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Pièces en dix minutes regroupe quinze courtes pièces qui ont un univers et une atmosphère unique. Chaque histoire rassemble des personnages qui discutent de leur propre vision de la vie. Que ce soit Mme Deerfont qui tente de raconter l’histoire de sa vie à sa fille Ellen Louise Theresa ou bien Mageen qui s’est enfermée dans son sous-sol pendant dix ans, en attendant son fils Ulan ou encore Katrina qui attend l’homme qui saura l’aimer pour autre chose que sa beauté. Donc, l’auteure Djuna Barnes a créé une pièce, sous la forme de tableaux très détaillés, qui plonge le lecteur dans un portrait critique d’une certaine bourgeoisie américaine. Malgré le fait que chaque pièce possède sa propre lumière, Djuna Barnes a su trouver une unité à travers ses textes. Les histoires ont toutes pour protagoniste une femme qui est en fait une seule et même femme. Elles refusent toutes de vivre une vie conventionnelle. Hautaines et parfois même ironiques, elles veulent s’éloigner le plus possible de l’ordinaire pour pouvoir se sentir vivantes à tout prix. Leur orgueil, leurs passions et même leur violence cachée les mèneront à errer vers une quête sans espoir.
Pièces en dix minutes regroupe quinze courtes pièces qui ont un univers et une atmosphère unique. Chaque histoire rassemble des personnages qui discutent de leur propre vision de la vie. Que ce soit Mme Deerfont qui tente de raconter l’histoire de sa vie à sa fille Ellen Louise Theresa ou bien Mageen qui s’est enfermée dans son sous-sol pendant dix ans, en attendant son fils Ulan ou encore Katrina qui attend l’homme qui saura l’aimer pour autre chose que sa beauté. Donc, l’auteure Djuna Barnes a créé [toute une série] de tableaux très détaillés, qui plonge le lecteur dans un portrait critique d’une certaine bourgeoisie américaine. […] Ces histoires ont toutes pour protagoniste une femme qui est en fait une seule et même femme. Elles refusent toutes de vivre une vie conventionnelle. Hautaines et parfois même ironiques, elles veulent s’éloigner le plus possible de l’ordinaire pour pouvoir se sentir vivantes à tout prix. Leur orgueil, leurs passions et même leur violence cachée les mèneront à errer vers une quête sans espoir.
Djuna Barnes était une romancière, dramaturge et artiste née en 1892 dans l’état de New York. Vers les années 1920, elle décide de s’installer à Paris puisqu’elle a envie de découvrir cette ville où la liberté des mœurs règne. Au cours de sa vie, elle eut des problèmes d’alcoolisme et elle souffrit aussi d’une dépression. Vers la fin de sa vie, elle se retrouvera seule, lucide et sans argent. C’est loin de ses extravagances parisiennes qu’elle décéda en 1982 à New York. La pièce Pièces en dix minutes, dresse le portrait d’une mélancolie et d’un mal de vivre qui étaient deux choses présentes dans la vie de l’auteure. Avec cette œuvre, elle pose des questions existentialistes comme : qu’est-ce qui est vraiment important dans la vie? Ou : comment faire pour vivre la vie rêvée? Djuna Barnes brosse aussi un regard très intéressant sur les valeurs de la société occidentale. Déjà à cette époque, elle sentait que cette société était régie par des concepts idéologiques basés sur la performance, l’apparence, le pouvoir et l’argent.
Djuna Barnes était une romancière, dramaturge et artiste née en 1892 dans l’état de New York. Elle fut membre des “Provincetown Players”. Vers les années 1920, elle décide de s’installer à Paris puisqu’elle a envie de découvrir cette ville où la liberté des mœurs règne. Au cours de sa vie, elle eut des problèmes d’alcoolisme et elle souffrit aussi d’une dépression. Vers la fin de sa vie, elle se retrouvera seule, lucide et sans argent. C’est loin de ses extravagances parisiennes qu’elle décéda en 1982 à New York. La pièce Pièces en dix minutes, dresse le portrait d’une mélancolie et d’un mal de vivre qui étaient deux choses présentes dans la vie de l’auteure. Avec cette œuvre, elle pose des questions existentialistes comme : qu’est-ce qui est vraiment important dans la vie? Ou : comment faire pour vivre la vie rêvée? Djuna Barnes brosse aussi un regard très intéressant sur les valeurs de la société occidentale. Déjà à cette époque, elle sentait que cette société était régie par des concepts idéologiques basés sur la performance, l’apparence, le pouvoir et l’argent.
(:title Pièce en dix minutes :)
Pièces en dix minutes regroupe quinze courtes pièces qui ont un univers et une atmosphère unique. Chaque histoire rassemble des personnages qui discutent de leur propre vision de la vie. Que ce soit Mme Deerfont qui tente de raconter l’histoire de sa vie à sa fille Ellen Louise Theresa ou bien Mageen qui s’est enfermée dans son sous-sol pendant dix ans, en attendant son fils Ulan ou encore Katrina qui attend l’homme qui saura l’aimer pour autre chose que sa beauté. Donc, l’auteure Djuna Barnes a créé une pièce, sous la forme de tableaux très détaillés, qui plonge le lecteur dans un portrait critique d’une certaine bourgeoisie américaine. Malgré le fait que chaque pièce possède sa propre lumière, Djuna Barnes a su trouver une unité à travers ses textes. Les histoires ont toutes pour protagoniste une femme qui est en fait une seule et même femme. Elles refusent toutes de vivre une vie conventionnelle. Hautaines et parfois même ironiques, elles veulent s’éloigner le plus possible de l’ordinaire pour pouvoir se sentir vivantes à tout prix. Leur orgueil, leurs passions et même leur violence cachée les mèneront à errer vers une quête sans espoir.
Djuna Barnes était une romancière, dramaturge et artiste née en 1892 dans l’état de New York. Vers les années 1920, elle décide de s’installer à Paris puisqu’elle a envie de découvrir cette ville où la liberté des mœurs règne. Au cours de sa vie, elle eut des problèmes d’alcoolisme et elle souffrit aussi d’une dépression. Vers la fin de sa vie, elle se retrouvera seule, lucide et sans argent. C’est loin de ses extravagances parisiennes qu’elle décéda en 1982 à New York. La pièce Pièces en dix minutes, dresse le portrait d’une mélancolie et d’un mal de vivre qui étaient deux choses présentes dans la vie de l’auteure. Avec cette œuvre, elle pose des questions existentialistes comme : qu’est-ce qui est vraiment important dans la vie? Ou : comment faire pour vivre la vie rêvée? Djuna Barnes brosse aussi un regard très intéressant sur les valeurs de la société occidentale. Déjà à cette époque, elle sentait que cette société était régie par des concepts idéologiques basés sur la performance, l’apparence, le pouvoir et l’argent.