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04 janvier 2013 à 15h02 par SZ -
Ligne 26 modifiée:
:Commentaire:La pièce n'est pas sans nous rappeler «Oh Les beaux jours» de Beckett. Les didascalies descriptives sont omniprésentes. L'une d'entre-elles, au tout début de la pièce, insiste sur l'importance d'avoir un cheval mort des plus réalistes sur scène. On voit tout de la mise en scène souhaitée par Shepard; tout sur ses intentions quant au jeu d'acteur. Le personnage de Struther, souffrant de frustration existentielle, est incisif et parsème ses répliques de «F---ing horse!» alors qu'il exerce ses divers sévices sur ce cheval mort qu'il tâche d'enterrer. Shepard dira de sa pièce : « On a very coarse level, it’s a clown show.» Struther fut interprété par Stephen Rea, complice de longue date de Shepard à qui la pièce est dédiée.
en:
:Commentaire:La pièce n'est pas sans nous rappeler «Oh Les beaux jours» de Beckett. Les didascalies descriptives sont omniprésentes. L'une d'entre-elles, au tout début de la pièce, insiste sur l'importance d'un cheval mort des plus réalistes sur scène. On voit tout de la mise en scène souhaitée par Shepard; tout sur ses intentions quant au jeu d'acteur. Le personnage de Struther, souffrant de frustration existentielle, est incisif et parsème ses répliques de «F---ing horse!» alors qu'il exerce ses divers sévices sur ce cheval mort qu'il tâche d'enterrer. Shepard dira de sa pièce : « On a very coarse level, it’s a clown show.» Struther fut interprété par Stephen Rea, complice de longue date de Shepard à qui la pièce est dédiée.
04 janvier 2013 à 14h59 par SZ -
Lignes 24-32 modifiées:
:Résumé de la pièce:Hobart Struther se retrouve seul, dans le désert. Son cheval est mort. De colère, il le frappe. Il ne sait quoi faire. Il cherche une solution. Struther est receleur d'art, il achète des peintures cheaps puis les revends. Dans sa crise de la soixantaine, il quitte sa femme et sa vie d'homme riche pour se comprendre lui-même. Il est dans un sale état. Il doit enterrer son cheval. Ça sera plus difficile qu'il ne le croyait. Se débattant avec lui-même, il essaie de comprendre la vie ou l'authenticité comme il se plaît à le dire. Questionnant tous les points de la question, il avouera son échec.

:Commentaire:La pièce n'est pas sans rappeler le théâtre de Beckett (en attendant Godot, Les beaux jours).

Une écriture toute personnelle de Shepard dans cette pièce. Un discourt virulent qui n'est pas sans rappeler son auteur. Son alter ego, Struther (joué par Stephen Rea sur scène, complice de longue date de Shepard et pour lequel il dédie sa pièce.)joue la carte de l'existentiel, de la frustration. Le personnage se trouve incisif dans ces répliques parsemé de F---ing horse! et autres sévisses envers le cheval mort. L'omniprésence des didascalies descriptives de l'action presque chirurgicale de Shepard sont empreint de l'atmosphère de la pièce. Une didascalie de fou au tout début de la pièce sur l'importance d'avoir un cheval le plus réaliste possible sur scène. On voit carrément la mise en scène de Shepard et ses intentions pour le jeu de l'acteur à même son texte. Le texte se trouve somme tout déroutant sur notre monde, l'homme et les évènements environnant qui le façonne.

Shepard dira de sa pièce : « On a very coarse level, it’s a clown show.»

P-S La jeune femme qui se pointe juste pour mettre un chapeau de cowboy sur la tête de Struther. Savoureux!
en:
:Résumé de la pièce:Hobart Struther se retrouve seul, dans le désert. Son cheval est mort. De colère, il le frappe. Il ne sait quoi faire. Il cherche une solution. Struther est receleur d'art western (à la Frank Remington ou Harvey Dunn), il achète des peintures à bas prix pour les revendre aux collectionneurs avertis. Dans sa crise de la soixantaine, il quitte sa femme et sa vie d'homme riche pour se comprendre lui-même. Il est dans un sale état. Il doit enterrer son cheval. Ça sera plus difficile qu'il ne le croyait. Se débattant avec lui-même, il essaie de comprendre sa vie pour retrouver son authenticité comme il se plaît à le dire. En bout de ligne, il avouera son échec.

:Commentaire:La pièce n'est pas sans nous rappeler «Oh Les beaux jours» de Beckett. Les didascalies descriptives sont omniprésentes. L'une d'entre-elles, au tout début de la pièce, insiste sur l'importance d'avoir un cheval mort des plus réalistes sur scène. On voit tout de la mise en scène souhaitée par Shepard; tout sur ses intentions quant au jeu d'acteur. Le personnage de Struther, souffrant de frustration existentielle, est incisif et parsème ses répliques de «F---ing horse!» alors qu'il exerce ses divers sévices sur ce cheval mort qu'il tâche d'enterrer. Shepard dira de sa pièce : « On a very coarse level, it’s a clown show.» Struther fut interprété par Stephen Rea, complice de longue date de Shepard à qui la pièce est dédiée.


P-S Le personnage féminin, «La jeune femme», ne se pointe que pour mettre un chapeau de cowboy sur la tête de Struther. Savoureux!
11 novembre 2012 à 21h58 par Sam Shepard - Kicking a Dead Horse
Lignes 1-34 ajoutées:
:Titre complet de la pièce:Kicking a Dead Horse
(:title Kicking a Dead Horse:)

:Année de publication:2008

:Nom complet de l'auteur:Sam Shepard

:Nom complet du traducteur:

:Compagnie théâtrale:Abbey Theatre

:Lieu de création:Dublin, Irlande

:Année de création:2007

:Genre dramatique:Monologue, Drame

:Thèmes abordés:Déformation personnel, crise identitaire.

:Personnages féminins:1

:Personnages masculins:1

:Résumé de la pièce:Hobart Struther se retrouve seul, dans le désert. Son cheval est mort. De colère, il le frappe. Il ne sait quoi faire. Il cherche une solution. Struther est receleur d'art, il achète des peintures cheaps puis les revends. Dans sa crise de la soixantaine, il quitte sa femme et sa vie d'homme riche pour se comprendre lui-même. Il est dans un sale état. Il doit enterrer son cheval. Ça sera plus difficile qu'il ne le croyait. Se débattant avec lui-même, il essaie de comprendre la vie ou l'authenticité comme il se plaît à le dire. Questionnant tous les points de la question, il avouera son échec.

:Commentaire:La pièce n'est pas sans rappeler le théâtre de Beckett (en attendant Godot, Les beaux jours).

Une écriture toute personnelle de Shepard dans cette pièce. Un discourt virulent qui n'est pas sans rappeler son auteur. Son alter ego, Struther (joué par Stephen Rea sur scène, complice de longue date de Shepard et pour lequel il dédie sa pièce.)joue la carte de l'existentiel, de la frustration. Le personnage se trouve incisif dans ces répliques parsemé de F---ing horse! et autres sévisses envers le cheval mort. L'omniprésence des didascalies descriptives de l'action presque chirurgicale de Shepard sont empreint de l'atmosphère de la pièce. Une didascalie de fou au tout début de la pièce sur l'importance d'avoir un cheval le plus réaliste possible sur scène. On voit carrément la mise en scène de Shepard et ses intentions pour le jeu de l'acteur à même son texte. Le texte se trouve somme tout déroutant sur notre monde, l'homme et les évènements environnant qui le façonne.

Shepard dira de sa pièce : « On a very coarse level, it’s a clown show.»

P-S La jeune femme qui se pointe juste pour mettre un chapeau de cowboy sur la tête de Struther. Savoureux!

:Étudiant:[[~Maxim ST-Pierre]]
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Page last modified on 04 janvier 2013 à 15h02