un d’eux?

en:

Q : Tu crois que - qu’ils avaient raison de -

J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y avait toujours une raison. Qu’elle soit bonne ou pas, il y a toujours une raison.

Q : Quand tout s’est terminé, papa s’est mis à pleurer. Il pleurait . Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait du partir quand c’était possible, il y a quelques mois. I a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec toute cette tension. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

J : Je ne veux pas parler de ça, pas maintenant. Je voudrais aller me coucher.

Q : Tu parlais avec l’un d’eux.

Lignes 102-109 modifiées:

Q : Pas à un des criminels mais-

J : JE ne me souviens pas à qui je parlais mais. C’était trop (agité)

Q : Qu’est-ce qu’il te demandait ?

J : Ce qu’il me demandait ?

en:

Q : Pas à un des pires mais-

J : Je me souviens pas à qui je parlais. Ça s’est passé tellement vite.

Q : Qu’est-ce qu’il te voulait ?

J : Ce qu’il me voulait ?

Lignes 112-113 modifiées:

J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée folle, je suis épuisé moi aussi et puis, il y a toi avec tes questions et – va dans ta chambre. La brise est arrivé. Je veux aller dormir.

en:

J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir, mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée de fou, je suis épuisée moi aussi et puis, il y a toi avec tes questions et…retourne dans ta chambre. Le vent s’est levé. Je veux aller dormir.

Lignes 124-125 modifiées:

Q : Tu parles. T’étais à la célébration.

en:

Q : J’espère. T’étais au rassemblement.

Lignes 128-137 modifiées:

Q : JE t’ai vu.

R : Ce n’était pas moi.

Q : C’est drôle, puis comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je ne t’ai jamais vu.

R : Tu ne devrais pas être ici.

Q : Mes gens n’ont plus la permission de marcher dans la rue ?

en:

Q : Je t’ai vu.

R : C’était pas moi.

Q : C’est drôle, comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je ne t’ai jamais vu.

R : Tu devrais pas être ici.

Q : On n’a plus le droit de marcher dans la rue ?

Lignes 140-141 modifiées:

Q : Dans cette partie de la ville. C’est ma ville. Je marche ou je veux.

en:

Q : Dans cette partie de la ville. C’est ma ville. Je marche où je veux.

Lignes 144-153 modifiées:

Q : Tu dis que tu ne sais pas qui je suis ? Je crois que tu le sais.

R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaitrais ? Qui es-tu? Personne. Aurevoir.

Q : Ça a mal fini, notre célébration.

R : J’ai entendu. Excuse moi.

Q : T’as entendu ? Tu y étais.

en:

Q : Tu dis que tu ne sais pas qui je suis ? Je pense que tu le sais.

R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaitrais ? T’es qui? Personne. Salut.

Q : Ça a mal fini, le rassemblement.

R : C’est ce que j’ai entendu. Excuse moi -

Q : T’as entendu ? T’étais là.

Lignes 156-157 modifiées:

Q : Une traditionnelle bagarre de rue. Ça devait en venir à ça? Je t’ai vu, te bagarrer.

en:

Q : Une bagarre de rue bien ordinaire. Ça devait en venir à ça. Je t’ai vu, te battre.

Lignes 160-163 modifiées:

Q : Qu’est-ce qui a fait que ça a dégénéré, malgré les gens instruits que vous êtes. La violence.

R : La cause c’est vous.

en:

Q : Qu’est-ce qui a fait que ça a dégénéré - vous êtes pourtant des gens “civilisés”.

R : C’est vous qui avez commencé.

Lignes 168-169 modifiées:

Q : Nous avons commencé, c’est ce que tu es en train de dire ?

en:

Q : On a commencé, c’est ce que tu es en train de dire ?

Lignes 172-179 modifiées:

Q : Vous autres vous n’avez rien à voir avec tout ça ?

R : Il n’y aurait jamais du avoir ce rassemblement. Dans la rue.

Q : C’était notre droit. Tu ne peux pas nous dire quoi faire ou quoi ne pas faire. Si tu avais connu, tu aurais compris que c’était notre journée de célébration. Puis vous êtes venu tout brisé.

R : Nous n’avons rien commencé.

en:

Q : Et vous, vous n’avez rien à voir avec tout ça ?

R : Il n’y aurait jamais du avoir de rassemblement. En pleine rue.

Q : C’était notre droit. Tu ne peux pas nous dire quoi faire ou pas faire. Si tu nous connaissais, tu aurais su que c’était notre journée de fête. Et vous vous êtes invités.

R : Mais on n’a rien fait.

Lignes 182-189 modifiées:

R : Nous ne nous sommes que défendu.

Q : Vous êtes venu faire éclater notre célébration, tout détruire.

R : Tu oses appeler ça une célébration ?

Q : Comment tu appelerais ça ?

en:

R : On s’est juste défendu.

Q : Vous êtes venus gâcher notre fête, tout détruire -

R : Tu oses appeler ça une fête?

Q : Comment t’appellerais ça ?

Lignes 194-207 modifiées:

R : Un défi. Une provocation. Tu souris.

Q : Il y a que…Je ne te crois pas. Il y a quelque chose de faux dans ton attitude, dans ta façon de m’insulter. Parce que je sais ce que tu faisais réellement là-bas. Je sais.

R : De quoi tu parles ? Je sais ce que tu faisais là-bas , j’ai vu. Ooh. Y-aurait-il quelque chose que tu voulais dire ?

Q : Une question. Pourquoi est-ce que tu ne me frappes pas? Ou du moins que tu n’essaies pas. On es seul. Je ne devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un qu’il vienne me ramasser. Quelque chose t’empêche de me frapper. Qu’est-ce que c’est ?

R : Ce que tu es c’est chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas un animal, n’importe qui d’autre t’aurais frappé dans la rue. Rentre chez-toi. Retourne dans ta prison. R sort.

Q : Ah mon Dieu c’est vrai. J’avais raison. Ç’est impossible mais ça l’est.

- Dans le cimetière

en:

R : Une provocation. Un défi. Tu souris.

Q : C’est que…Je te crois pas. Il y a quelque chose de faux dans ton attitude, dans ta façon de m’insulter. Parce que je sais ce que tu faisais vraiment là-bas. Je le sais.

R : De quoi tu parles ? “Je sais ce que tu faisais là-bas , je t’ai vu.” Ooh. As-tu au moins quelque chose à dire ?

Q : Une question. Pourquoi est-ce que tu ne m’attaques pas? Ou du moins que t’essaies pas. On est seuls. Je ne devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un pour qu’il le fasse à ta place. Quelque chose t’empêche de me frapper. C’est quoi ?

R : T’es juste chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas une bête, n’importe qui d’autre en aurait profité. Rentre chez-toi. Retourne dans ton trou. (R sort.)

Q : Oh mon Dieu, c’est vrai. J’avais raison. Ça se peut pas, mais oui.

Dans le cimetière

Lignes 210-213 modifiées:

R : Bien merci et comment vas-tu?

J : Ne fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. Je ne peux pratiquement pas partir. C’est trop intense chez-nous.

en:

R : Bien, merci, et Toi?

J : Fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. J’ai failli ne pas pouvoir venir. C’est tellement tendu chez moi.

Lignes 216-233 modifiées:

J : Non. S’il te plaît. Reste… là. Qu’est-ce qu’il y a ?

R : J’ai vu ton frère (ta sœur) aujourd’hui.

J : Ah mon Dieu.

R : (Il est) Elle est venu me voir. Il (ou elle) sait qui je suis. (Il) Elle m’a vu à l’émeute.

J : C’était ou ?

R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air fanatique. JE ne pense pas qu’elle (il) l’a avalé. (Il) Elle est folle (fou). Si quelqu’un d’autre l’a vu.

J : Il (Elle) m’a presque attrapé hier dans ma chambre.

R : Regarde

J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je… ne peux pas faire ça.

en:

J : Non. S’il te plaît. Reste là. Qu’est-ce qu’il y a ?

R : J’ai vu ton frère aujourd’hui.

J : Oh mon Dieu.

R : Il est venu me voir. Il sait qui je suis. Il m’a vu durant l’émeute.

J : Où tu l’as vu ?

R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air dur. Je pense pas qu’il m’a cru. Il est fou. Si quelqu’un d’autre l’avait vu -

J : Il nous a presque surpris hier dans ma chambre.

R : Regarde -

J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je…je peux pas faire ça.

Lignes 238-247 modifiées:

R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Ce doit être demain dans la nuit. Mon ami—

J : Demain dans la nuit ? T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi le regarder. Une dernière fois.

R : Je déteste cet endroit. Content de ne jamais le revoir.

J : Tu n’as pas eu une enfance heureuse ?

R : Pas comme toi, enfant de riche corrompu.

en:

R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Ce doit être demain dans la nuit. Mon ami -

J : Demain dans la nuit ? T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi la regarder. Une dernière fois.

R : Je déteste cet endroit. Je serai content de jamais le revoir.

J : T’as jamais été bien ici ?

R : Pas comme toi, petite fille de riche.

Lignes 250-257 modifiées:

R : On étais juste plus subtil dans notre façon de le montrer,

J : C’est parce que vous avez eu cet argent en volant. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, depuis le cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer au cimetière.

R : Il n’y a personne ici pour nous attraper.

J : Je ne sais pas comment on a fait pour ne jamais se faire prendre tout ce temps.

en:

R : On était juste plus subtils dans notre façon de le montrer.

J : C’est parce que vous avez eu cet argent en volant. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, du le cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer au cimetière.

R : Il y a personne ici pour nous voir.

J : Je sais pas comment on a fait pour jamais se faire prendre tout ce temps.

Lignes 260-261 modifiées:

J : Comment ai-je pu tomber amoureuse avec un idiot comme toi ?

en:

J : Comment ai-je pu tomber amoureuse d’un idiot comme toi ?

Lignes 264-265 modifiées:

J : Ah mon Dieu.

en:

J : Oh mon Dieu.

Lignes 270-273 modifiées:

Q : Même dans l’adversité- les gens respectifs à la guerre, disons le, à la guerre. Mais l’amour conquiert tout.

R : Reste en arrière.

en:

Q : Même dans l’adversité- nos deux clans en pleine guerre. Mais l’amour triomphe de tout.

R : Reste là.

Lignes 278-287 modifiées:

Q : Tu crois, quoi ? Votre échine, votre petite attraction sexuelle est plus grande que la vie de vos gens. Savez-vous ce qui arrivera quand tout le monde entendra cette histoire ? Ce que ça fera à votre famille ? Vous êtes des traitres.

J : Regarde autour : Cette bataille n’a rien à voir avec les liens familiaux ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la méchanceté. Et tu gobbes tout ça.

Q : Est-ce que ça n’est pas beau ? Est-ce une façon aimante de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’homme parfait pour toi. Tu le veux lui parce que c’est mauvais, tu veux te sentir spécial, que tu es appart des autres. Et bien tu n’es pas spécial, tu n’es qu’avide. Et corrompu. Tu ne peux pas l’aimer réellement.

J : Baisse le ton.

Q : Laisse moi deviner : Il n’est pas comme les autres. Il est un des bons. Il ne veut que la paix.

en:

Q : Tu penses quoi ? Vos hormones, votre petite attraction sexuelle est plus importante que la vie des autres? Savez-vous ce qui va arriver quand tout le monde entendra cette histoire ? Ce que ça fera à votre famille ? Vous êtes des traitres.

J : Regarde autour : cette guerre-là n’a rien à voir avec les liens familiaux ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la haine. Et t’avales tout ça.

Q : Est-ce que ç’est pas beau ? Est-ce que c’est une façon correcte de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’hommes parfaits pour toi. Tu le veux lui parce que c’est interdit, tu veux te sentir spéciale, que tu es à part des autres. Et bien t’es pas spéciale, t’es juste avide. Et corrompue. Tu peux pas l’aimer pour vrai.

J : Parle moins fort.

Q : Laisse-moi deviner : il est pas comme les autres. Lui, c’est un des bons. Il se bat pour la paix.

Lignes 290-291 modifiées:

Q : Tu ne peux pas aimer l’ennemi, tu ne peux pas.

en:

Q : Tu peux pas aimer l’ennemi, tu peux pas.

Lignes 294-297 modifiées:

J : Écoute-moi, tu ne comprends pas cela. Tout ce que tu fais c’est de répéter les mots de nos parents. Tu ne peux pas comprendre ce que l’on ressent l’un pour l’autre. Tu n’as jamais vraiment compris à quel sujet était cette bataille. Tu as vu notre père comme une épave. Tu as vu la violence. Tu ne sais pas pourquoi. Tu t’es accroché à n’importe quoi pour t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accrochais c’était mauvais. On ne veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse moi partir. S’il te plaît. Nous en reparlerons demain matin. D’accord ? Merci.

R et J commence à sortir, soudainement…

en:

J : Écoute-moi, tu comprends rien. Tout ce que tu fais, c’est répéter les mots de nos parents. Tu peux pas comprendre ce qu’on ressent l’un pour l’autre. T’as jamais vraiment compris pourquoi tu te battais. T’as vu notre père se détruire. T’as vu la violence. Tu sais pas pourquoi. Tu t’es accroché à n’importe quoi pour t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accrochais c’était faux. On veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse-moi partir. S’il te plaît. On en reparlera demain matin. D’accord ? Merci.

(R et J commence à sortir, soudainement :)

Lignes 302-305 modifiées:

Q : Je ne te laisserai pas partir. Ici ! À l’aide !

J : Tu vas me faire tomber dedans ?

en:

Q : Je te laisserai pas partir. Ici ! À l’aide !

J : Tu vas me dénoncer ?

Lignes 312-316 modifiées:

R attaque, Q gravement blessé, le chien aboit de loin

J à R : Qu’est-ce que tu as fait ? Tu n’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que tu as fait ?

Q : Est-ce que tu les entends ? Les chiens. Je les entends

en:

(R attaque Q, Q est gravement blessé; un chien aboit de loin.)

J à R : Qu’est-ce que t’as fait ? T’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que t’as fait ?

Q : Est-ce que tu les entends ? Les chiens. Je les entends.

08 novembre 2009 à 20h11 par Lisa-Marie -
Lignes 1-311 modifiées:

RJQ

R – un jeune homme; joue aussi le rôle du Chien; J – une jeune femme. Q – Frère ou soeur cadet(te)de J.

  • Un rêve

Q : Je suis laid.

J: Alors, ne te regarde pas.

Q : Je suis fascinée par ma laideur.

J: Tu es de pêche pour les compliments. Maintenant, je suis censé dire: non, tu n’es pas laid, votre visage a du caractère. Ou bien: vous avez de beaux yeux. Ou: la beauté n’est que superficielle, c’est ce que l’intérieur qui compte. rires

Q : Facile pour vous de rire. Tu n’es pas laid.

J: De toute façon c’est pathétique. Demandant à votre sœur pour les compliments. Même si je ne vous trouve belle, à quoi bon vous faire?

Q : Même si vous avez fait? Même si? So - SIS? SIS? Qui êtes-vous?

Chien: je suis un chien.

Q : Les chiens ne peuvent pas parler.

Chien: je suis un chien. Et je parle.

Q : Et bien je ne parle pas pour vous. Que voulez-vous? Mettre cette langue en arrière dans votre bouche. All right. Chien lèche jambes Q’s Stop that —

Chien: pas d’amour. Pas dans votre vie le temps. Nous irons à la tombe sans jamais savoir l’amour.

  • La maison

Q : SIS? SIS?

J: Qui est là?

Q : C’est moi, puis-je —

J: Juste une minute … Qui est-il?

Q : C’est moi.

J: Quel est le problème?

Q : Je n’arrive pas à dormir.

J: Eh bien, que voulez-vous?

Q : Je n’arrive pas à dormir, j’ai appris que vous … Je l’entendre - ce que nous devons continuer à parler à travers une porte?

J: Attendez … All right. Qu’est-ce que c’est?

Q : Puis-je entrer?

J: Quoi? Désolé. Oui.

Q : J’ai eu l’étrange rêve de votre fenêtre.

J: Oui.

Q : Le balcon, il est grand ouvert.

J: vers une heure du matin, une brise se lève. Je ne peux pas dormir avant cette date.

Q : Ce n’est pas sûr.

J: Nul ne vient à travers mon balcon.

Q : Papa dort pas non plus. Je suis passé devant leur chambre, il ya une lumière, je l’ai entendu parler.

J: Je ne sais pas comment quelqu’un peut quand même dormir.

Q : Oui. Après les événements d’aujourd’hui ….

J: Quoi?

Q : Après ce qui s’est passé aujourd’hui.

J: Je parlais de la chaleur.

Q : Vous étiez là. Vous avez vu ce qui s’est passé. Ils nous ont attaqués. Sans aucune raison.

J: Il ya toujours une raison.

Q : Vous pensez que c’est - elles étaient justifiées à —

J: Ce n’est pas ce que j’ai dit. Je l’ai dit il ya toujours une raison. Que ce soit justifié ou n’est pas autre chose.

Q : Après que tout était réglé papa pleurait. Il pleurait. Il a dit que nous sommes coincés ici. Il a dit que nous aurions laissé quand on le pouvait encore, months ago. Il a dit qu’il est presque impossible d’en sortir maintenant, avec tout aussi tendue. Personne ne pensait que ce serait obtenir ce mal.

J: Je ne veux pas parler de cela. Pas maintenant. Je voudrais aller au lit.

Q : Vous parliez à l’un d’entre eux.

J: Quoi?

Q : Pas un des voyous, mais —

J: Je ne me souviens pas qui je parlais. Tout était si intense.

Q : Qu’est-ce qu’ils vous le demande?

J: Demande moi?

Q : Je vous ai vu —

J: Je ne sais pas ce que vous voulez en venir, mais vous venez ici, au milieu de la nuit, après une journée de fou, je suis épuisé assez et puis il ya vous avec vos questions et … retournez à votre chambre. La brise est en hausse. Je veux trouver le sommeil.

Q : Bonne nuit alors.

J: Bonne nuit. Bonne nuit …

  • La rue

Q : Bonjour. Bonjour.

R: Je vous connais?

Q : Il parle. Vous étiez à notre célébration.

R: Vraiment?

Q : Je vous ai vu.

R: Ce n’était pas moi.

Q : C’est drôle, donc, comme je vous rappeler - au point de vous trouver dans les rues - Considérant I “ne vous a jamais vu”.

R: Vous ne devriez pas être ici.

Q : Mon peuple ne sont plus autorisés à marcher dans la rue?

R: Pas cette partie de la ville.

Q : Cette partie de la ville. Ceci est ma ville. Je marche où je veux.

R: Bonne chance à vous alors.

Q : Vous dites que vous ne savez pas qui je suis? Je crois que vous faites.

R: Pourquoi? Pourquoi devrais-je te connais? Qui êtes-vous? Personne. Au revoir.

Q : Il s’est mal terminée, notre célébration.

R: Alors, j’entends. Excusez-moi —

Q : Vous avez entendu? Vous étiez là.

R: Look —

Q : Une bagarre de rue commun. Il a été porté à cela. Je vous ai vu là, bagarreur.

R: La politique ne m’intéresse pas.

Q : Qu’est-ce qui a causé cette dégénérescence - même parmi les personnes instruites de votre espèce, la violence.

R: Quelle est la cause, c’est vous les gens.

Q : les gens nous.

R: Oui.

Q : Nous avons commencé, c’est ce que vous dites.

R: Mon Dieu, tu es rapide.

Q : Votre peuple n’avait rien à voir avec cela.

R: Vous ne devriez pas avoir eu cette réunion pour commencer. Dans les rues.

Q : Il était de notre droit. Vous ne pouvez pas nous dire quoi faire ou ne pas faire. Si tu savais rien de nous que tu dois savoir qu’il s’agissait d’une journée de célébration. Alors vous êtes venu s’écraser dans

R: Nous n’avons jamais démarré de rien.

Q : Ah.

R: Nous ne l’avions jamais nous sommes défendus.

Q : Vous êtes venu de rupture pour notre célébration, détruisant tout —

R: Odd l’appeler une célébration.

Q : Que feriez-vous l’appeler?

R: Dans le meilleur? Une démonstration.

Q, au pire?

R: A oser. Une provocation. Vous souriez.

Q : La chose est … je ne vous crois pas. Il ya quelque chose de faux dans votre attitude, de la façon que tu me insultant. Parce que je sais ce que vous faisiez vraiment là. Je sais.

R: De quoi tu parles? «Je sais ce que vous faisiez, j’ai vu” Ooh. Avez-vous effectivement quelque chose que vous voulez dire?

Q : Une question. Why don’t you hurt me? Ou essayez au moins. Nous sommes seuls. I “ne devrait pas être ici”. Tu hais mon peuple, tant que ça, vous devriez sauter sur l’occasion. Au moins, quelqu’un d’appels, m’ont ramassé. Quelque chose qui vous empêche de me faire mal. Qu’est-ce que c’est?

R: Que faites-vous de la chance. Heureusement que c’est moi que vous avez rencontré. Heureusement que je ne suis pas un animal. N’importe qui d’autre, vous auriez été battu dans la rue. Go home. Retournez à votre stylet. Issues de la R

Q : Oh mon Dieu, c’est vrai. Que j’ai raison. On ne peut pas mais il est.

  • Le cimetière

J: Quoi? Qu’est-ce que c’est?

R: merci Fine et comment êtes-vous?

J: Ne pas. S’il vous plaît. C’est insensé. J’ai failli ne pas s’en aller, il est si tendue à ma maison.

R: Viens ici.

J: Non S’il vous plaît. Just … rester là-bas. Qu’est-ce que c’est?

R: J’ai vu votre (frère / soeur) aujourd’hui.

J: Oh mon Dieu.

R: est venu me voir. Sait qui je suis. Said (il / elle) m’a vu à l’émeute.

J: Où était-ce?

R: Dans la rue. Ma partie de la ville. J’ai essayé de sonner comme un zélote. Je ne pense pas (il / elle) l’a acheté. (Il / elle) ‘s fou. Si quelqu’un d’autre les avait vus —

J: Oh mon dieu. Et (il / elle) nous a pris presque dans ma chambre la nuit dernière.

R: Look —

J: Non Rester là-bas. S’il vous plaît. Juste … Je ne peux pas faire ça.

R: Nous pouvons partir demain.

J: Quoi?

R: Je peux nous sortir demain soir. Il doit être demain soir. My friend —

J: Demain soir? … Tu me dis que c’est ma dernière nuit dans cet endroit. Alors laissez-moi regarder. Une dernière fois.

R: Je déteste cet endroit. Soyez heureux de ne jamais voir de nouveau.

J: Tu n’as pas eu une enfance heureuse.

R: Ce n’est pas comme vous, gosse de riche gâté.

J: Votre famille est riche comme la mienne.

R: Nous ne sommes que plus subtile sur la façon dont nous le montrer.

J: C’est parce que votre peuple a tout leur argent en volant. Ils s’embrassent, je n’ai jamais vu notre ville à partir d’ici, du cimetière. Vous avez demandé à me rencontrer dans un cimetière.

R: Nul ici pour nous rattraper.

J: Je ne sais pas comment nous avons évité d’être pris tout ce temps.

R: J’ai toujours trouvé des cimetières romantiques.

J: Comment ai-je tomber en amour avec un tel imbécile?

Q : C’est touchant.

J: Oh mon dieu.

Q : Vraiment, c’est beau.

J: Avez-vous me suivez?

Q : Même dans l’adversité - leurs peuples respectifs en guerre, disons que c’est: à la guerre. Mais l’amour triomphe toujours.

R: rester à distance.

Q : Ou quoi? Ou vous allez faire quoi?

R: Qu’avez-vous entendu? Qu’avez-vous nous entendre dire?

Q : Vous pensez quoi? Vos reins, votre attirance sexuelle Petty est plus grand que la vie de votre peuple? Savez-vous ce qui se passera quand tout le monde entend parler de cela, ce qu’il fera à votre famille? Vous traître.

J: Regardez autour de vous: ce combat n’a rien à voir avec le sang des lignes ou à l’honneur ou même l’histoire, ce n’est que folie. Et vous l’avaler.

Q : Est-ce gentil? Est-ce une manière aimante pour parler à un membre de la famille? Salope égoïste. Il ya un million d’hommes parfaits pour vous, parmi les vôtres. Vous venez de le veux parce que c’est mal, vous voulez vous sentir spécial, que vous êtes au-dessus le reste d’entre nous. Eh bien, vous n’êtes pas spéciale, vous êtes juste avide. Et gâté. Et un traître. Vous ne pouvez pas vraiment l’amour de lui.

J: parlez à voix basse.

Q : Laissez-moi deviner: il n’est pas comme les autres. Il est l’un des bons. Il ne veut que la paix.

R: Vous savez que c’est vrai.

Q : Vous ne pouvez pas aimer l’ennemi, vous ne pouvez pas.

R: Nous allons maintenant.

J: Ecoute-moi: vous ne comprenez pas cela. Tout ce que vous faites est de répéter les paroles de nos parents. Vous ne pouvez pas comprendre ce que nous éprouvons pour l’autre. Vous n’avez même pas vraiment comprendre ce que tout le combat est d’environ. Vous voyez notre père une épave, vous voyez de la violence. Tu ne sais pas pourquoi. Vous s’accrocher à quoi que ce soit pour vous aider à comprendre. Même si ce que vous s’agripper a tort. Nous ne voulons pas autre chose que d’être laissé en paix. That’s all. Vous comprenez? Let me go. S’il vous plaît. Nous allons … en parler le matin. Ça va? Merci. R & J commenceront à sortir, tout à coup:

Q : Ici! Quelqu’un! Par ici!

J: Que fais-tu?

Q : Je ne suis pas vous laisser aller. Par ici! Aider!

J: Vous allez me tourner en?

Q : Help! Par ici!

J: Je suis ta sœur.

Q : Help!

Attaques R, Q grièvement blessé; les chiens aboient dans le lointain

J: à la R Qu’avez-vous fait? Vous n’aviez pas à le faire. Qu’avez-vous fait?

Q : Avez-vous les entendez? Les chiens. Je les entends.

en:

RJQ

R : - un jeune homme ( also play the dog) J: - une jeune femme

Q le cadet d’une famille, peut-être un garçon ou une fille

Un rêve

Q : Je suis laid (e)

J : Alors ne te regarde pas

Q : Je suis hypnotisé par ma laideur

J : Tu cherches des compliments. C’est quoi, je suis supposé te dire : non, t’es pas laid (e), ton visage est spécial. Ou : tu as de beaux yeux. Ou : La beauté est à l’intérieur, c’est ce que tu as a l’intérieur qui compte. (Rire)

Q : Facile de rire pour toi, T’es pas laide.

J : De toute façon, c’est pathétique. Demander des compliments à sa sœur. Même si je te trouvait beau (belle) quel bien ça te ferait ?

Q : Même si tu.. même si? Mais Mais ? Qui es-tu ?

Dog : Je suis un chien.

Q : Les chiens ne parlent pas

Dog : Je suis un chien et je parle.

Q : Ben alors je ne te parle pas. Qu’est-ce que tu veux ? Remet ta langue dans ta bouche. (All right) Dog lèche les jambes de Q. Arrête!!!

Dog : Pas d’Amour, pas dans ta planification de vie. Bien alors plonge dans une vie sans amour

Une maison

Q : Sœur ? Sœur ?

J : Qui est là?

Q : C’est moi, est-ce que je peux ?

J : Juste une minute… Qui est là ?

Q : C’est moi.

J : Qu’est-ce qu’il y a ?

Q : Je peux pas dormir.

J : Alors qu’est-ce que tu veux ?

Q : Je peux pas dormir, j’ai entendu que t’étais réveillé… J’ai entendu… Est-ce qu’on doit absolument continuer à parler dans le cadrage de la porte ?

J : Attends… Ok. Qu’est-ce qu’il y a ?

Q : Est-ce que je peux venir ?

J : Quoi ? Excuse. Oui.

Q : J’ai fait un rêve étrange. Ta fenêtre.

J : Oui.

Q : Ton balcon, c’est grand ouvert.

J : À environ une heure du matin, une brise (entre), je ne peux pas dormir avant.

Q : C’est pas sécuritaire.

J : Personne ne viendra à mon balcon.

Q : Papa ne dort pas encore. J’ai passé devant sa chambre, une allumière est allumé, je l’ai entendu parlé.

J : Je ne connais personne qui puisse dormir de toute façon.

Q : Oui. Après les évènements d’aujourd’hui…

J : Quoi ?

Q : Après ce qui est arrové aujourd’hui ?

J : Je parlais de la chaleur.

Q : Tu étais là, tu as vu ce qui est arrivé. Ils nous ont attaqués. Pour aucune raison.

J : Il y a toujours une raison.

Q : Tu crois que… c’étais justifié ?

J : C’est pas ce que j’ai dit, j’ai dit qu’il y avait toujours une raison. Que ça soit justifié ou pas, il y a toujours une raison.

Q : Après que tout fut confirmé papa a pleuré. Il pleurait . Il a dit qu’on était pris ici. Il a dit qu’on aurait du partir lorsque c’était possible, il y a quelques mois. IL a dit que c’était presque impossible de partir maintenant, avec toute cette tension. Personne ne pouvait prévoir que ça tournerait aussi mal.

J : Je ne veux pas parler de ça, pas maintenant. Je voudrais me mettre au lit.

Q : Tu parlais à un d’eux?

J : Quoi ?

Q : Pas à un des criminels mais-

J : JE ne me souviens pas à qui je parlais mais. C’était trop (agité)

Q : Qu’est-ce qu’il te demandait ?

J : Ce qu’il me demandait ?

Q : Je t’ai vu –

J : Je ne sais pas à quoi tu veux en venir mais tu viens ici en plein milieu de la nuit, après cette journée folle, je suis épuisé moi aussi et puis, il y a toi avec tes questions et – va dans ta chambre. La brise est arrivé. Je veux aller dormir.

Q : Bonne nuit alors.

J : Bonne nuit. Bonne nuit…

La rue

Q : Allo. Allo.

R : Je te connais ?

Q : Tu parles. T’étais à la célébration.

R : Vraiment ?

Q : JE t’ai vu.

R : Ce n’était pas moi.

Q : C’est drôle, puis comment je me souviendrais de toi au point de te trouver dans la rue, considérant que je ne t’ai jamais vu.

R : Tu ne devrais pas être ici.

Q : Mes gens n’ont plus la permission de marcher dans la rue ?

R : Pas dans cette partie de la ville.

Q : Dans cette partie de la ville. C’est ma ville. Je marche ou je veux.

R : Bonne chance à toi alors.

Q : Tu dis que tu ne sais pas qui je suis ? Je crois que tu le sais.

R : Pourquoi ? Pourquoi je te connaitrais ? Qui es-tu? Personne. Aurevoir.

Q : Ça a mal fini, notre célébration.

R : J’ai entendu. Excuse moi.

Q : T’as entendu ? Tu y étais.

R : Regarde-

Q : Une traditionnelle bagarre de rue. Ça devait en venir à ça? Je t’ai vu, te bagarrer.

R : La politique ne m’intéresse pas.

Q : Qu’est-ce qui a fait que ça a dégénéré, malgré les gens instruits que vous êtes. La violence.

R : La cause c’est vous.

Q : Nous.

R : Oui.

Q : Nous avons commencé, c’est ce que tu es en train de dire ?

R : Mon Dieu, t’es rapide.

Q : Vous autres vous n’avez rien à voir avec tout ça ?

R : Il n’y aurait jamais du avoir ce rassemblement. Dans la rue.

Q : C’était notre droit. Tu ne peux pas nous dire quoi faire ou quoi ne pas faire. Si tu avais connu, tu aurais compris que c’était notre journée de célébration. Puis vous êtes venu tout brisé.

R : Nous n’avons rien commencé.

Q : Ah.

R : Nous ne nous sommes que défendu.

Q : Vous êtes venu faire éclater notre célébration, tout détruire.

R : Tu oses appeler ça une célébration ?

Q : Comment tu appelerais ça ?

R : Au mieux ? Une démonstration.

Q : Au pire ?

R : Un défi. Une provocation. Tu souris.

Q : Il y a que…Je ne te crois pas. Il y a quelque chose de faux dans ton attitude, dans ta façon de m’insulter. Parce que je sais ce que tu faisais réellement là-bas. Je sais.

R : De quoi tu parles ? Je sais ce que tu faisais là-bas , j’ai vu. Ooh. Y-aurait-il quelque chose que tu voulais dire ?

Q : Une question. Pourquoi est-ce que tu ne me frappes pas? Ou du moins que tu n’essaies pas. On es seul. Je ne devrais pas être là. Tu nous hais tellement, tu devrais sauter sur l’occasion. Au moins appelle quelqu’un qu’il vienne me ramasser. Quelque chose t’empêche de me frapper. Qu’est-ce que c’est ?

R : Ce que tu es c’est chanceux. Chanceux de m’avoir rencontré. Chanceux que je ne sois pas un animal, n’importe qui d’autre t’aurais frappé dans la rue. Rentre chez-toi. Retourne dans ta prison. R sort.

Q : Ah mon Dieu c’est vrai. J’avais raison. Ç’est impossible mais ça l’est.

- Dans le cimetière

J : Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?

R : Bien merci et comment vas-tu?

J : Ne fais pas ça. S’il te plaît. C’est complètement fou. Je ne peux pratiquement pas partir. C’est trop intense chez-nous.

R : Viens ici.

J : Non. S’il te plaît. Reste… là. Qu’est-ce qu’il y a ?

R : J’ai vu ton frère (ta sœur) aujourd’hui.

J : Ah mon Dieu.

R : (Il est) Elle est venu me voir. Il (ou elle) sait qui je suis. (Il) Elle m’a vu à l’émeute.

J : C’était ou ?

R : Dans la rue. Dans ma partie de la ville. J’ai essayé d’avoir l’air fanatique. JE ne pense pas qu’elle (il) l’a avalé. (Il) Elle est folle (fou). Si quelqu’un d’autre l’a vu.

J : Il (Elle) m’a presque attrapé hier dans ma chambre.

R : Regarde

J : Non. Reste là. S’il te plaît. Je… ne peux pas faire ça.

R : On peut partir demain.

J : Quoi ?

R : Je peux nous faire sortir demain dans la nuit. Ce doit être demain dans la nuit. Mon ami—

J : Demain dans la nuit ? T’es en train de me dire que c’est ma dernière nuit ici. Alors laisse moi le regarder. Une dernière fois.

R : Je déteste cet endroit. Content de ne jamais le revoir.

J : Tu n’as pas eu une enfance heureuse ?

R : Pas comme toi, enfant de riche corrompu.

J : Ta famille est aussi riche que la mienne.

R : On étais juste plus subtil dans notre façon de le montrer,

J : C’est parce que vous avez eu cet argent en volant. (Ils s’embrassent) Je n’avais jamais vu la ville d’ici, depuis le cimetière. Tu m’avais demandé de te rencontrer au cimetière.

R : Il n’y a personne ici pour nous attraper.

J : Je ne sais pas comment on a fait pour ne jamais se faire prendre tout ce temps.

R : J’ai toujours trouvé les cimetières romantiques.

J : Comment ai-je pu tomber amoureuse avec un idiot comme toi ?

Q : C’est touchant.

J : Ah mon Dieu.

Q : Vraiment, c’est beau.

J : Tu m’as suivi?

Q : Même dans l’adversité- les gens respectifs à la guerre, disons le, à la guerre. Mais l’amour conquiert tout.

R : Reste en arrière.

Q : Ou quoi ? Ou tu feras quoi ?

R : Qu’est-ce que t’as entendu ? Qu’est-ce que tu nous as entendu dire ?

Q : Tu crois, quoi ? Votre échine, votre petite attraction sexuelle est plus grande que la vie de vos gens. Savez-vous ce qui arrivera quand tout le monde entendra cette histoire ? Ce que ça fera à votre famille ? Vous êtes des traitres.

J : Regarde autour : Cette bataille n’a rien à voir avec les liens familiaux ou l’honneur ou même l’histoire, c’est juste de la méchanceté. Et tu gobbes tout ça.

Q : Est-ce que ça n’est pas beau ? Est-ce une façon aimante de parler à un membre de sa famille ? Sale pute égoiste. Il y a des millions d’homme parfait pour toi. Tu le veux lui parce que c’est mauvais, tu veux te sentir spécial, que tu es appart des autres. Et bien tu n’es pas spécial, tu n’es qu’avide. Et corrompu. Tu ne peux pas l’aimer réellement.

J : Baisse le ton.

Q : Laisse moi deviner : Il n’est pas comme les autres. Il est un des bons. Il ne veut que la paix.

R : Tu sais que c’est vrai.

Q : Tu ne peux pas aimer l’ennemi, tu ne peux pas.

R : On s’en va maintenant.

J : Écoute-moi, tu ne comprends pas cela. Tout ce que tu fais c’est de répéter les mots de nos parents. Tu ne peux pas comprendre ce que l’on ressent l’un pour l’autre. Tu n’as jamais vraiment compris à quel sujet était cette bataille. Tu as vu notre père comme une épave. Tu as vu la violence. Tu ne sais pas pourquoi. Tu t’es accroché à n’importe quoi pour t’aider à comprendre. Même si ce à quoi tu t’accrochais c’était mauvais. On ne veut rien d’autre que la paix. C’est tout. Tu comprends ? Laisse moi partir. S’il te plaît. Nous en reparlerons demain matin. D’accord ? Merci.

R et J commence à sortir, soudainement…

Q : Ici, Quelqu’un, ici!

J : Qu’est-ce que tu fais ?

Q : Je ne te laisserai pas partir. Ici ! À l’aide !

J : Tu vas me faire tomber dedans ?

Q : À l’aide ! Ici !

J : Je suis ta sœur.

Q : À l’aide !

R attaque, Q gravement blessé, le chien aboit de loin

J à R : Qu’est-ce que tu as fait ? Tu n’avais pas à faire ça. Qu’est-ce que tu as fait ?

Q : Est-ce que tu les entends ? Les chiens. Je les entends

13 octobre 2009 à 19h01 par SZ -
Lignes 8-9 modifiées:

Q Je suis laid.

en:

Q : Je suis laid.

Lignes 12-13 modifiées:

Q Je suis fascinée par ma laideur.

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Q : Je suis fascinée par ma laideur.

Lignes 16-17 modifiées:

Q Facile pour vous de rire. Tu n’es pas laid.

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Q : Facile pour vous de rire. Tu n’es pas laid.

Lignes 20-21 modifiées:

Q Même si vous avez fait? Même si? So - SIS? SIS? Qui êtes-vous?

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Q : Même si vous avez fait? Même si? So - SIS? SIS? Qui êtes-vous?

Lignes 24-25 modifiées:

Q Les chiens ne peuvent pas parler.

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Q : Les chiens ne peuvent pas parler.

Lignes 28-29 modifiées:

Q Et bien je ne parle pas pour vous. Que voulez-vous? Mettre cette langue en arrière dans votre bouche. All right. Chien lèche jambes Q’s Stop that —

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Q : Et bien je ne parle pas pour vous. Que voulez-vous? Mettre cette langue en arrière dans votre bouche. All right. Chien lèche jambes Q’s Stop that —

Lignes 34-35 modifiées:

Q SIS? SIS?

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Q : SIS? SIS?

Lignes 38-39 modifiées:

Q C’est moi, puis-je —

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Q : C’est moi, puis-je —

Lignes 42-43 modifiées:

Q C’est moi.

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Q : C’est moi.

Lignes 46-47 modifiées:

Q Je n’arrive pas à dormir.

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Q : Je n’arrive pas à dormir.

Lignes 50-51 modifiées:

Q Je n’arrive pas à dormir, j’ai appris que vous … Je l’entendre - ce que nous devons continuer à parler à travers une porte?

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Q : Je n’arrive pas à dormir, j’ai appris que vous … Je l’entendre - ce que nous devons continuer à parler à travers une porte?

Lignes 54-55 modifiées:

Q Puis-je entrer?

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Q : Puis-je entrer?

Lignes 58-59 modifiées:

Q J’ai eu l’étrange rêve de votre fenêtre.

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Q : J’ai eu l’étrange rêve de votre fenêtre.

Lignes 62-63 modifiées:

Q Le balcon, il est grand ouvert.

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Q : Le balcon, il est grand ouvert.

Lignes 66-67 modifiées:

Q Ce n’est pas sûr.

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Q : Ce n’est pas sûr.

Lignes 70-71 modifiées:

Q Papa dort pas non plus. Je suis passé devant leur chambre, il ya une lumière, je l’ai entendu parler.

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Q : Papa dort pas non plus. Je suis passé devant leur chambre, il ya une lumière, je l’ai entendu parler.

Lignes 74-75 modifiées:

Q Oui. Après les événements d’aujourd’hui ….

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Q : Oui. Après les événements d’aujourd’hui ….

Lignes 78-79 modifiées:

Q Après ce qui s’est passé aujourd’hui.

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Q : Après ce qui s’est passé aujourd’hui.

Lignes 82-83 modifiées:

Q Vous étiez là. Vous avez vu ce qui s’est passé. Ils nous ont attaqués. Sans aucune raison.

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Q : Vous étiez là. Vous avez vu ce qui s’est passé. Ils nous ont attaqués. Sans aucune raison.

Lignes 86-87 modifiées:

Q Vous pensez que c’est - elles étaient justifiées à —

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Q : Vous pensez que c’est - elles étaient justifiées à —

Lignes 90-91 modifiées:

Q Après que tout était réglé papa pleurait. Il pleurait. Il a dit que nous sommes coincés ici. Il a dit que nous aurions laissé quand on le pouvait encore, months ago. Il a dit qu’il est presque impossible d’en sortir maintenant, avec tout aussi tendue. Personne ne pensait que ce serait obtenir ce mal.

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Q : Après que tout était réglé papa pleurait. Il pleurait. Il a dit que nous sommes coincés ici. Il a dit que nous aurions laissé quand on le pouvait encore, months ago. Il a dit qu’il est presque impossible d’en sortir maintenant, avec tout aussi tendue. Personne ne pensait que ce serait obtenir ce mal.

Lignes 94-95 modifiées:

Q Vous parliez à l’un d’entre eux.

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Q : Vous parliez à l’un d’entre eux.

Lignes 98-99 modifiées:

Q Pas un des voyous, mais —

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Q : Pas un des voyous, mais —

Lignes 102-103 modifiées:

Q Qu’est-ce qu’ils vous le demande?

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Q : Qu’est-ce qu’ils vous le demande?

Lignes 106-107 modifiées:

Q Je vous ai vu —

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Q : Je vous ai vu —

Lignes 110-111 modifiées:

Q Bonne nuit alors.

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Q : Bonne nuit alors.

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Q Bonjour. Bonjour.

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Q : Bonjour. Bonjour.

Lignes 120-121 modifiées:

Q Il parle. Vous étiez à notre célébration.

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Q : Il parle. Vous étiez à notre célébration.

Lignes 124-125 modifiées:

Q Je vous ai vu.

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Q : Je vous ai vu.

Lignes 128-129 modifiées:

Q C’est drôle, donc, comme je vous rappeler - au point de vous trouver dans les rues - Considérant I “ne vous a jamais vu”.

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Q : C’est drôle, donc, comme je vous rappeler - au point de vous trouver dans les rues - Considérant I “ne vous a jamais vu”.

Lignes 132-133 modifiées:

Q Mon peuple ne sont plus autorisés à marcher dans la rue?

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Q : Mon peuple ne sont plus autorisés à marcher dans la rue?

Lignes 136-137 modifiées:

Q Cette partie de la ville. Ceci est ma ville. Je marche où je veux.

en:

Q : Cette partie de la ville. Ceci est ma ville. Je marche où je veux.

Lignes 140-141 modifiées:

Q Vous dites que vous ne savez pas qui je suis? Je crois que vous faites.

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Q : Vous dites que vous ne savez pas qui je suis? Je crois que vous faites.

Lignes 144-145 modifiées:

Q Il s’est mal terminée, notre célébration.

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Q : Il s’est mal terminée, notre célébration.

Lignes 148-149 modifiées:

Q Vous avez entendu? Vous étiez là.

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Q : Vous avez entendu? Vous étiez là.

Lignes 152-153 modifiées:

Q Une bagarre de rue commun. Il a été porté à cela. Je vous ai vu là, bagarreur.

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Q : Une bagarre de rue commun. Il a été porté à cela. Je vous ai vu là, bagarreur.

Lignes 156-157 modifiées:

Q Qu’est-ce qui a causé cette dégénérescence - même parmi les personnes instruites de votre espèce, la violence.

en:

Q : Qu’est-ce qui a causé cette dégénérescence - même parmi les personnes instruites de votre espèce, la violence.

Lignes 160-161 modifiées:

Q les gens nous.

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Q : les gens nous.

Lignes 164-165 modifiées:

Q Nous avons commencé, c’est ce que vous dites.

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Q : Nous avons commencé, c’est ce que vous dites.

Lignes 168-169 modifiées:

Q Votre peuple n’avait rien à voir avec cela.

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Q : Votre peuple n’avait rien à voir avec cela.

Lignes 172-173 modifiées:

Q Il était de notre droit. Vous ne pouvez pas nous dire quoi faire ou ne pas faire. Si tu savais rien de nous que tu dois savoir qu’il s’agissait d’une journée de célébration. Alors vous êtes venu s’écraser dans

en:

Q : Il était de notre droit. Vous ne pouvez pas nous dire quoi faire ou ne pas faire. Si tu savais rien de nous que tu dois savoir qu’il s’agissait d’une journée de célébration. Alors vous êtes venu s’écraser dans

Lignes 176-177 modifiées:

Q Ah.

en:

Q : Ah.

Lignes 180-181 modifiées:

Q Vous êtes venu de rupture pour notre célébration, détruisant tout —

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Q : Vous êtes venu de rupture pour notre célébration, détruisant tout —

Lignes 184-185 modifiées:

Q Que feriez-vous l’appeler?

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Q : Que feriez-vous l’appeler?

Lignes 192-193 modifiées:

Q La chose est … je ne vous crois pas. Il ya quelque chose de faux dans votre attitude, de la façon que tu me insultant. Parce que je sais ce que vous faisiez vraiment là. Je sais.

en:

Q : La chose est … je ne vous crois pas. Il ya quelque chose de faux dans votre attitude, de la façon que tu me insultant. Parce que je sais ce que vous faisiez vraiment là. Je sais.

Lignes 196-197 modifiées:

Q Une question. Why don’t you hurt me? Ou essayez au moins. Nous sommes seuls. I “ne devrait pas être ici”. Tu hais mon peuple, tant que ça, vous devriez sauter sur l’occasion. Au moins, quelqu’un d’appels, m’ont ramassé. Quelque chose qui vous empêche de me faire mal. Qu’est-ce que c’est?

en:

Q : Une question. Why don’t you hurt me? Ou essayez au moins. Nous sommes seuls. I “ne devrait pas être ici”. Tu hais mon peuple, tant que ça, vous devriez sauter sur l’occasion. Au moins, quelqu’un d’appels, m’ont ramassé. Quelque chose qui vous empêche de me faire mal. Qu’est-ce que c’est?

Lignes 200-201 modifiées:

Q Oh mon Dieu, c’est vrai. Que j’ai raison. On ne peut pas mais il est.

en:

Q : Oh mon Dieu, c’est vrai. Que j’ai raison. On ne peut pas mais il est.

Lignes 258-259 modifiées:

Q C’est touchant.

en:

Q : C’est touchant.

Lignes 262-263 modifiées:

Q Vraiment, c’est beau.

en:

Q : Vraiment, c’est beau.

Lignes 266-267 modifiées:

Q Même dans l’adversité - leurs peuples respectifs en guerre, disons que c’est: à la guerre. Mais l’amour triomphe toujours.

en:

Q : Même dans l’adversité - leurs peuples respectifs en guerre, disons que c’est: à la guerre. Mais l’amour triomphe toujours.

Lignes 270-271 modifiées:

Q Ou quoi? Ou vous allez faire quoi?

en:

Q : Ou quoi? Ou vous allez faire quoi?

Lignes 274-275 modifiées:

Q Vous pensez quoi? Vos reins, votre attirance sexuelle Petty est plus grand que la vie de votre peuple? Savez-vous ce qui se passera quand tout le monde entend parler de cela, ce qu’il fera à votre famille? Vous traître.

en:

Q : Vous pensez quoi? Vos reins, votre attirance sexuelle Petty est plus grand que la vie de votre peuple? Savez-vous ce qui se passera quand tout le monde entend parler de cela, ce qu’il fera à votre famille? Vous traître.

Lignes 278-279 modifiées:

Q Est-ce gentil? Est-ce une manière aimante pour parler à un membre de la famille? Salope égoïste. Il ya un million d’hommes parfaits pour vous, parmi les vôtres. Vous venez de le veux parce que c’est mal, vous voulez vous sentir spécial, que vous êtes au-dessus le reste d’entre nous. Eh bien, vous n’êtes pas spéciale, vous êtes juste avide. Et gâté. Et un traître. Vous ne pouvez pas vraiment l’amour de lui.

en:

Q : Est-ce gentil? Est-ce une manière aimante pour parler à un membre de la famille? Salope égoïste. Il ya un million d’hommes parfaits pour vous, parmi les vôtres. Vous venez de le veux parce que c’est mal, vous voulez vous sentir spécial, que vous êtes au-dessus le reste d’entre nous. Eh bien, vous n’êtes pas spéciale, vous êtes juste avide. Et gâté. Et un traître. Vous ne pouvez pas vraiment l’amour de lui.

Lignes 282-283 modifiées:

Q Laissez-moi deviner: il n’est pas comme les autres. Il est l’un des bons. Il ne veut que la paix.

en:

Q : Laissez-moi deviner: il n’est pas comme les autres. Il est l’un des bons. Il ne veut que la paix.

Lignes 286-287 modifiées:

Q Vous ne pouvez pas aimer l’ennemi, vous ne pouvez pas.

en:

Q : Vous ne pouvez pas aimer l’ennemi, vous ne pouvez pas.

Lignes 292-293 modifiées:

Q Ici! Quelqu’un! Par ici!

en:

Q : Ici! Quelqu’un! Par ici!

Lignes 296-297 modifiées:

Q Je ne suis pas vous laisser aller. Par ici! Aider!

en:

Q : Je ne suis pas vous laisser aller. Par ici! Aider!

Lignes 300-301 modifiées:

Q Help! Par ici!

en:

Q : Help! Par ici!

Lignes 304-305 modifiées:

Q Help!

en:

Q : Help!

Ligne 310 modifiée:

Q Avez-vous les entendez? Les chiens. Je les entends.

en:

Q : Avez-vous les entendez? Les chiens. Je les entends.

13 octobre 2009 à 18h59 par SZ -
13 octobre 2009 à 18h59 par SZ -
Lignes 1-311 ajoutées:

RJQ

R – un jeune homme; joue aussi le rôle du Chien; J – une jeune femme. Q – Frère ou soeur cadet(te)de J.

  • Un rêve

Q Je suis laid.

J: Alors, ne te regarde pas.

Q Je suis fascinée par ma laideur.

J: Tu es de pêche pour les compliments. Maintenant, je suis censé dire: non, tu n’es pas laid, votre visage a du caractère. Ou bien: vous avez de beaux yeux. Ou: la beauté n’est que superficielle, c’est ce que l’intérieur qui compte. rires

Q Facile pour vous de rire. Tu n’es pas laid.

J: De toute façon c’est pathétique. Demandant à votre sœur pour les compliments. Même si je ne vous trouve belle, à quoi bon vous faire?

Q Même si vous avez fait? Même si? So - SIS? SIS? Qui êtes-vous?

Chien: je suis un chien.

Q Les chiens ne peuvent pas parler.

Chien: je suis un chien. Et je parle.

Q Et bien je ne parle pas pour vous. Que voulez-vous? Mettre cette langue en arrière dans votre bouche. All right. Chien lèche jambes Q’s Stop that —

Chien: pas d’amour. Pas dans votre vie le temps. Nous irons à la tombe sans jamais savoir l’amour.

  • La maison

Q SIS? SIS?

J: Qui est là?

Q C’est moi, puis-je —

J: Juste une minute … Qui est-il?

Q C’est moi.

J: Quel est le problème?

Q Je n’arrive pas à dormir.

J: Eh bien, que voulez-vous?

Q Je n’arrive pas à dormir, j’ai appris que vous … Je l’entendre - ce que nous devons continuer à parler à travers une porte?

J: Attendez … All right. Qu’est-ce que c’est?

Q Puis-je entrer?

J: Quoi? Désolé. Oui.

Q J’ai eu l’étrange rêve de votre fenêtre.

J: Oui.

Q Le balcon, il est grand ouvert.

J: vers une heure du matin, une brise se lève. Je ne peux pas dormir avant cette date.

Q Ce n’est pas sûr.

J: Nul ne vient à travers mon balcon.

Q Papa dort pas non plus. Je suis passé devant leur chambre, il ya une lumière, je l’ai entendu parler.

J: Je ne sais pas comment quelqu’un peut quand même dormir.

Q Oui. Après les événements d’aujourd’hui ….

J: Quoi?

Q Après ce qui s’est passé aujourd’hui.

J: Je parlais de la chaleur.

Q Vous étiez là. Vous avez vu ce qui s’est passé. Ils nous ont attaqués. Sans aucune raison.

J: Il ya toujours une raison.

Q Vous pensez que c’est - elles étaient justifiées à —

J: Ce n’est pas ce que j’ai dit. Je l’ai dit il ya toujours une raison. Que ce soit justifié ou n’est pas autre chose.

Q Après que tout était réglé papa pleurait. Il pleurait. Il a dit que nous sommes coincés ici. Il a dit que nous aurions laissé quand on le pouvait encore, months ago. Il a dit qu’il est presque impossible d’en sortir maintenant, avec tout aussi tendue. Personne ne pensait que ce serait obtenir ce mal.

J: Je ne veux pas parler de cela. Pas maintenant. Je voudrais aller au lit.

Q Vous parliez à l’un d’entre eux.

J: Quoi?

Q Pas un des voyous, mais —

J: Je ne me souviens pas qui je parlais. Tout était si intense.

Q Qu’est-ce qu’ils vous le demande?

J: Demande moi?

Q Je vous ai vu —

J: Je ne sais pas ce que vous voulez en venir, mais vous venez ici, au milieu de la nuit, après une journée de fou, je suis épuisé assez et puis il ya vous avec vos questions et … retournez à votre chambre. La brise est en hausse. Je veux trouver le sommeil.

Q Bonne nuit alors.

J: Bonne nuit. Bonne nuit …

  • La rue

Q Bonjour. Bonjour.

R: Je vous connais?

Q Il parle. Vous étiez à notre célébration.

R: Vraiment?

Q Je vous ai vu.

R: Ce n’était pas moi.

Q C’est drôle, donc, comme je vous rappeler - au point de vous trouver dans les rues - Considérant I “ne vous a jamais vu”.

R: Vous ne devriez pas être ici.

Q Mon peuple ne sont plus autorisés à marcher dans la rue?

R: Pas cette partie de la ville.

Q Cette partie de la ville. Ceci est ma ville. Je marche où je veux.

R: Bonne chance à vous alors.

Q Vous dites que vous ne savez pas qui je suis? Je crois que vous faites.

R: Pourquoi? Pourquoi devrais-je te connais? Qui êtes-vous? Personne. Au revoir.

Q Il s’est mal terminée, notre célébration.

R: Alors, j’entends. Excusez-moi —

Q Vous avez entendu? Vous étiez là.

R: Look —

Q Une bagarre de rue commun. Il a été porté à cela. Je vous ai vu là, bagarreur.

R: La politique ne m’intéresse pas.

Q Qu’est-ce qui a causé cette dégénérescence - même parmi les personnes instruites de votre espèce, la violence.

R: Quelle est la cause, c’est vous les gens.

Q les gens nous.

R: Oui.

Q Nous avons commencé, c’est ce que vous dites.

R: Mon Dieu, tu es rapide.

Q Votre peuple n’avait rien à voir avec cela.

R: Vous ne devriez pas avoir eu cette réunion pour commencer. Dans les rues.

Q Il était de notre droit. Vous ne pouvez pas nous dire quoi faire ou ne pas faire. Si tu savais rien de nous que tu dois savoir qu’il s’agissait d’une journée de célébration. Alors vous êtes venu s’écraser dans

R: Nous n’avons jamais démarré de rien.

Q Ah.

R: Nous ne l’avions jamais nous sommes défendus.

Q Vous êtes venu de rupture pour notre célébration, détruisant tout —

R: Odd l’appeler une célébration.

Q Que feriez-vous l’appeler?

R: Dans le meilleur? Une démonstration.

Q, au pire?

R: A oser. Une provocation. Vous souriez.

Q La chose est … je ne vous crois pas. Il ya quelque chose de faux dans votre attitude, de la façon que tu me insultant. Parce que je sais ce que vous faisiez vraiment là. Je sais.

R: De quoi tu parles? «Je sais ce que vous faisiez, j’ai vu” Ooh. Avez-vous effectivement quelque chose que vous voulez dire?

Q Une question. Why don’t you hurt me? Ou essayez au moins. Nous sommes seuls. I “ne devrait pas être ici”. Tu hais mon peuple, tant que ça, vous devriez sauter sur l’occasion. Au moins, quelqu’un d’appels, m’ont ramassé. Quelque chose qui vous empêche de me faire mal. Qu’est-ce que c’est?

R: Que faites-vous de la chance. Heureusement que c’est moi que vous avez rencontré. Heureusement que je ne suis pas un animal. N’importe qui d’autre, vous auriez été battu dans la rue. Go home. Retournez à votre stylet. Issues de la R

Q Oh mon Dieu, c’est vrai. Que j’ai raison. On ne peut pas mais il est.

  • Le cimetière

J: Quoi? Qu’est-ce que c’est?

R: merci Fine et comment êtes-vous?

J: Ne pas. S’il vous plaît. C’est insensé. J’ai failli ne pas s’en aller, il est si tendue à ma maison.

R: Viens ici.

J: Non S’il vous plaît. Just … rester là-bas. Qu’est-ce que c’est?

R: J’ai vu votre (frère / soeur) aujourd’hui.

J: Oh mon Dieu.

R: est venu me voir. Sait qui je suis. Said (il / elle) m’a vu à l’émeute.

J: Où était-ce?

R: Dans la rue. Ma partie de la ville. J’ai essayé de sonner comme un zélote. Je ne pense pas (il / elle) l’a acheté. (Il / elle) ‘s fou. Si quelqu’un d’autre les avait vus —

J: Oh mon dieu. Et (il / elle) nous a pris presque dans ma chambre la nuit dernière.

R: Look —

J: Non Rester là-bas. S’il vous plaît. Juste … Je ne peux pas faire ça.

R: Nous pouvons partir demain.

J: Quoi?

R: Je peux nous sortir demain soir. Il doit être demain soir. My friend —

J: Demain soir? … Tu me dis que c’est ma dernière nuit dans cet endroit. Alors laissez-moi regarder. Une dernière fois.

R: Je déteste cet endroit. Soyez heureux de ne jamais voir de nouveau.

J: Tu n’as pas eu une enfance heureuse.

R: Ce n’est pas comme vous, gosse de riche gâté.

J: Votre famille est riche comme la mienne.

R: Nous ne sommes que plus subtile sur la façon dont nous le montrer.

J: C’est parce que votre peuple a tout leur argent en volant. Ils s’embrassent, je n’ai jamais vu notre ville à partir d’ici, du cimetière. Vous avez demandé à me rencontrer dans un cimetière.

R: Nul ici pour nous rattraper.

J: Je ne sais pas comment nous avons évité d’être pris tout ce temps.

R: J’ai toujours trouvé des cimetières romantiques.

J: Comment ai-je tomber en amour avec un tel imbécile?

Q C’est touchant.

J: Oh mon dieu.

Q Vraiment, c’est beau.

J: Avez-vous me suivez?

Q Même dans l’adversité - leurs peuples respectifs en guerre, disons que c’est: à la guerre. Mais l’amour triomphe toujours.

R: rester à distance.

Q Ou quoi? Ou vous allez faire quoi?

R: Qu’avez-vous entendu? Qu’avez-vous nous entendre dire?

Q Vous pensez quoi? Vos reins, votre attirance sexuelle Petty est plus grand que la vie de votre peuple? Savez-vous ce qui se passera quand tout le monde entend parler de cela, ce qu’il fera à votre famille? Vous traître.

J: Regardez autour de vous: ce combat n’a rien à voir avec le sang des lignes ou à l’honneur ou même l’histoire, ce n’est que folie. Et vous l’avaler.

Q Est-ce gentil? Est-ce une manière aimante pour parler à un membre de la famille? Salope égoïste. Il ya un million d’hommes parfaits pour vous, parmi les vôtres. Vous venez de le veux parce que c’est mal, vous voulez vous sentir spécial, que vous êtes au-dessus le reste d’entre nous. Eh bien, vous n’êtes pas spéciale, vous êtes juste avide. Et gâté. Et un traître. Vous ne pouvez pas vraiment l’amour de lui.

J: parlez à voix basse.

Q Laissez-moi deviner: il n’est pas comme les autres. Il est l’un des bons. Il ne veut que la paix.

R: Vous savez que c’est vrai.

Q Vous ne pouvez pas aimer l’ennemi, vous ne pouvez pas.

R: Nous allons maintenant.

J: Ecoute-moi: vous ne comprenez pas cela. Tout ce que vous faites est de répéter les paroles de nos parents. Vous ne pouvez pas comprendre ce que nous éprouvons pour l’autre. Vous n’avez même pas vraiment comprendre ce que tout le combat est d’environ. Vous voyez notre père une épave, vous voyez de la violence. Tu ne sais pas pourquoi. Vous s’accrocher à quoi que ce soit pour vous aider à comprendre. Même si ce que vous s’agripper a tort. Nous ne voulons pas autre chose que d’être laissé en paix. That’s all. Vous comprenez? Let me go. S’il vous plaît. Nous allons … en parler le matin. Ça va? Merci. R & J commenceront à sortir, tout à coup:

Q Ici! Quelqu’un! Par ici!

J: Que fais-tu?

Q Je ne suis pas vous laisser aller. Par ici! Aider!

J: Vous allez me tourner en?

Q Help! Par ici!

J: Je suis ta sœur.

Q Help!

Attaques R, Q grièvement blessé; les chiens aboient dans le lointain

J: à la R Qu’avez-vous fait? Vous n’aviez pas à le faire. Qu’avez-vous fait?

Q Avez-vous les entendez? Les chiens. Je les entends.

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