Historique de SomeAmericans.00016

Montrer les modifications mineures - Affichage du code

05 janvier 2013 à 11h52 par SZ -
Ligne 24 modifiée:
Résumé de la pièce
Londres, 1665. En plein cœur de la Grande Peste, un vieux couple londonien, les Snelgrave, s’enferment dans leur demeure et attendent la fin de la quarantaine. Dunce, un jeune matelot, et Morse, une fillette de douze ans, entrent par infraction dans la demeure des Snelgrave. Une fois entré, plus question de sortir : Kabe, le garde, veille à ce qu’aucune personne ne sorte. Dans ce huis clos où l’inégalité sociale règne, les histoires du passé surgissent. Ensemble et contre la maladie, ils font face au corps brûlé de Darcy, à la femme disparue de Dunce, à la fausse identité de Morse et la frustration sexuelle de William. Peu à peu, les classes sociales s’effacent et survient l’amour entre le jeune matelot et la vieille dame. Un désir sexuel s’installe entre ces deux êtres blessés laissant le vieux William attaché à un fauteuil. Et dans la mort comme dans le départ, ces êtres se quittent comme ils sont venu.
en:
Résumé de la pièce
Londres, 1665. En plein cœur de la Grande Peste, un vieux couple londonien, les Snelgrave, s’enferment dans leur demeure et attendent la fin de la quarantaine. Dunce, un jeune matelot, et Morse, une fillette de douze ans, entrent par infraction dans la demeure des Snelgrave. Une fois entré, plus question de sortir : Kabe, le garde, veille à ce qu’aucune personne ne sorte. Dans ce huis clos où l’inégalité sociale règne, les histoires du passé surgissent. Ensemble et contre la maladie, ils font face au corps brûlé de Darcy, à la femme disparue de Dunce, à la fausse identité de Morse et la frustration sexuelle de William. Peu à peu, les classes sociales s’effacent et survient l’amour entre le jeune matelot et la vieille dame. Un désir sexuel s’installe entre ces deux êtres blessés laissant le vieux William attaché à un fauteuil. Et dans la mort comme dans le départ, ces êtres se quittent comme ils sont venus.
05 janvier 2013 à 10h35 par SZ -
Ligne 26 modifiée:
Commentaire
Une puce, épargnez-la met en scène des corps marqués par la mort. La présence de Morse lors de la mort de la petite Lissa. La mort de l’union de Dunce lorsqu’il revient de la guerre; sa femme a disparue. La mort de l’amour entre William et Darcy après que le corps de la femme ait été la proie des flammes. La mort de leur vie sexuelle. La mort de son rôle de mari. De son rôle de femme. Et au final, la mort des classes sociales. Tout doucement, la Grande Peste réunit et éloigne les humains.
en:
Commentaire
Une puce, épargnez-la met en scène des corps marqués par le théme de la mort: La présence de Morse lors de la mort de la petite Lissa. La mort de l’union de Dunce lorsqu’il revient de la guerre; sa femme a disparue. La mort de l’amour entre William et Darcy après que le corps de la femme ait été la proie des flammes. La mort de leur vie sexuelle. La mort de son rôle de mari. De son rôle de femme. Et au final, la mort des classes sociales. Tout doucement, la Grande Peste réunit et éloigne les humains.
05 janvier 2013 à 10h32 par SZ -
Ligne 4 modifiée:
Année de publication
1996 (version anglaise) 2007 (traduction française)
en:
Année de publication
1996 (version anglaise) 2007 (traduction française)
22 novembre 2012 à 11h25 par Naomi Wallace - One flea spare (Une puce, épargnez-la)
22 novembre 2012 à 11h24 par Naomi Wallace - One flea spare (Une puce, épargnez-la)
Lignes 1-28 ajoutées:
Titre complet de la pièce
One flea spare (Une puce, épargnez-la)

(:title One flea spare (Une puce, épargnez-la):)

Année de publication
1996 (version anglaise) 2007 (traduction française)
Nom complet de l’auteur
Naomi Wallace
Nom complet du traducteur
Dominique Hollier
Compagnie théâtrale
Bush Theatre
Lieu de création
Londres
Année de création
1995
Genre dramatique
Drame
Thèmes abordés
Les classes sociales, l’amour, la maladie, la mort, la sexualité et le corps humain.
Personnages féminins
2
Personnages masculins
3
Résumé de la pièce
Londres, 1665. En plein cœur de la Grande Peste, un vieux couple londonien, les Snelgrave, s’enferment dans leur demeure et attendent la fin de la quarantaine. Dunce, un jeune matelot, et Morse, une fillette de douze ans, entrent par infraction dans la demeure des Snelgrave. Une fois entré, plus question de sortir : Kabe, le garde, veille à ce qu’aucune personne ne sorte. Dans ce huis clos où l’inégalité sociale règne, les histoires du passé surgissent. Ensemble et contre la maladie, ils font face au corps brûlé de Darcy, à la femme disparue de Dunce, à la fausse identité de Morse et la frustration sexuelle de William. Peu à peu, les classes sociales s’effacent et survient l’amour entre le jeune matelot et la vieille dame. Un désir sexuel s’installe entre ces deux êtres blessés laissant le vieux William attaché à un fauteuil. Et dans la mort comme dans le départ, ces êtres se quittent comme ils sont venu.
Commentaire
Une puce, épargnez-la met en scène des corps marqués par la mort. La présence de Morse lors de la mort de la petite Lissa. La mort de l’union de Dunce lorsqu’il revient de la guerre; sa femme a disparue. La mort de l’amour entre William et Darcy après que le corps de la femme ait été la proie des flammes. La mort de leur vie sexuelle. La mort de son rôle de mari. De son rôle de femme. Et au final, la mort des classes sociales. Tout doucement, la Grande Peste réunit et éloigne les humains.
Étudiant
Adam Faucher?
Éditer page - Historique - Imprimable - Changements récents - Aide - RechercheWiki
Page last modified on 05 janvier 2013 à 11h52