Premières Réécritures

Fragment XVIII

K. Claudius : Mon cher fils Hamlet, nous nous soucions de vous, en particulier de votre santé. Où votre vraie nature s’est-elle perdue, Nous pensions vous envoyez en mission en l’Angleterre, Si le vent le veut, vous appareillerez cette nuit, Les Lord Rossencraft et Gilderstone vous y accompagneront,

Hamlet : Oh de tout cœur, adieu mère.

K. Claudius : Votre père aimant, Hamlet. Hamlet : Ma mère j’ai dit, vous l’avez épousez, Elle devint votre épouse, mari et femme forment la même chair, Ainsi, mère, adieu, je pars pour l’Angleterre.

Tous sortent sauf le roi.

K. Claudius : Gertrude, laissez-moi, Et faite vos adieux à Hamlet, Qu’il parte pour l’Angleterre, mais n’en revienne jamais, Nos lettres témoignent au roi d’Angleterre, De leur souveraineté à leur égard, sur ses devoirs, Il ne se demandera pas pourquoi, Le prince Hamlet perdit sa tête, car il doit mourir, Il y a plus en lui que ce que ces pauvres esprits peuvent voir, Une fois qu’il sera mort, notre nation en sera libérée.

Entre Fortenbrasse, l’ambassadeur et des soldats

Fortenbrasse : Capitaine, je vous mandate auprès, Du roi du Danemark, Dites-lui que Fortenbrasse, neveu de la fière Norvège, Lui requière l’aimable autorisation de passer par ses terres, Conformément à notre traité établis, Vous savez où nous trouvez, maintenant, allez!

Ils sortent tous

Entrent K. Claudius et Q. Gertrude.

K. Claudius : Hamlet vogue vers l’Angleterre, juste sort, J’espère sans trop tarder apprendre de bonnes nouvelles, J’entrevoie que le destin embrasse nos intérêts, Il ne fait aucun doute qu’il ne peut qu’en être ainsi,

Q. Gertrude : Dieu dans toute ta splendeur, veille et protège mon doux Hamlet, Mais le malheur de la mort du sage Polonius, Lacère lentement le cœur de la jeune Ophélie, Pauvre jeune fille, elle en perd la raison.

K. Claudius : Hélas ma mie! Et de l’autre côté, Il est dit que son frère revient de France, Avec la moitié d’un cœur et autant de nos terres, Et à peine a-t-il oublié son père mort, Que nous devons le remplir d’idées pacifiques.

Q. Gertrude : Oh, voyons où est la jeune Ophélie!

Entre Ophélie, jouant du luth, et chantant à voix basse.

Ophélie : Doré ikaga Okohi arimasse ka? Anata, dé chigaou no mono dèsse ka, An-na karaille no kara to Ozon-jirou, Tamè zouri migakimasse, Shiro no itadaki gotochi také, An’na otonashii no sakoura kazamasse, Tsuukoudomè no ichimen no kyuushuu, Mottè yasashii no majimé no ren’bo doshabouri, Karè wa shi no yukouefoumèi dèsse, ré-di, kare wa shi no yukouèfumèi dèsse, O-shounou midori no zassou yashinaimasse, To iwa no o-kakato dèsse,.

K. Claudius : Que vous est-il arrivé, jeune Ophélie?

Ophélie : Oya, hoerimasse dèsse ka? Watashi wa naibu hi no toko no atashi yasoumimasse nagamemasse, Watashi wa hoshigarimasenne keredo tobouraimasse, Yomigaèmasenne dèsse ka? Yomigaèmasenne dèsse ka? Iié, iié, atashi sarimasse dèsse to watashitashi wa hikihashimasse dèsse, Itsoudemo karè yomigaèmasenne dèsse, sakourazoukamori mimamomasse, O-higè mashiro an’na shin’setsou dèsse, O-kouki nobé no namanurui arimashita, Karè wa shi no dèsse, karè wa sarimasse dèsse, To watashitashi wa hikihashimasse dèsse, Oya o-tama to awarè arimasse, To tamè issaille shin’ja no tama, watashi wa raihaille ogamitashimasse, Oya awaremou arimasse, ra-di, oya awaremou arimasse.

Ophélie sort

Vincent Gomez

Fragment XX

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