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La deuxième pièce dans cet ouvrage est « Bol, Chat et Manche-à-Balai » est l’histoire de trois hommes, Chat, Bol et Manche-à-balais, qui discutent autour de la poésie et de leurs perceptions différentes de poèmes particuliers. La pièce commence avec Bol traduisant, de l’italien en leur langue, un poème de Chiara Delprato à Chat. Les deux hommes ne sont pas d’accord sur la traduction. L’un a une vision sensitive par rapport à l’autre qui a une vision plus critique et sophistiquée. Arrive Manche-à-balais, un homme costaud et corpulent, qui vient participer à la discussion. Les trois hommes s’imaginent la poétesse qui doit être jeune et séduisante d’après ce qu’ils ressentent dans son écriture, qui est sensible et imaginative. Ils admirent le portrait de Chiara Delprato, quand elle avait vingt-trois ans. Le regard critique de Manche-à-balais amène à un débat animé. La pièce se finit sur la sortie de Bol, vexé de s’être imaginé une Chiara Delprato complètement différente de ce qu’elle est au moment où ils en parlent. Finalement, le lecteur comprend que la poésie et le texte est changent selon le regard et l’opinion qu’on lui accorde.
La deuxième pièce dans cet ouvrage est « Bol, Chat et Manche-à-Balai » est l’histoire de trois hommes, Chat, Bol et Manche-à-balais, qui discutent autour de la poésie et de leurs perceptions différentes de poèmes particuliers. La pièce commence avec Bol traduisant, de l’italien en leur langue, un poème de Chiara Delprato à Chat. Les deux hommes ne sont pas d’accord sur la traduction. L’un a une vision sensitive par rapport à l’autre qui a une vision plus critique et sophistiquée. Arrive Manche-à-balais, un homme costaud et corpulent, qui vient participer à la discussion. Les trois hommes s’imaginent la poétesse qui doit être jeune et séduisante d’après ce qu’ils ressentent dans son écriture, qui est sensible et imaginative. Ils admirent le portrait de Chiara Delprato, quand elle avait vingt-trois ans. Le regard critique de Manche-à-balais mène à un débat animé. La pièce se finit sur la sortie de Bol, vexé de s’être imaginé une Chiara Delprato complètement différente de ce qu’elle est au moment où ils en parlent. Finalement, le lecteur comprend que la poésie et le texte est changeant selon le regard et l’opinion qu’on lui accorde.
(:title Carlos parmi les bougies – Bol, Chat et Manche-à-Balai – Une cérémonie:)
Carlos allume une première bougie et commence à développer autour de ce que cette bougie représente pour lui. Il s’identifie à elle. Un sentiment de solitude l’envahi, en la voyant toute seule. Pour lui, la lumière d’une bougie a une signification différente que la lumière de deux bougies. Au fur et à mesure de la pièce il va allumer un total de vingt-quatre bougies de façon progressive. Sa parole et sa pensée accompagnent cette illumination tel un crescendo. Il absorbe la chaleur et la luminosité qu’elles lui donnent. Puis, il commence à les éteindre une par une. Le vent et le souffle ont alors une grande importance et représentent la froideur et la tristesse. L’extinction de la lumière change son humeur. Il se sent seul dans un monde où la société est froide. La pièce se termine lorsque le personnage éteint la dernière bougie et sort par une des portes donnant sur la scène.
La deuxième pièce dans cet ouvrage est « Bol, Chat et Manche-à-Balai » est l’histoire de trois hommes, Chat, Bol et Manche-à-balais, qui discutent autour de la poésie et de leurs perceptions différentes de poèmes particuliers. La pièce commence avec Bol traduisant, de l’italien en leur langue, un poème de Chiara Delprato à Chat. Les deux hommes ne sont pas d’accord sur la traduction. L’un a une vision sensitive par rapport à l’autre qui a une vision plus critique et sophistiquée. Arrive Manche-à-balais, un homme costaud et corpulent, qui vient participer à la discussion. Les trois hommes s’imaginent la poétesse qui doit être jeune et séduisante d’après ce qu’ils ressentent dans son écriture, qui est sensible et imaginative. Ils admirent le portrait de Chiara Delprato, quand elle avait vingt-trois ans. Le regard critique de Manche-à-balais amène à un débat animé. La pièce se finit sur la sortie de Bol, vexé de s’être imaginé une Chiara Delprato complètement différente de ce qu’elle est au moment où ils en parlent. Finalement, le lecteur comprend que la poésie et le texte est changent selon le regard et l’opinion qu’on lui accorde.
« Une Cérémonie » (A ceremony) est une pièce ouverte, longue de deux pages, qui laisse beaucoup de possibilités scéniques et dramaturgiques. En effet, c’est plutôt un monologue, raconté par un homme ou une femme. C’est la dernière pièce de cet ouvrage. Le monologue porte sur trois frère hollandais, partis tous les trois indépendamment dans des pays différents afin de faire fortune. Le premier part au Ceylan, le second au Brésil et le troisième en Nouvelle-Hollande. Chacun d’entre eux vit des histoires différentes, la plupart décevantes. La vie dans ces pays ne ressemble pas à leurs vies qu’ils avaient en Hollande. Ils vivent des difficultés par rapport aux autres cultures, qui ne connaissent pas et auxquelles ils vont être confrontés. Après leur mort, leurs trois fantômes se retrouvent lors d’un dîner autour d’une table. Ils discutent de leurs expériences et en viennent à la conclusion que la tradition est propre à chaque culture, qu’il faut l’apprendre à connaître et qu’il faut l’accepter comme elle est.
Ces pièces très courtes (environ quinze minutes chacune) ne sont pas jouables individuellement, à moins que ce soit un spectacle court. Ce sont des textes qui peuvent servir à des ateliers de théâtre ou à des cours de théâtre.