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06 janvier 2013 à 18h50 par SZ -
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Résumé de la pièce
Un narrateur (qui pourrait aussi être une femme, ce n’est pas mentionné dans la pièce) se réveille dans une chambre d’hôtel dans un pays qui semble être en développement. Alors qu’il est en voyage, le protagoniste est accablé d’une nause et d’une fièvre. Tout au long du monologue qui est proféré par le protagoniste, on comprend qu’une exécution sur la place publique se prépare tout près de sa chambre d’hôtel. Le monologue donne lieu à une autocritique. Le personnage remet sa vie insouciante et matérialiste en question ainsi que sa responsabilité sur les peuples opprimés. Tout cela en même qu’il est entouré par la pauvreté de ce pays qui n’est pas nommé, mais qui pourrait être n’importe quel pays pauvre. Le narrateur, au cours de sa réflexion, vient à la conclusion que ce sont les dirigeants politiques qui sont responsables des injustices sociales puisqu’ils n’agissent aucunement. Le protagoniste finit par cibler sa propre responsabilité, parce que comme les dirigeants politiques, lui aussi est inactif. Mais toute cette brouille, la fièvre l’accable. Vers la fin, le protagoniste se demande s’il serait prêt à accepter l’inconfort, les épreuves et la souffrance pour combattre les injustices de ce monde. La pièce finie par ces mots « Pardonnez-moi. Pardonnez-moi. Je sais que vous me pardonnez. Je tombe encore.»
en:
Résumé de la pièce
Un narrateur (qui pourrait aussi être une femme, ce n’est pas mentionné dans la pièce) se réveille dans une chambre d’hôtel dans un pays qui semble être en développement. Alors qu’il est en voyage, le protagoniste est accablé de nausée et de fièvre. Tout au long du monologue qui est proféré par le protagoniste, on comprend qu’une exécution sur la place publique se prépare tout près de sa chambre d’hôtel. Le monologue donne lieu à une autocritique. Le personnage remet sa vie insouciante et matérialiste en question ainsi que sa responsabilité quant aux peuples opprimés. Tout cela alors qu’il est entouré par la pauvreté de ce pays qui n’est pas nommé, mais qui pourrait être n’importe quel pays du tiers monde. Le narrateur, au cours de sa réflexion, en vient à la conclusion que ce sont les dirigeants politiques qui sont responsables des injustices sociales puisqu’ils n’agissent pas. Le protagoniste finit par cibler sa propre responsabilité, parce que comme les dirigeants politiques, lui aussi est inactif. La fièvre l’accable. Vers la fin, le protagoniste se demande s’il serait prêt à accepter l’inconfort, les épreuves et la souffrance pour combattre les injustices de ce monde. La pièce finie par ces mots « Pardonnez-moi. Pardonnez-moi. Je sais que vous me pardonnez. Je tombe encore.»
08 décembre 2012 à 14h22 par Lee Knowlton Blessing - La fièvre (V.O. The Fever)
Lignes 1-30 ajoutées:
Titre complet de la pièce
La fièvre (V.O. The Fever)

(:title La fièvre (V.O. The Fever):)

Année de publication
(V.O. 1991, V.F. 2007)
Nom complet de l’auteur
Wallace Michael Shawn
Nom complet du traducteur
Philippe Ducros
Compagnie théâtrale
Public Theater
Lieu de création
New York
Année de création
1991
Genre dramatique
Monologue dramatique
Thèmes abordés
Pays en dévellopement, pauvreté, relations de pouvoir dans la société, responsabilités individuelles, interculturalité
Personnages féminins
aucun
Personnages masculins
aucun
Résumé de la pièce
Un narrateur (qui pourrait aussi être une femme, ce n’est pas mentionné dans la pièce) se réveille dans une chambre d’hôtel dans un pays qui semble être en développement. Alors qu’il est en voyage, le protagoniste est accablé d’une nause et d’une fièvre. Tout au long du monologue qui est proféré par le protagoniste, on comprend qu’une exécution sur la place publique se prépare tout près de sa chambre d’hôtel. Le monologue donne lieu à une autocritique. Le personnage remet sa vie insouciante et matérialiste en question ainsi que sa responsabilité sur les peuples opprimés. Tout cela en même qu’il est entouré par la pauvreté de ce pays qui n’est pas nommé, mais qui pourrait être n’importe quel pays pauvre. Le narrateur, au cours de sa réflexion, vient à la conclusion que ce sont les dirigeants politiques qui sont responsables des injustices sociales puisqu’ils n’agissent aucunement. Le protagoniste finit par cibler sa propre responsabilité, parce que comme les dirigeants politiques, lui aussi est inactif. Mais toute cette brouille, la fièvre l’accable. Vers la fin, le protagoniste se demande s’il serait prêt à accepter l’inconfort, les épreuves et la souffrance pour combattre les injustices de ce monde. La pièce finie par ces mots « Pardonnez-moi. Pardonnez-moi. Je sais que vous me pardonnez. Je tombe encore.»
Commentaire
La fièvre est une pièce sans aucune didascalie, ni indication de décors. Toutes les informations pour le passage à la scène sont dans le monologue. Il n’y a pas d’action concrète, sinon la parole du personnage principal qui s’active.

Wallace Shawn est un acteur et un auteur-scénariste américain. En lisant La Fièvre, il n’est pas étonnant d’apprendre par le caractère politique et engagé de la pièce, qu’il a étudié d’abord en économie et en philosophie à Oxford. Alors que ses premières oeuvres sont écrites dans un style plus absurde (Mary and Bruce (1978) My dinner with Andre (1981)), ses pièces et ses film à partir de 1985 seront plus politiques. Il écrit aussi des commentaires politique pour des revues et des journaux tels que The Nation et Final Edition. The Fever a fait l’objet d’une adaptation cinématographique produit par HBO Films (The Fever, 2004, réalisation Carlo Gabriel Nero) mettant en vedettes:Vanessa Redgrave, avec des caméos de Angelina Jolie, Joely Richardson, et le documentariste Michael Moore.

Étudiant
Marie-Hélène Chaussé?
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