Historique de SomeAmericans.00046

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06 janvier 2013 à 20h41 par SZ -
Lignes 24-27 modifiées:
Résumé de la pièce
La pièce nous est racontée par la fille aînée de Godfrey Crump, Ernestine, âgée de 17 ans. Elle raconte comment la famille est partie de la campagne suite à la mort de sa mère, pour aller s’installer en ville à New York. Elle nous dépeint leur situation, en se basant sur une année (le prologue associé à l’automne, le premier acte à l’hiver, le second acte au printemps et l’épilogue à l’été), et nous raconte la relation étrange qu’ils ont entretenus avec la soeur de la femme de Godrey. Godfrey est tombé amoureux d’une allemande, et s’est marié à elle, ce qui a occasionné un conflit dans sa famille, en raison de la situation historique (la pièce se passe en 1950). L’histoire se termine avec la graduation d’Ernestine, qui reçoit son diplôme du «High School», et qui entrevoit son avenir de révolutionaire.
Commentaire
Cette pièce est racontée de façon très tendre. Le style narratif est sensible et humain, les personnages complexes et vivants, intéressants. Il y a une grande part de symbolique dans l’histoire, notamment à travers les multiples notes que Godfrey prend, notes de questions sur son existence, qu’il veut poser à son pasteur, à travers aussi la musique afro-américaine, qui revient de différentes façons pendant la pièce, ou encore avec l’alcool.

Un autre aspect intéressant de l’écriture dramatique est la part d’imagination, de «daydreaming» du personnage d’Ernestine, qui nous raconte un événement pour nous dire tout de suite après «En tout cas, j’aurais aimé que ça se passe ainsi» et corrige en nous racontant la vraie version de l’histoire. C’est intéressant car les pistes deviennent brouillées, et si elle nous dit elle-même que certaines des choses narrées sont fausses, on se demande si d’autres qui nous sont contées comme vraies ne sont pas fausses également. Ernestine ment. Ernestine rêvasse. Ernestine désire et souhaite, rêve. Cet élément fait en sorte de jouer sur la mémoire et le passé de façon très surprenante, humainement plausible, la subjectivité de l’interprétation personnelle prenant parfois le pas sur l’objectivité des fait historiques.

en:
Résumé de la pièce
La pièce nous est racontée par la fille aînée de Godfrey Crump, Ernestine, âgée de 17 ans. Elle raconte comment la famille est partie de la campagne suite à la mort de sa mère, pour aller s’installer en ville à New York. Elle nous dépeint leur situation, en se basant sur une année (le prologue associé à l’automne, le premier acte à l’hiver, le second acte au printemps et l’épilogue à l’été), et nous raconte la relation étrange qu’ils ont entretenus avec la soeur de la femme de Godrey. Godfrey est tombé amoureux d’une allemande et s’est marié avec elle, ce qui a occasionné un conflit dans sa famille, en raison de la situation historique (la pièce se passe en 1950). L’histoire se termine avec la graduation d’Ernestine, qui reçoit son diplôme du «High School», et qui entrevoit son avenir de révolutionaire.
Commentaire
Cette pièce est racontée de façon très tendre. Le style narratif est sensible et humain, les personnages complexes et vivants, intéressants. Il y a une grande part de symbolique dans l’histoire, notamment à travers les multiples “notes” que prend Godfrey (les questions qu’il veut poser à son pasteur) et la musique afro-américaine (qui revient de différentes façons pendant la pièce).

Un autre aspect intéressant de l’écriture dramatique est la part d’imagination, de «daydreaming» du personnage d’Ernestine, qui nous raconte un événement pour nous dire tout de suite après «En tout cas, j’aurais aimé que ça se passe ainsi» et se corrige en nous racontant la vraie version de l’histoire. C’est intéressant car les pistes deviennent brouillées, et si elle nous dit elle-même que certaines des choses narrées sont fausses, on se demande si d’autres qui nous sont contées comme vraies ne seraient pas également fausses. Ernestine ment. Ernestine rêvasse. Ernestine désire et souhaite, rêve. Cet élément joue sur la mémoire et le passé de façon très surprenante, mais plausible: la subjectivité de l’interprétation personnelle prenant parfois le pas sur l’objectivité des fait historiques.

11 décembre 2012 à 20h17 par William Durbau -
Lignes 26-27 modifiées:
Commentaire
Cette pièce est racontée de façon très tendre. Le style narratif est sensible et humain, les personnages complexes et vivants, intéressants. Il y a une grande part de symbolique dans l’histoire, notamment à travers les multiples notes que Godfrey prend, notes de questions sur son existence, qu’il veut poser à son pasteur, à travers aussi la musique afro-américaine, qui revient de différentes façons à travers la pièce, ou encore avec l’alcool.

Un autre aspect intéressant de l’écriture dramatique est la part d’imagination, de «daydreaming» du personnage d’Ernestine, qui nous raconte un événement pour nous dire tout de suite après «En tout cas, j’aurais aimé que ça se passe ainsi» et corrige en nous racontant la vraie version de l’histoire. C’est intéressant car les pistes deviennent brouillées, et si elle nous dit elle-même que certaines des choses narrées sont fausses, on se demande si d’autres qui nous sont racontées comme vraies ne sont pas fausses également. Ernestine ment. Ernestine rêvasse. Ernestine désire et souhaite, rêve. Cet élément fait en sorte de jouer sur la mémoire et le passé de façon très intéressante, humainement plausible, la subjectivité de l’interprétation personnelle prenant parfois le pas sur l’objectivité des fait historiques.

en:
Commentaire
Cette pièce est racontée de façon très tendre. Le style narratif est sensible et humain, les personnages complexes et vivants, intéressants. Il y a une grande part de symbolique dans l’histoire, notamment à travers les multiples notes que Godfrey prend, notes de questions sur son existence, qu’il veut poser à son pasteur, à travers aussi la musique afro-américaine, qui revient de différentes façons pendant la pièce, ou encore avec l’alcool.

Un autre aspect intéressant de l’écriture dramatique est la part d’imagination, de «daydreaming» du personnage d’Ernestine, qui nous raconte un événement pour nous dire tout de suite après «En tout cas, j’aurais aimé que ça se passe ainsi» et corrige en nous racontant la vraie version de l’histoire. C’est intéressant car les pistes deviennent brouillées, et si elle nous dit elle-même que certaines des choses narrées sont fausses, on se demande si d’autres qui nous sont contées comme vraies ne sont pas fausses également. Ernestine ment. Ernestine rêvasse. Ernestine désire et souhaite, rêve. Cet élément fait en sorte de jouer sur la mémoire et le passé de façon très surprenante, humainement plausible, la subjectivité de l’interprétation personnelle prenant parfois le pas sur l’objectivité des fait historiques.

11 décembre 2012 à 20h14 par William Durbau - Crumbs From The Table of Joy
Lignes 1-29 ajoutées:
Titre complet de la pièce
Crumbs From The Table of Joy

(:title Crumbs From The Table of Joy:)

Année de publication
2004
Nom complet de l’auteur
Lynn Nottage
Nom complet du traducteur
Compagnie théâtrale
Second Stage Theatre
Lieu de création
New York City
Année de création
1995
Genre dramatique
Drame
Thèmes abordés
L’éducation, la race, la religion, l’esclavagisme (sous ses différentes formes), la rébellion.
Personnages féminins
4
Personnages masculins
1
Résumé de la pièce
La pièce nous est racontée par la fille aînée de Godfrey Crump, Ernestine, âgée de 17 ans. Elle raconte comment la famille est partie de la campagne suite à la mort de sa mère, pour aller s’installer en ville à New York. Elle nous dépeint leur situation, en se basant sur une année (le prologue associé à l’automne, le premier acte à l’hiver, le second acte au printemps et l’épilogue à l’été), et nous raconte la relation étrange qu’ils ont entretenus avec la soeur de la femme de Godrey. Godfrey est tombé amoureux d’une allemande, et s’est marié à elle, ce qui a occasionné un conflit dans sa famille, en raison de la situation historique (la pièce se passe en 1950). L’histoire se termine avec la graduation d’Ernestine, qui reçoit son diplôme du «High School», et qui entrevoit son avenir de révolutionaire.
Commentaire
Cette pièce est racontée de façon très tendre. Le style narratif est sensible et humain, les personnages complexes et vivants, intéressants. Il y a une grande part de symbolique dans l’histoire, notamment à travers les multiples notes que Godfrey prend, notes de questions sur son existence, qu’il veut poser à son pasteur, à travers aussi la musique afro-américaine, qui revient de différentes façons à travers la pièce, ou encore avec l’alcool.

Un autre aspect intéressant de l’écriture dramatique est la part d’imagination, de «daydreaming» du personnage d’Ernestine, qui nous raconte un événement pour nous dire tout de suite après «En tout cas, j’aurais aimé que ça se passe ainsi» et corrige en nous racontant la vraie version de l’histoire. C’est intéressant car les pistes deviennent brouillées, et si elle nous dit elle-même que certaines des choses narrées sont fausses, on se demande si d’autres qui nous sont racontées comme vraies ne sont pas fausses également. Ernestine ment. Ernestine rêvasse. Ernestine désire et souhaite, rêve. Cet élément fait en sorte de jouer sur la mémoire et le passé de façon très intéressante, humainement plausible, la subjectivité de l’interprétation personnelle prenant parfois le pas sur l’objectivité des fait historiques.

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