Historique de SomeAmericans.00001
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23 novembre 2012 à 07h33
par William Durbau -
Ligne 16 modifiée:
:Genre dramatique:monologue
en:
:Genre dramatique:Monologue
10 novembre 2012 à 09h32
par SZ -
Ligne 26 modifiée:
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison, surtout, de son style elliptique et fragmentaire. Le personnage tente de raconter ses souvenirs aux spectateurs, mais il le fait de façon tortueuse, presque scyzophrénique, parsemée d'oublis, de sauts et de retours. Il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Ce monologue dérangeant et inquiétant nous révèle un personnage aliéné, certes, mais qui en est conscient. Et cette conscience que le personnage a de son aliénation rend sa prise de parole encore plus étrange et malaisante pour le spectateur, qui se fait parler directement. La quasi absence de didascalies (il n'y a que «Whaler stands, facing the audience» et «Pause.»), laisse une grande ouverture aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Une pièce minuscule mais chargée, cohérente et aboutie au niveau de son écriture.
en:
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison, surtout, de son style elliptique et fragmentaire. Le personnage tente de raconter ses souvenirs aux spectateurs, mais il le fait de façon tortueuse, presque scyzophrénique, parsemée d'oublis, de sauts et de retours dans le temps où il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Ce monologue dérangeant et inquiétant nous révèle un personnage aliéné, certes, mais qui en est conscient. Et cette conscience que le personnage a de son aliénation rend sa prise de parole encore plus étrange et malaisante pour le spectateur, qui se fait parler directement. La quasi absence de didascalies (il n'y a que «Whaler stands, facing the audience» et «Pause.»), laisse une grande ouverture aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Une pièce minuscule mais chargée, cohérente et aboutie au niveau de son écriture.
10 novembre 2012 à 07h13
par Young Jean Lee -
Ligne 26 modifiée:
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison, surtout, de son style elliptique et fragmentaire. Le personnage tente de raconter ses souvenirs aux spectateurs, mais il le fait de façon tortueuse, presque scyzophrénique, parsemée d'oublis, d'ellipses et de retours. Il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Ce monologue dérangeant et inquiétant nous révèle un personnage aliéné, certes, mais qui en est conscient. Et cette conscience que le personnage a de son aliénation rend sa prise de parole encore plus étrange et malaisante pour le spectateur, qui se fait parler directement. La quasi absence de didascalies (il n'y a que «Whaler stands, facing the audience» et «Pause.»), laisse une grande ouverture aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Une pièce minuscule mais chargée, cohérente et aboutie au niveau de son écriture.
en:
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison, surtout, de son style elliptique et fragmentaire. Le personnage tente de raconter ses souvenirs aux spectateurs, mais il le fait de façon tortueuse, presque scyzophrénique, parsemée d'oublis, de sauts et de retours. Il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Ce monologue dérangeant et inquiétant nous révèle un personnage aliéné, certes, mais qui en est conscient. Et cette conscience que le personnage a de son aliénation rend sa prise de parole encore plus étrange et malaisante pour le spectateur, qui se fait parler directement. La quasi absence de didascalies (il n'y a que «Whaler stands, facing the audience» et «Pause.»), laisse une grande ouverture aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Une pièce minuscule mais chargée, cohérente et aboutie au niveau de son écriture.
10 novembre 2012 à 07h12
par Young Jean Lee -
Ligne 26 modifiée:
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison, surtout, de son style elliptique et fragmentaire. Le personnage tente de raconter ses souvenirs aux spectateurs, mais il le fait d'une façon asynchronique, parsemée d'oublis, de sauts dans le temps et de retours sur soi. Il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Ce monologue dérangeant et inquiétant nous révèle un personnage aliéné, certes, mais qui en est conscient. La quasi absence de didascalies (il n'y a que «Whaler stands, facing the audience» et quelques «Pause.»), laisse une grande ouverture aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Une pièce minuscule mais chargée, cohérente et aboutie au niveau de son écriture.
en:
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison, surtout, de son style elliptique et fragmentaire. Le personnage tente de raconter ses souvenirs aux spectateurs, mais il le fait de façon tortueuse, presque scyzophrénique, parsemée d'oublis, d'ellipses et de retours. Il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Ce monologue dérangeant et inquiétant nous révèle un personnage aliéné, certes, mais qui en est conscient. Et cette conscience que le personnage a de son aliénation rend sa prise de parole encore plus étrange et malaisante pour le spectateur, qui se fait parler directement. La quasi absence de didascalies (il n'y a que «Whaler stands, facing the audience» et «Pause.»), laisse une grande ouverture aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Une pièce minuscule mais chargée, cohérente et aboutie au niveau de son écriture.
10 novembre 2012 à 07h02
par SZ -
Lignes 24-26 modifiées:
:Résumé de la pièce:La pièce est un microscopique monologue d'à peine quatre pages, où un personnage du nom de Whaler, face à l'audience, liste, de façon maladroite un certain nombre de souvenirs de moments humiliants ou stressants qu'il a vécus.
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison de style elliptique, fragmentaire et troué. Le personnage tente de raconter des souvenirs aux spectateurs, mais il le fait dans un ordre qui n'est pas ancré dans une chronologie fixe, il fait des oublis, fait des sauts dans le temps et des retours, et il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Dérangeant et inquiétant, certes, le monologue nous montre un personnage aliéné, et qui en est conscient. La quasi-absence de didascalies de la pièce («Whaler stands, facing the audience» et «Pause.»), laisse aussi une très grande part aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Pièce minuscule et pourtant très chargée, cohérente et abouttie au niveau de son style littéraire.
en:
:Résumé de la pièce:Monologue d'à peine quatre pages, où un personnage du nom de Whaler, face au public, dresse maladroitement la liste des moments humiliants ou stressants qu'il a vécus.
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison, surtout, de son style elliptique et fragmentaire. Le personnage tente de raconter ses souvenirs aux spectateurs, mais il le fait d'une façon asynchronique, parsemée d'oublis, de sauts dans le temps et de retours sur soi. Il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Ce monologue dérangeant et inquiétant nous révèle un personnage aliéné, certes, mais qui en est conscient. La quasi absence de didascalies (il n'y a que «Whaler stands, facing the audience» et quelques «Pause.»), laisse une grande ouverture aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Une pièce minuscule mais chargée, cohérente et aboutie au niveau de son écriture.
09 novembre 2012 à 04h56
par Young Jean Lee -
Lignes 7-8 ajoutées:
09 novembre 2012 à 04h56
par Young Jean Lee -
Lignes 6-7 supprimées:
:Nom complet du traducteur:
09 novembre 2012 à 04h55
par Young Jean Lee -
Ligne 16 modifiée:
:Genre dramatique:monologue inclassable
en:
:Genre dramatique:monologue
09 novembre 2012 à 04h54
par Young Jean Lee - Yaggoo
Lignes 1-28 ajoutées:
:Titre complet de la pièce:Yaggoo
(:title Yaggoo:)
:Année de publication:2009
:Nom complet de l'auteur:Young Jean Lee
:Nom complet du traducteur:
:Compagnie théâtrale:Young Jean Lee's Theater Company
:Lieu de création:Little Theater at Tonic (New York)
:Année de création:2003
:Genre dramatique:monologue inclassable
:Thèmes abordés:L'humiliation; l'amitié entre hommes; le souvenir; «l'humanité de l'être».
:Personnages féminins:aucun
:Personnages masculins:1
:Résumé de la pièce:La pièce est un microscopique monologue d'à peine quatre pages, où un personnage du nom de Whaler, face à l'audience, liste, de façon maladroite un certain nombre de souvenirs de moments humiliants ou stressants qu'il a vécus.
:Commentaire:La pièce est intéressante en raison de style elliptique, fragmentaire et troué. Le personnage tente de raconter des souvenirs aux spectateurs, mais il le fait dans un ordre qui n'est pas ancré dans une chronologie fixe, il fait des oublis, fait des sauts dans le temps et des retours, et il se contredit souvent. On en vient ainsi à questionner la véracité de ses paroles et, plus globalement, la stabilité de son état émotionnel. Dérangeant et inquiétant, certes, le monologue nous montre un personnage aliéné, et qui en est conscient. La quasi-absence de didascalies de la pièce («Whaler stands, facing the audience» et «Pause.»), laisse aussi une très grande part aux différentes lectures qu'on pourrait en faire. Pièce minuscule et pourtant très chargée, cohérente et abouttie au niveau de son style littéraire.
:Étudiant:[[~William Durbau]]