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06 janvier 2013 à 22h07 par SZ -
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Sur la scène d’un théâtre, l’une après l’autre, elles décident de prendre la parole à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui en font leur tragédie. C’est ainsi qu’on y rencontrera une jeune femme obsédée par les regards des autres, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontrera aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur. Une autre, au sommet de sa féminité, sera incapable de séduire un homme de son âge…

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Sur la scène d’un théâtre, l’une après l’autre, elles décident de prendre la parole à la manière d’un chœur décomposé. Je me tiens devant toi nue est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui en font leur tragédie. C’est ainsi qu’on y rencontrera une jeune femme obsédée par les regards des autres, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontrera aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur. Une autre, au sommet de sa féminité, sera incapable de séduire un homme de son âge…

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Au Québec, en 1976, un collectif d’écrivaines dresse un portrait de six femmes québécoises à travers un collage de monologues, «La nef des sorcières» (Marthe Blackburn, Marie-Claire Blais, Odette Gagnon, Luce Guilbeault, Pol Pelletier et France Théoret). Le regard québécois sur le féminin transcrit dans «La nef des sorcières» versus celui américain de Oates peuvent être intéressant à comparer. Ils se complètent en un certain sens.

Peggy Phelan est une auteure issue du courant des «Gender Studies» qui a étudié la question du corps et de la présence de la femme sur la scène de théâtre. Voir l’article «Theatre and its mother : Tom Stoppard’s Hapgood» dans «Unmarked ; The politics of performance» de Peggy Phelan.

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Au Québec, en 1976, un collectif d’écrivaines dresse un portrait de six femmes québécoises à travers un collage de monologues, La nef des sorcières (Marthe Blackburn, Marie-Claire Blais, Odette Gagnon, Luce Guilbeault, Pol Pelletier et France Théoret). Le regard québécois sur le féminin transcrit dans La nef des sorcières versus celui américain de Oates peuvent être intéressant à comparer. Ils se complètent en un certain sens.

Peggy Phelan est une auteure issue du courant des «Gender Studies» qui a étudié la question du corps et de la présence de la femme sur la scène de théâtre. Voir l’article «Theatre and its mother : Tom Stoppard’s Hapgood» dans Unmarked ; The politics of performance de Peggy Phelan.

20 décembre 2012 à 06h05 par Joyce Carol Oates -
20 décembre 2012 à 06h05 par Joyce Carol Oates -
Ligne 16 modifiée:
Genre dramatique
Monologues dramatique
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Genre dramatique
Monologues dramatiques
16 décembre 2012 à 13h08 par Joyce Carol Oates -
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Peggy Phelan est une auteure issue du courant des «Gender Studies» qui a questionnée la question du corps et de la présence de la femme sur la scène de théâtre. Voir l’article «Theatre and its mother : Tom Stoppard’s Hapgood» dans «Unmarked ; The politics of performance» de Peggy Phelan.

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Peggy Phelan est une auteure issue du courant des «Gender Studies» qui a étudié la question du corps et de la présence de la femme sur la scène de théâtre. Voir l’article «Theatre and its mother : Tom Stoppard’s Hapgood» dans «Unmarked ; The politics of performance» de Peggy Phelan.

16 décembre 2012 à 13h05 par Joyce Carol Oates -
Ligne 28 modifiée:

Sur la scène d’un théâtre, l’une après l’autre, elles décident de prendre la parole à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. C’est ainsi qu’on y rencontre une jeune femme obsédée par les regards des autres, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontre aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

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Sur la scène d’un théâtre, l’une après l’autre, elles décident de prendre la parole à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui en font leur tragédie. C’est ainsi qu’on y rencontrera une jeune femme obsédée par les regards des autres, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontrera aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur. Une autre, au sommet de sa féminité, sera incapable de séduire un homme de son âge…

16 décembre 2012 à 13h01 par Joyce Carol Oates -
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Sur la scène d’un théâtre, elles décident de prendre la parole, l’une après l’autre, à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. C’est ainsi qu’on y rencontre une jeune femme obsédée par les regards des autres, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontre aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

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Sur la scène d’un théâtre, l’une après l’autre, elles décident de prendre la parole à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. C’est ainsi qu’on y rencontre une jeune femme obsédée par les regards des autres, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontre aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

16 décembre 2012 à 13h00 par Joyce Carol Oates -
Ligne 28 modifiée:

Sur la scène d’un théâtre, elles décident de prendre la parole, l’une après l’autre, à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. C’est ainsi qu’on y rencontre une jeune femme obsédée par les regards de l’autre sur soi, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontre aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

en:

Sur la scène d’un théâtre, elles décident de prendre la parole, l’une après l’autre, à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. C’est ainsi qu’on y rencontre une jeune femme obsédée par les regards des autres, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontre aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

16 décembre 2012 à 12h58 par Joyce Carol Oates -
Ligne 30 modifiée:

Ce mettant à nue devant nous, ces femmes décide de lever le voile sur leur censure, de se déshabiller de leur habit social et surtout, de leur silence.

en:

Ce mettant à nue devant nous, ces femmes décident de lever le voile sur leur censure, de se départir de leur habit social et surtout, de leur silence.

16 décembre 2012 à 12h56 par Joyce Carol Oates -
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Sur la scène d’un théâtre, elles décident de prendre la parole, l’une après l’autre, à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. On y rencontrera une jeune femme obsédée par les regards de l’autre sur soi, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontrera aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

en:

Sur la scène d’un théâtre, elles décident de prendre la parole, l’une après l’autre, à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. C’est ainsi qu’on y rencontre une jeune femme obsédée par les regards de l’autre sur soi, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontre aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

Lignes 30-33 modifiées:

Ainsi ces femmes se mettront à nue devant nous, enlèveront le voile de leur censure, se déshabilleront de leur habit social et surtout, de leur silence.

Commentaire
Qui sont ces femmes ? Que représentent-elles ?
en:

Ce mettant à nue devant nous, ces femmes décide de lever le voile sur leur censure, de se déshabiller de leur habit social et surtout, de leur silence.

Commentaire

Qui sont ces femmes ? Que représentent-elles ?

16 décembre 2012 à 12h41 par Joyce Carol Oates - Je me tiens devant toi nue-I stand before you naked
Lignes 33-34 modifiées:
Commentaire

Qui sont ces femmes ? Que représentent-elles ?

en:
Commentaire
Qui sont ces femmes ? Que représentent-elles ?
16 décembre 2012 à 12h38 par Joyce Carol Oates -
16 décembre 2012 à 12h38 par Joyce Carol Oates -
16 décembre 2012 à 12h33 par Joyce Carol Oates -
Ligne 28 modifiée:

Sur la scène d’un théâtre, elles décident de prendre la parole, l’une après l’autre, à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. On y rencontrera une jeune femme obsédée par les regards de l’autre sur soi, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontrera aussi une vielle dame bien nanti et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

en:

Sur la scène d’un théâtre, elles décident de prendre la parole, l’une après l’autre, à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. On y rencontrera une jeune femme obsédée par les regards de l’autre sur soi, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontrera aussi une vielle dame bien nantie et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge…

16 décembre 2012 à 12h32 par Joyce Carol Oates -
Ligne 30 modifiée:

Ainsi ces femmes se mettront à nue devant nous, enlèveront le voile de leur censure et se déshabilleront de leur habit social et surtout, de leur silence.

en:

Ainsi ces femmes se mettront à nue devant nous, enlèveront le voile de leur censure, se déshabilleront de leur habit social et surtout, de leur silence.

16 décembre 2012 à 12h31 par Joyce Carol Oates - Je me tiens devant toi nue-I stand before you naked
Lignes 1-55 ajoutées:
Titre complet de la pièce
Je me tiens devant toi nue-I stand before you naked

(:title Je me tiens devant toi nue-I stand before you naked:)

Année de publication
1991
Nom complet de l’auteur
Joyce Carol Oates
Nom complet du traducteur
Robert Cordier
Compagnie théâtrale
The American Place Theatre (Wynn Handman)
Lieu de création
The American Place Theatre (New York)
Année de création
1991
Genre dramatique
Monologues dramatique
Thèmes abordés
Le féminin (l’insaisissable identité féminine ; être fille, être amante, être femme, être mère, être objet sexuel, objet de désir…), la sexualité (le culte du corps, les canons de beautés, l’hyper sexualisation, les déviances sexuelles, la prostitution), le culte religieux, la crise identitaire, la maladie mentale (l’anorexie, le fanatisme), les masques sociaux, les rapports homme/femme, l’amour, le désir de reconnaissance, la violence, la solitude, l’adolescence, le mariage et l’amitié.
Personnages féminins
10
Personnages masculins
aucun
Résumé de la pièce
Elles sont dix.

Un chœur de dix femmes américaines tragiquement ordinaires. Elles représentent à la fois notre voisine, notre sœur, notre collègue ou la femme du dépanneur. Elles sont toutes ces femmes.

Sur la scène d’un théâtre, elles décident de prendre la parole, l’une après l’autre, à la manière d’un chœur décomposé. «Je me tiens devant toi nue» est un collage de dix monologues qui nous dévoile des personnages féminins rongés par de sombres pensées. Teintées d’un humour cinglant, les femmes que Oates nous présente sont toutes traversées par une impitoyable solitude, par des destins ordinaires, miséreux, qui font leur tragédie à toutes. On y rencontrera une jeune femme obsédée par les regards de l’autre sur soi, prise dans un éternel désir de plaire. On y rencontrera aussi une vielle dame bien nanti et fière, mais cette fois-ci habitée par un profond vide intérieur, puis une autre au sommet de sa féminité incapable de séduire un homme de son âge… Puis une autre et une autre… Ainsi ces femmes se mettront à nue devant nous, enlèveront le voile de leur censure et se déshabilleront de leur habit social et surtout, de leur silence.

Commentaire

Qui sont ces femmes ? Que représentent-elles ? Peut-on parler d’archétypes féminins ? Pourquoi sont-elles anonymes ? Qu’est-ce qu’elles ont en commun ? Qu’est le rôle du chœur dans la pièce ? Quelle est sa fonction ? Combien de comédienne a-t-on de besoin pour monter cette pièce ? Est-ce que chaque personnage est interprété par une seule comédienne? La traduction française est-elle efficace? Doit-on traduire la pièce en québécois? Quelle est l’influence de la religion dans la pièce?

Quelques pistes complémentaires :

Orlan est une artiste contemporaine (Performance, Body Art, œuvres regroupant plusieurs mediums) ayant questionnée, tout au long de sa carrière, les canons de beautés à travers le monde et le culte du corps (l’avènement de la chirurgie esthétique, l’ère des transformations physiques etc.). Elle peut être une source d’inspiration.

Au Québec, en 1976, un collectif d’écrivaines dresse un portrait de six femmes québécoises à travers un collage de monologues, «La nef des sorcières» (Marthe Blackburn, Marie-Claire Blais, Odette Gagnon, Luce Guilbeault, Pol Pelletier et France Théoret). Le regard québécois sur le féminin transcrit dans «La nef des sorcières» versus celui américain de Oates peuvent être intéressant à comparer. Ils se complètent en un certain sens.

Peggy Phelan est une auteure issue du courant des «Gender Studies» qui a questionnée la question du corps et de la présence de la femme sur la scène de théâtre. Voir l’article «Theatre and its mother : Tom Stoppard’s Hapgood» dans «Unmarked ; The politics of performance» de Peggy Phelan.

Lire aussi Luce Irigaray à propos du féminin et des rapports homme/femme. Une des auteures les plus importantes du mouvement féministe.

Étudiant
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