Premières Réécritures

Fragment X

On se retrouve dans une taverne miteuse. Il y a du bruit partout. Des hommes se battent. L’atmosphère est lourde. Entre Polonius, trop bien habillé pour l’endroit. Le Barman le dévisage un moment, puis recommence ce qu’il faisait.

CORAMBIS : Hum, Pourriez vous me servir un scotch s’il vous plait ?

Le Barman lui amène un scotch.

CORAMBIS : Maintenant, mon Seigneur, savez-vous qui je suis ?

HAMLET : Oui très bien, z’êtes un maquereau ! Un homme à femme !

CORAMBIS : Je… non mon seigneur

HAMLET : Alors, Monsieur le Président, j’aimerais bien que vous soyez ainsi. Vos intentions seraient plus limpides !

CORAMBIS Au Barman: Euh, je ne comprend pas ce qu’il me raconte…À Hamlet Que lisez-vous mon Seigneur ?

HAMLET : Wordes, Wordes

CORAMBIS : Et que racontent-ils, mon seigneur ?

HAMLET : Wordes talking ?

CORAMBIS : I mean…Quel est le sujet de ce que vous lisez, mon Seigneur ?

HAMLET : Mais la plus vile des hérésie ! Par ici le satirique satire écrit, Que le vieil homme, barbe grise et genoux faibles doit avoir, Et que pour sa sagesse, tu dois toujours l’écouter Tout ce qui, Monsieur le Président, je ne crois absolument pas: Car vous seriez, vous-même, vieux comme je suis, Si comme une Crabbe, vous pourriez marcher à l’envers.

CORAMBIS : Comme riches et plein d’esprit sont ses réponses,: Pourtant, au début, il me pris pour un poisson : Tout cela doit être provoqué par la folie Au Barman Je me souviens… Quand j’étais jeune, j’étais très ralenti par l’amour Et je passais toujours près de la folie… Ah ! Guert … Allez-vous walke de l’aire de mon seigneur

CORAMBIS : Par le temps qui passe, mon Seigneur Je dois prendre congé de vous, Continuez bien à vous amusez. Ceci ne peut que vous faire du bien !

Entrez Giderstone, et Rossencraft

HAMLET : Vous ne pouvez rien prendre, Monsieur le Président Que je ne laisse partir plus volontiers Une pause Vieux fou !

Rossencraft et Gilderstone entrent

CORAMBIS: Vous cherchez le Prince Hamlet ! Voyez ou il est.

GILDERSTONE prenant une bière : Santé à votre Seigneurie.

HAMLET : Quoi, Gilderstone, et Rossencraft, Bienvenue vieux amis! Bienvenu Chez Paré !

GILDERSTONE: Nous te remercions, et serions très heureux Que vous soyez avec nous comme vous l’étiez à Wittenberg.

HAMLET : Daccord. Mais dites moi, Est-ce une visite gratuite ? Ou ne seriez vous pas envoyé par quelqu’un Dites-moi la vérité. Venez ! Je sais que le roi Vous a envoyé à moi. Je vois la confession dans votre œil. Je sais qu’on vous a envoyé. Vous pouvez être honnête avec votre ami.

GILDERSTONE : Que vous dire ?

HAMLET : La vérité

ROSSENCRAFT : Mon seigneur, vous avez raison, mais nous sommes venus volontairement nous aimerions tellement, connaître la cause et le fondement de votre mécontentement.

HAMLET : J’veux une meilleure vie!

ROSSENCRAFT ET GILDERSTONE : Pardon ?

HAMLET : Par mon foie oui, c’grand monde que vous voyez ne m’contente pas. Non, ni l’ciel sans étoile, ni la terre salle, ni la mer plein de vidange, Non, ni l’homme qui est une si glorieuse créature n’saurait m’contenter Ni la femme non plus, si ça vous fait rire

GILDERSTONE : Mon seigneur, nous ne rions pas pour cela.

HAMLET : Pourquoi donc alors avez vous ris Quand j’ai dit l’homme ne m e contente plus ?

GILDERSTONE : Mon Seigneur, nous avons ri, quand vous avez dit, L’ homme ne vous contente plus. Mais alors quelle accueille recevrons les acteurs de tournés Qui viennent vous demander aumone

HAMLET : Des acteurs ! D’ou viennent-ils ?

ROSSENCRAFT : Mon Seigneur, ce sont les tragédiens de votre propre ville, ceux que vous aimiez tant.

HAMLET : Pourquoi ne voyagent-ils pas ? N’y a-t-il plus personne qui veut les accueillir dans ce vaste monde ?

GILDERSTONE : Non, mon Seigneur, leur réputation n’a pas changé.

HAMLET : Alors.. ?

GILDERSTONE d’un air gêné: Mon Seigneur, vous savez, La cour, qui commanditait ces acteurs, Et ainsi, leur permettait de vivre, À déclarer, ne plus avoir d’argent, Ils se sont alors tournés vers d’autres moyens, pous se financer, Savez vous qu’ils vendent de très beau porte clé ?

HAMLET : Je veux les voirs. Je veux les écouter Leur art m’enchante. Est-ce que le clown est encore là ? Si oui, il devra venir me voir. Et cette reine au port si majestueux. Et ce chevalier en armure.

Appellez-les ! Je veux les voir maintenant.

Luc-Philippe Filiatrault

Fragment XII

Premières Réécritures

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