Historique de SomeAmericans.00019

Cacher les modifications mineures - Affichage du code

05 janvier 2013 à 12h31 par SZ -
Ligne 26 modifiée:
Commentaire
Dans un style très statique (malgré les nombreux mouvements suggérés par les didascalies), Tina Howe met en scène la tendresse et la colère des vieilles personnes. Elle nous montre le (dernier?) désir d’une vieille femme, et sa vie, comme s’il s’agissait d’une vieille photographie ou d’un portrait de famille à l’huile sur toile. L’anglais d’aujourd’hui s’entremêle à ceux des grands poètes et de l’aristocratie du XI Xieme?, ainsi qu’au français. Les personnages aussi se mélangent, car on y retrouve des gens de toutes classes et de toutes époques confondues.
en:
Commentaire
Dans un style très statique (malgré les nombreux mouvements suggérés par les didascalies), Tina Howe met en scène la tendresse et la colère des vieilles personnes. Elle nous montre le (dernier?) désir d’une vieille femme, et sa vie, comme s’il s’agissait d’une vieille photographie ou d’un portrait de famille à l’huile sur toile. L’anglais d’aujourd’hui s’entremêle à ceux des grands poètes et de l’aristocratie du 19ieme, ainsi qu’au français. Les personnages aussi se mélangent, car on y retrouve des gens de toutes classes et de toutes époques confondues.
05 janvier 2013 à 12h30 par SZ -
Ligne 24 modifiée:
Résumé de la pièce
Mabel veut organise un «croquet party» comme elle le faisait auparavant, à chaque année. C’est l’occasion pour elle de revoir plusieurs ami-e-s qu’elle n’a pas vu-e-s depuis longtemps, sa vieillesse et sa difficulté à marcher l’empêchant de pratiquer un grand nombre d’activités. C’est également pour elle une sorte de catalyseur, qui la fait retomber dans son enfance et sa jeunesse à travers certains souvenirs marquants: la première fois qu’elle a défié moralement sa mère, un conflit avec son mari alcoolique, son enfance qu’elle passait avec la cuisinière de la famille et sa fille, etc. Peu à peu, les souvenirs de la vieille dame commencent à s’entremêler avec la vie réelle, pour se terminer à la toute fin avec un souvenir qui nous laisse à la fois voir la mort et la création, la finitude et le commencement.
en:
Résumé de la pièce
Mabel veut organise un «croquet party» comme elle le faisait auparavant, à chaque année. C’est l’occasion pour elle de revoir plusieurs ami-e-s qu’elle n’a pas vu-e-s depuis longtemps, sa vieillesse et sa difficulté à marcher l’empêchant de pratiquer un grand nombre d’activités. C’est également pour elle une sorte de catalyseur, qui la fait retomber dans son enfance et sa jeunesse: la première fois qu’elle a défié sa mère, un conflit avec son mari alcoolique, son enfance auprès de la cuisinière de famille et sa fille, etc. Peu à peu, les souvenirs de la vieille dame commencent à s’entremêler avec la vie réelle, pour se terminer à la toute fin avec un souvenir unissant la mort et la création, la fin et le début.
05 janvier 2013 à 12h27 par SZ -
Lignes 24-30 modifiées:
Résumé de la pièce
Mabel veut organise un «croquet party» comme elle le faisait avant, à chaque année. C’est l’occasion pour elle de revoir plusieurs ami-e-s qu’elle n’a pas vu-e-s depuis longtemps, sa vieillesse et sa difficulté à marcher l’empêchant de pratiquer un grand nombre d’activité. C’est également pour elle une sorte de catalyseur, qui la fait retomber dans son enfance et sa jeunesse à travers certains souvenirs marquants: la première fois qu’elle a défié moralement sa mère, un conflit avec son mari alcoolique, son enfance qu’elle passait avec la cuisinière de la famille et sa fille, etc. Peu à peu, les souvenirs de la vieille dame commencent à s’entremêler avec la vie réelle, pour se terminer à la toute fin avec un souvenir qui nous laisse à la fois voir la mort et la création, la finitude et le commencement.
Commentaire
Dans un style très statique (malgré les nombreux mouvements suggérés par les didascalies), Tina Howe met en scène la tendresse et la colère des vieilles personnes. Elle nous montre le (dernier?) désir d’une vieille femme, et nous montre sa vie, comme l’aurait fait une vieille photographie ou un portrait de famille peint en huile sur toile. Les langues se mélangent, prenant dans l’anglais utilisé par les grands poètes, celui utilisé par l’aristocratie début de siècle, et celui plus commun d’aujourd’hui, ainsi que du français. Les personnages aussi se mélangent, car on y retrouve des gens de toutes classes et de toutes époques confondues.

C’est donc à la fois au passé et au présent, dans une sorte de grande euphorie hallucinée de fin de vie, que l’auteure nous présente son personnage de Mabel Tidings-Bigelow. Et si, à ce niveau, la pièce n’est pas sans intérêt, on peut lui reprocher son caractère statique, car le texte manque cruellement de rythme, et contient à la fin de chaque acte des scènes cruellement longues de jeu (charade à l’acte 1, croquet à l’acte 2) qui apportent globalement peu et auraient pu être resserrées. On peut également reprocher le manque de prise de risque du texte, et le relatif confort inutile dans lequel il plonge le spectateur. Ainsi, si la pièce n’est stylistiquement pas dénuée d’intérêt, le résultat final n’est pas aussi percutant qu’il aurait pu l’être.

en:
Résumé de la pièce
Mabel veut organise un «croquet party» comme elle le faisait auparavant, à chaque année. C’est l’occasion pour elle de revoir plusieurs ami-e-s qu’elle n’a pas vu-e-s depuis longtemps, sa vieillesse et sa difficulté à marcher l’empêchant de pratiquer un grand nombre d’activités. C’est également pour elle une sorte de catalyseur, qui la fait retomber dans son enfance et sa jeunesse à travers certains souvenirs marquants: la première fois qu’elle a défié moralement sa mère, un conflit avec son mari alcoolique, son enfance qu’elle passait avec la cuisinière de la famille et sa fille, etc. Peu à peu, les souvenirs de la vieille dame commencent à s’entremêler avec la vie réelle, pour se terminer à la toute fin avec un souvenir qui nous laisse à la fois voir la mort et la création, la finitude et le commencement.
Commentaire
Dans un style très statique (malgré les nombreux mouvements suggérés par les didascalies), Tina Howe met en scène la tendresse et la colère des vieilles personnes. Elle nous montre le (dernier?) désir d’une vieille femme, et sa vie, comme s’il s’agissait d’une vieille photographie ou d’un portrait de famille à l’huile sur toile. L’anglais d’aujourd’hui s’entremêle à ceux des grands poètes et de l’aristocratie du XI Xieme?, ainsi qu’au français. Les personnages aussi se mélangent, car on y retrouve des gens de toutes classes et de toutes époques confondues.

C’est donc à la fois au passé et au présent, dans une sorte de grande euphorie hallucinatoire de fin de vie, que l’auteure nous présente son personnage de Mabel Tidings-Bigelow.

Si la pièce n’est pas sans intérêt, on peut lui reprocher cependant son caractère statique. Le texte manque cruellement d’action, chaque acte aboutissant sur des scènes de “jeu de société” (Charades à l’acte 1, Croquet à l’acte 2) qui mériteraient d’être beaucoup resserrées. On peut également reprocher au texte son conservatisme, et l’inutile confort nostalgique dans lequel il plonge le spectateur.

23 novembre 2012 à 07h34 par William Durbau -
Ligne 16 modifiée:
Genre dramatique
comédie
en:
Genre dramatique
Comédie
23 novembre 2012 à 07h33 par William Durbau - Pride's Crossing
Lignes 1-32 ajoutées:
Titre complet de la pièce
Pride’s Crossing

(:title Pride's Crossing:)

Année de publication
1998
Nom complet de l’auteur
Tina Howe
Nom complet du traducteur
Compagnie théâtrale
non spécifié
Lieu de création
Old Globe Theatre (San Diego)
Année de création
1997
Genre dramatique
comédie
Thèmes abordés
Mort, vieillesse, marriage, nage sportive, jeu, famille, héritage.
Personnages féminins
10
Personnages masculins
10
Résumé de la pièce
Mabel veut organise un «croquet party» comme elle le faisait avant, à chaque année. C’est l’occasion pour elle de revoir plusieurs ami-e-s qu’elle n’a pas vu-e-s depuis longtemps, sa vieillesse et sa difficulté à marcher l’empêchant de pratiquer un grand nombre d’activité. C’est également pour elle une sorte de catalyseur, qui la fait retomber dans son enfance et sa jeunesse à travers certains souvenirs marquants: la première fois qu’elle a défié moralement sa mère, un conflit avec son mari alcoolique, son enfance qu’elle passait avec la cuisinière de la famille et sa fille, etc. Peu à peu, les souvenirs de la vieille dame commencent à s’entremêler avec la vie réelle, pour se terminer à la toute fin avec un souvenir qui nous laisse à la fois voir la mort et la création, la finitude et le commencement.
Commentaire
Dans un style très statique (malgré les nombreux mouvements suggérés par les didascalies), Tina Howe met en scène la tendresse et la colère des vieilles personnes. Elle nous montre le (dernier?) désir d’une vieille femme, et nous montre sa vie, comme l’aurait fait une vieille photographie ou un portrait de famille peint en huile sur toile. Les langues se mélangent, prenant dans l’anglais utilisé par les grands poètes, celui utilisé par l’aristocratie début de siècle, et celui plus commun d’aujourd’hui, ainsi que du français. Les personnages aussi se mélangent, car on y retrouve des gens de toutes classes et de toutes époques confondues.

C’est donc à la fois au passé et au présent, dans une sorte de grande euphorie hallucinée de fin de vie, que l’auteure nous présente son personnage de Mabel Tidings-Bigelow. Et si, à ce niveau, la pièce n’est pas sans intérêt, on peut lui reprocher son caractère statique, car le texte manque cruellement de rythme, et contient à la fin de chaque acte des scènes cruellement longues de jeu (charade à l’acte 1, croquet à l’acte 2) qui apportent globalement peu et auraient pu être resserrées. On peut également reprocher le manque de prise de risque du texte, et le relatif confort inutile dans lequel il plonge le spectateur. Ainsi, si la pièce n’est stylistiquement pas dénuée d’intérêt, le résultat final n’est pas aussi percutant qu’il aurait pu l’être.

Étudiant
William Durbau?
Éditer page - Historique - Imprimable - Changements récents - Aide - RechercheWiki
Page last modified on 05 janvier 2013 à 12h31